Puyfolais
Un simple "Puyfolais", sans nom, sans prétention...
Mais qui se plait à partager sa passion pour le "Puy du Fou" et sa grande histoire dans les pages de la France.....
Aux "Puyfolais" d'hier, d'aujourd'hui et de demain.....
Car être "Puyfolais", c'est défendre ses valeurs, ses origines, ses coutumes, son pays.. sans jamais juger les autres.
Puyfolais, c'est aussi être dans le vivre ensemble dans la paix, le respect et la dignité.
Puyfolais, c'est le partage de l'histoire.
Mais qui osera partager cette photo ?
30 ans après......
Amis lecteur de Puystory.
Je viens de recevoir ce livre et honnêtement, et malgré une couverture qui semble surgir du passé, cet ouvrage reflète bien ce qui fut les guerres de Vendée et particulièrement les événements qui se sont passés au "Petit-Lucs".
Habillement écrit, il mélange faits historiques, témoignages et réflexions émit par de belles plumes de notre siècle et ce dans une surprenante chronologie.
Il est vrai que Monsieur Soljenitsyne est le pivot central de ce témoignage, car il avait un esprit de liberté et un esprit Vendéen.
Ce petit recueil, parfaitement illustré, est la mémoire du petit "peuple Vendéen", qui n’a jamais accepté l’oubli de son passé.
Nous n’avons pas le droit d’oublier leur souffrance, comme celui d’autres peuples qui luttent aujourd’hui pour leurs libertés.
Au vu et lu de ce livre, on peut que se demander pourquoi il ne sort que 30 ans après la visite de Soljenitsyne !!!
Il semble qu’il ne soit jamais trop tard pour faire comprendre aux jeunes générations que le mot "Liberté" n’est pas un simple mot de 7 lettres, mais bien un combat du quotidien.
Et Monsieur Soljenitsyne en est le reflet.
A toute Berzingue !
Un beau livre que je viens de recevoir.
La présentation des villes s'organise sur le schéma suivant :
1. Antiquité
2. Moyen-âge
3. Renaissance
4. Epoque Moderne
5. Epoque Contemporaine
6. Aujourd'hui
Agrémenté avec une "carte" des points importants expliqués, un "Mon Petit détour" vers un point remarquable et présentation d'un "Portrait" célèbre de la ville exposée.
Je vous le recommande en lecture pour les longues soirées d'hiver et pourquoi ne pas préparer vos futures visites d'été à l'aide de ce livre.
Bonne lecture.
On en parle encore...
Au édition Beaufort ou dans les boutiques : du Puy du Fou, de l'Historial de Vendée, du Château de la Chabotterie.
Libération du camp de concentration Dachau
Le 29 avril, représente la libération du camp de concentration Dachau par la 7 è Armée américaine.
Ce camp fut libéré grâce au sang froid et à l'audace d'un jeune officier de renseignement australien, le Capitaine Thomas G. Groome (1918-xxxx).
Parachuté en France occupée en 1942, il rejoint le Docteur Albert Guérisse (1911-1989), officier médecin de l'armée belge, chef du réseau "Pat O'Leary", qui rapatria 1.200 aviateurs abattus en Belgique et en France.
En avril 1943, le Capitaine Thomas G. Groome est arrêté par la Gestapo à Toulouse mais parvient à s'échapper, au cours de son interrogatoire, en sautant par la fenêtre du 2è étage.
Le talon enfoncé, il se cache, retrouve son émetteur et informe Londres que le Docteur Guérisse a été arrêté.
Pendant plusieurs mois, il réorganise le réseau, malheureusement infiltré par la Gestapo.
Il est à nouveau arrêté en 1944, incarcéré au Camp de concentration de Mauthausen où il retrouve le Dr. Guérisse.
C'est à Dachau qu'on le retrouve dans la section typhus de l'infirmerie.
Thomas venait d'avoir le typhus et récupérait lentement.
Le Docteur Guérisse et d'autres prisonniers déchargeaient des trains les cadavres destinés au crématoire.
En janvier 1945, le Dr. Guérisse demanda à Thomas, d'entamer une liaison avec la femme SS qui gardait les prisonniers.
Cela prit quelque temps, mais en mars 1945, elle donna à Thomas la clef du chiffre allemand, ce qui lui permit de décoder les messages de l'état-major allemand adressés au Général SS Polh (1892-1951), quant à la liquidation des prisonniers.
Le 25 avril 1945, le Capitaine Thomas Groome, accompagné de la femme SS, sortit du camp par la porte principale.
Elle s'en fut à gauche vers Munich et lui à droite vers Regensburg, où il prit contact avec la 7 è Armée américaine.
Son commandant le Général Patch (1889-1945) déploya immédiatement 18 chars d'assaut sur le périmètre du camp, tandis que les Typhoon attaquaient les baraques SS et les miradors du camp à la fusée et au canon.
