La Vie reprend (Cinéscénie du Puy du Fou)
Il n’y a plus qu’un seul Maupillier pour danser et c’est un enfant, c’est moi.
Plus tard, bien plus tard, par les fils de 14,
les bœufs de Maupillier changeront encore de nom, on les appellera Verdun.
Le rêve (Cinéscénie du Puy du Fou)
Vitrail de paix avec des rameaux bénit.
Laisse la p’tite fille qui était tambour dans l’armée de D’Elbée
Jacques Maupillier est mort, ce matin de très bonne heure.
Vengeance
La voix qui s’étouffe "grâce", la main qui se lève, une larme qui coule, le doigt du pardon,
à genou les enfants.
1793 (Cinéscénie du Puy du Fou)
En cet été 1793, il n’avait pas encore 20 ans, il était garde au Puy du Fou, il s’appelait Jacques Maupillier.
Lui non plus n’avait rien pu faire, les Colonnes Infernales de Turreau étaient passées.
Les adieux (Cinéscénie)
Oh mon Jacques, je ne veux pas que tu t'en ailles.
Tu entends là-bas.... les tambours.
Tiens, voici le bouquet des petits Maupillier.
Cueilli dans les bruyères et les genêts en fleurs !
L'annonce de la Guerre (Cinéscénie)
Mais pourquoi on-t-il fait taire les cloches ?
Aux 4 coins de la Vendée, des hommes parcours les villages pour enflammer les cœurs et l’insurrection foudroyante sur propage dans un incontrôlable bouillonnement...
Vendéens d'avant la Vendée
Juste le temps de reverser le baricauts pour faire couler le vin nouveau qui fait oublier la sueur sur les fronts moites.
Homme de grand matin, dur au mal, homme de granite, tassé avant l’âge qui prenne les saisons comme elles viennent.