Au cœur de la Cité Médiévale, accordez-vous une pause gourmande à la Taverne. Les armes, seuls vestiges laissées par les premiers hommes, sont nées avec l'homme. A l'âge du bronze, il imite la hache de pierre, mais il lui apporte diverses transformations et fabriqua des haches à douilles, destinées à recevoir un manche. Il en fit ainsi de différents modèles à desquels on a retrouvé des poignards, des épées, des pointes de flèches et de lances, des couteaux, des casques et des cuirasses. Comme armement défensif, des casques, cuirasses, boucliers de bois, de cuir ou d'osier à garnitures métalliques. A l'époque féodale et des communes, tous les engins destructeurs étaient nécessaires pour le siège des châteaux forts. La lance et l'épée étaient les armes réservées aux cavaliers et aux seigneurs. Au XVème siècle, l'arc et l'arbalète sont encore les armes des fantassins qui portant un casque bombé en fer, tandis que l'armure, propre à la chevalerie, est plus complète mais plus compliquée à mettre en œuvre. Chaque jour, avec les journaux, la radio, la télé, les prévisions du temps sont données sans aucun effort de recherche de votre part. De ces observations, ils nous ont transmis des dictons où se mêlent les croyances, le charme et la poésie. Le temps du premier jour était celui de la fenaison, le deuxième jour celui de la moisson et le troisième celui des vendanges. Le matin, le laboureur se demandait s'il pouvait se rendre à son travail. Jacques Maupillier (garde)La Taverne du Puy du Fou
L'armement à travers les siècles
Pour l'homme, fabriquer des armes était un besoin, soit pour se protéger des animaux sauvages et même de ses semblables, soit pour attaquer ceux-ci par nécessité ou par mauvais instinct.
Il est probable que la première arme dont se servit l'homme, fut un morceau de bois, une branche d'arbre peut-être.
Mais, il comprit vite qu'une pierre serait plus efficace pour blesser ou tuer l'animal qui lui fournit nourriture et vêtement.
Il taille donc dans la pierre des haches et des couteaux à tous usages, improprement appelés "coup de poing".
A l'âge du fer, les armes les plus caractéristiques sont, les épées, poignard, lances et javelots.
Les anciens, pour qui la chasse et la guerre étaient les plaisirs favoris, savaient aussi construire et se servir de machines de guerre redoutables.
Macédoniens, Carthaginois, Romains employaient le bélier, la tortue-bélier, la tour mobile pour assiéger les places fortes, percer les murailles et les portes.
La baliste et la catapulte (ancêtre du fusil et du canon) pour lancer au-dessus des murs des pierres, des boulets rougis.
Les combattants employaient aussi le "trébuchet" autre ancêtre du canon, qui permettait de lancer jusqu'à 150 mètres de plus grosses pierres.
Les fantassins tiraient à l'arc et l'arbalète qui remplacèrent la fronde (arme de jet utilisé par l'homme primitif, projetant une pierre ou un morceau de silex pour chasser des animaux plus rapide que lui).
Mais l'homme allait trouver un nouveau moyen de destruction plus efficace….. la poudre à canon, que les Anglais utilisèrent pour la première fois en Europe, à la bataille de Crécy, en 1346.Patrimoine.... Météorologique
Autrefois, dans le labeur quotidien du paysan, le lever et le coucher du soleil, les quartiers de lune, les fêtes et les périodes du calendrier, tenaient une place importante, particulièrement dans les semailles et les récoltes, dans l'abattage du bois.
Ainsi, de tout temps, nos ancêtres ont-ils consulté la voute céleste, les astres, les nuages, le vent ….
"Noël au balcon, Pâques aux tisons".
Une autre fête venait un peu plus tard confirmer le froid de l'hiver :
"Lorsque la chandeleur est claire, l'hiver vient par derrière".
Une semaine attendue était la semaine sainte.
On ne comptait pas sur un temps très clément pendant quelques jours et le dimanche des rameaux, le vent qui soufflait pendant la procession était le vent dominant de l'année.
Les rogations (les trois jours avant l'ascension) annonçaient le temps des principales récoltes de l'année.
Pas question de manger des cerises quand il avait plu à la Saint-Georges.
Savez-vous que la pluie de la petite Saint-Jean (6 mai) annonçait la pluie de la Saint-Jean (24 juin) et que les récoltes étaient souvent compromises ?
Certaines observations journalières rassuraient le paysan qui devait se rendre à son travail.
Ainsi, le soir, dans le ciel, le halo de la lune annonçait la pluie selon qu'il était "auprès" ou au loin".
"Pluie du matin n'arrête pas le laboureur en chemin..."
Ou encore
"Brouillard dans la vallée, va travailler…."
Peut-être douterez-vous, quand on vous dira :
"S'il pleut à la Saint-Médard, il pleut quarante jour plus tard…."
A moins que
"Saint Barnabé, vienne tout effacer…"