Les SS en uniformes camouflés, s'étaient tapis entre les baraques du camp avec leurs lance-flammes.
L'armée américaine avec deux régiments de la 7e armée américaine libéra le camp de concentration de Dachau, le 29 avril 1945 à 15 heures.
Il s'y trouvait encore 29.000 prisonniers.
Mais sur la voie de chemin de fer qui dessert le camp, les Alliés trouvent une quarantaine de wagon de marchandises contenant 2 000 cadavres.
Après la guerre Thomas Groome retourna dans son pays natal, Queensland en Australie.
Jeanne Robin....
À l’occasion du 230ème anniversaire de la guerre de Vendée et la réédition du livre "Jeanne Robin, Jeanne d'Arc de la Vendée", retrouvez ma modeste contribution dans la réalisation de ce beau livre historique qui nous plonge au coeur de la Guerre de Vendée à travers l'histoire méconnue de cette héroïne, cette femme miraculeuse, morte au pied des remparts de Thouars.
Le récit est accompagné d'illustrations permettant d'encore plus apprécier ce voyage dans le temps au travers de la vie pleine de panache de la paysanne de Courlay qui deviendra... la "Jeanne d'Arc" de la Vendée !
Responsable édition Aymeric de Rougé - www.editions-beaufort.com
Conception graphique et réalisation: David Cosson et Claire Mignard.
Les éditions Beaufort remercient Claude de Puystory pour la grande qualité de ses photographies et sa précieuse collaboration.
Les éditions Beaufort ont le plaisir de vous annoncer la mise en ligne de notre librairie éphémère :
https://boutique-beaufort.webador.fr !
Vœux
Aujourd'hui, nous sommes sur le seuil de la maison 2023 et permettez-moi de vous offrir mes souhaits bien sincères, de bonne santé, bonheur et prospérité dans toutes vos activités…
Les huîtres
Les huîtres apportent toujours une touche élégante à la fête.
Accompagnées de bulles, le goût rafraîchissant de ces mollusques vous mettra d'emblée dans le bon état d'esprit.
Le goût riche des creuses ne tombe pas du ciel.
Tout comme pour le vin, il est influencé par le sol dans lequel elles évoluent.
La tourbe légère dans le sol ainsi que le plancton animal que ces eaux abritent, confèrent aux huîtres leurs accents fruités et leur arrière-goût saumâtre.
Pendant la pêche, les bivalves se referment en gardant un peu de sable prisonnier.
Les ostréiculteurs les laissent dans de grands bassins ou puits à huîtres où elles peuvent se reposer pendant quelques jours et enfin se rouvrir.
Et elles y resteront encore trois à quatre mois !
Pendant ce temps, elles se régalent de plancton végétal et profitent d'un bon bain de soleil pour développer leur goût raffiné.
Pour les fêtes, savourez et allez-y, en une seule bouchée !
Mieux vaut consommer les huîtres te plus rapidement possible, car elles se conservent au maximum 10 jours.
Veillez à les tenir bien droites lorsque vous les ouvrez, pour éviter de perdre leur jus délicieux !
Vous voilà devant votre panier d'huîtres, savourant déjà ce goût naturel incomparable, mais avant la corvée de l'ouverture s'impose.
Voici quelques conseils et techniques pour que cela ne soit plus une corvée.
Tout d'abord équipez vous d'un bon couteau à huîtres (à lame courte et pointue, si possible sans garde mois cela dépend des goûts).
Pour les droitiers, positionnez l'huître dans la main gauche, l'arrière vers vous et la partie plate au-dessus.
Pour les gauchers, placez dons la main droite, l'avant vers vous, toujours la partie plate au-dessus.
Introduisez la lame en forçant sur le côté de l'huître, à un peu plus de la moitié de l'huître (vers l'avant) afin de tomber sur le nœud.
Une fois la lame introduite, sectionner le nœud, puis racler la coquille du dessus et finalement ôter la coquille supérieure.
L'ouverture des huîtres plates est plus difficile car le nœud est situé plus au milieu de l'huître.
Dans ce cas, il faut l'ouvrir par la charnière, en faisant levier entre les deux coquilles pour faire sauter le dessus.
Pour tous ceux que l'ouverture des huîtres rebute encore, il existe des couteaux spéciaux qui permettent de casser le bord de l'huître pour couper le nœud sons effort.
Les plus fortunés pourront même employer les services d'un écailler qui fera cela très bien.
Les huîtres avec un fil d'ouverture sont à déconseiller, car le processus de mise en place de ce fil fatigue l'huître et altère sa qualité.
Les oiseaux ont faim en hiver.
L'hiver est rude pour les petits oiseaux.
Heureusement, nous sommes là.
Bien nourris, et avec de l'eau à leur disposition, ils supporteront aisément les froids les plus intenses et s'habitueront très vite à fréquenter leur nouveau restaurant, installé sur votre balcon ou dans votre jardin.
