Le Mystère de La Pérouse – Puy du Fou
En 2018, le Puy du Fou vous invite à prendre le large pour affronter les mers inconnues, aux côtés de l’explorateur La Pérouse.
Vous allez vivre de l’intérieur l’odyssée d’une expédition sans retour :
le mystérieux voyage de La Pérouse !
À bord de "La Boussole" et de "l’Astrolabe", lui et son second, Augustin de Monti, ont été envoyés aux confins du monde par le roi Louis XVI, pour explorer les océans et réaliser des recherches scientifiques sur la faune et la flore de territoires inconnus.
Panique sur le pont.
Dans les eaux de Vanikoro, dans le Pacifique sud, deux vaisseaux sont pris dans la tempête et sombrent après deux ans et demi d’expédition.
Nous sommes en 1788, et l’aventure de Jean-François de La Pérouse touche à sa fin.
Des températures glaciales de l’Alaska, au climat subtropical de l’île de Pâques , avec Le Mystère de La Pérouse, le Puy du Fou fait embarquer ses visiteurs dans le monde de la grande navigation :
"C’est un nouvel univers qui fait son entrée dans le Puy du Fou".
Les "Vendéens"
Les "Vendéens" sont des combattants ardents et courageux.
Ils prient la Vierge avant chaque combat.
Sous le signe du Sacré-Coeur cousu sur leur veste, ils partent au feu en chantant des cantiques.
Ils sont empreints de valeurs chrétiennes et attachés à leurs prêtres, pour qui ils se sont mobilisés.
Ils combattent en sabots, chapeau "rabalet" à large bord rabattu, chemise grise sous veste bleue pour les bocains, chemise de flanelle sous veste ronde et larges culottes à la bretonne dans des guêtres pour les maraîchins, ceinture de coton rouge serrée à la taille.
Leur armement est sommaire.
Faux dont la lame est redressée ("à rebours"), fourches, bâtons ferrés, quelques canardières...
Ils se procureront armes et munitions, y compris des canons, au fil des combats et des victoires.
Les vivres dans les cités conquises.
Quelques-uns sont montés sur des chevaux de labour, avec des étriers de corde.
La méthode de combat est peu orthodoxe.
Ils se ruent sur l'adversaire au cri de "Rembarre !".
Lors d'un "choc", ils se jettent à plat ventre lorsque tirent les canons.
Ensuite, ils se relèvent et clouent les artilleurs sur leurs pièces.
L'adversaire est ajusté à coup sûr par ces braconniers et contrebandiers de longue date, d'où les pertes plus élevées dans les rangs des Bleus.
La connaissance du terrain permet de tendre des embuscades et de disparaître en un clin d'œil si l'affaire tourne mal, bien abrités derrière haies et dans les marais.
Et les Bleus s'y risquent avec prudence.
Les transmissions sont assurées par des colporteurs de paroisse en paroisse, par le tocsin qui appelle au rassemblement ou les ailes de moulins, qui ont leur langage codé.
Mémoires !!
Un jour, en touchant ses murs et ses vieilles pierres, le château m'a demandé :
"Voyageur du temps, raconte mon histoire".
En m'approchant plus de ses murs, il chuchote dans mon oreille :
"Je suis le Puy du Fou et je te donne mes clefs, elles t'ouvriront les portes de mon passé.
Depuis longtemps, on me voit comme une ruine, comme une carcasse décharnée, une cathédrale inachevée.
Depuis 1978, je suis le décor, toile de fond, du plus beau spectacle au monde animé par le cœur des Puyfolais, et pourtant mon histoire est méconnue.
Mais, depuis de longues années ;
je t'observe et je t'apprivoise,…..
Tu m'inspectes, je te vois,…..
Tu m'observes, je te donne des indices,….
Tu me photographies, je me découvre,…..
Tu cherches mes secrets et…, je te taquine à travers mes vieilles pierres…
Secret de château, il est dit que tu ne décramponnes pas,….
Même mon père, dit le "vieux château" à la queue de l'étang, nous a confié lors d'une réunion de famille, que tu voulais percer son secret.
Son secret, …..
Je t'avoue que nous avons eut une petite crise de fou-rire autour d'une bonne trouspinette et d'un cerf tournant devant notre feu pour un bon festin……..
Même notre petite Guillemette est repartie en cuisine, avec un sourire dissimulé derrière ses mains fragiles, rejoindre Jacotte notre Maître-cuisinière.
L'odeur du bon pain sortant du four à pierres chatouillait nos narines….
Ceci dit…. lors du banquet annuel de notre grande famille, personne ne croyait en ce projet farfelu…
A cette époque, seuls, Jean-Louis (notre fauconnier) et Nicolas (maître ménestrel), croyaient timidement en cette histoire.
Faire connaître notre Puy du Fou, et plus hilarant encore … écrire un livre sur notre passé était une idée à faire rire même notre vieux "Capitan" (Cheval de Maître Paco).
Autour de la grande cheminée et avec le cristal bien rempli à la main, Renaud de Mortagne, Guillaume, Pierre, Guyon, les François et Gilbert et j'en oublie (nous étions si nombreux), on en riait encore et encore.
Nous, châteaux du Puy du Fou… perdu dans nos campagnes et surtout perdu dans les mémoires des hommes…… revenir dans les rêves et destination de voyages…
Mais non…. !!!!
Qui sommes-nous pour prétendre à ces honneurs !!
Au petit matin, en contemplant les dernières cendres de chênes crépitant au fond de la grande cheminée, personne ne croyait en cette persévérance.
Aux premières lueurs du jour, nous sommes repartis dans nos époques et dans nos dernières demeures sans oublier que…. tenaces… tu es !!!!
Mais aujourd'hui, grâce à toi visiteur d'un jour, notre grande famille, assise devant notre grand feu du souvenir, ouvrons avec plaisir, le grand livre de nos siècles de présence en ces lieux….."
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