Le nourrissage devra se prolonger Jusqu'à la fin février au moins.
Souvenez-vous de certains hivers, si rudes pour les petits hôtes de nos jardins !
Songeons donc dès maintenant à leur nourrissage.
Les avis des ornithologues divergent cependant sur la question.
Les petits passereaux - omnivores et granivores - qui hivernent chez nous, jouent un rôle important dans notre écosystème.
Ils se nourrissent de baies, de fruits, de graines et d'insectes et servent en quelque sorte de régulateur biologique.
Ils sont parfaitement adaptés aux rigueurs de l'hiver.
En les nourrissant "artificiellement, nous risquons de les voir perdre leur instinct.
Evitons donc de créer un lien de dépendance qui les déshabituerait à rechercher leur nourriture dans la nature.
Un autre risque est de voir se rassembler un trop grand nombre d'oiseaux dans un espace réduit et d'accroître le danger de contamination et d'épidémie.
Ne commençons donc pas trop tôt le nourrissage.
Attendons que le sol soit gelé et que tombent les premières chutes de neige.
Nous verrons alors nos petits affamés venir se réfugier à proximité des maisons.
QUI VIENDRA ?
Les moineaux délurés et les merles bavards, bien sûr, suivis des étourneaux, rois des pique-assiettes (ils chassent même les merles, les bougres !).
Dans les jardins de banlieue, dernières oasis de vie sauvage, les clients seront plus variés :
les mésanges (charbonnières ou bleues le plus souvent ; quelquefois nonnettes ou à longue queue), les éternels étourneaux, les rouges-gorges (si astucieux, qu'ils se posent à côté du jardinier en train de bêcher, dans l'attente d'un succulent ver de terre), quelques bouvreuils...
QUELQUES CONSEILS
Quand vous commencerez le nourrissage, il devra se faire de manière régulière.
Le matin, et en quantité raisonnable ; ainsi, durant la journée, les oiseaux continueront à remplir leur rôle biologique.
Evitez de laisser à leur portée une trop grande quantité de nourriture, cela pourrait nuire à leur organisme.
Quant au choix, veillez surtout à la qualité des aliments.
Dès la fonte des neiges ou le dégel, au début du printemps, il sera temps d'arrêter la distribution...
QUE DONNER A MANGER ?
Comme solution de facilité, il existe dans le commerce de la nourriture toute préparée, mais il est plus amusant et moins onéreux de la préparer soi-même.
Attention l'alimentation des oiseaux doit répondre à certains critères de diététique.
Ne leur donnez pas n'importe quoi !
Par exemple : jamais d'aliments salés !
Pour lutter contre le froid, apportez-leur une nourriture riche en calories.
Donnez-leur de la graisse : graisse de boeuf, margarine non salée, saindoux, couenne de lard non salé...
Vous pouvez aussi faire fondre de la graisse à laquelle vous incorporerez un assortiment de graines.
Les graines de tournesol, riches en lipides et en protides, constituent un aliment idéal pour beaucoup d'oiseaux.
Une bonne idée quand on a la place : une fleur de tournesol fixée à l'extrémité d'un piquet.
On peut également préparer soi-même des mélanges à base de millet blanc, d'avoine, de blé, d'œillette...
Nos petits hôtes se montrent aussi friands de fruits récoltés en automne : noisettes, faines, Prunelles etc..
Faites-en provision pour eux !
Pensez à conserver les graines de chardon et de plantain, les baies de sureau, d'aubépine, de sorbier... vous ferez des heureux !
Si votre jardin a gardé un petit air sauvage, ne l'entretenez pas trop !!!
Il constitue une manne pour les petits affamés ailés.
Des morceaux de pommes et de poires mûres seront accueillis avec joie par les grives, les merles et les étourneaux.
Par grand froid, préparez une pâtée plus énergétique en incorporant des graines diverses dans des blocs de saindoux ou de margarine.
Des restes de viande hachée, des légumes secs, des os broyés, du fromage (les rouges gorges adorent !), des aliments pour chiens et chats, des œufs durs, des flocons d'avoine ou de maïs, des noix et des cacahuètes (non salées) ou encore : un morceau de lard bien gras accroché à une ficelle, seront fort appréciés....
Mais attention : jamais de pain !
Mouillé, il gonfle dans leur jabot et peut étouffer vos protégés !
DONNEZ-LEUR A BOIRE
Reste le problème essentiel de la boisson.
En période de grand gel, les oiseaux ne trouvent plus rien à boire !
Aussi inattendu que cela paraisse, les oiseaux meurent davantage de soif que de froid, l'hiver il faut y penser !
Pour empêcher que l'eau ne gèle dans le récipient, ajoutez une goutte de glycérine, d'alcool blanc ou un peu de sucre et changez-la le plus souvent possible.
Pour la mangeoire, vous pouvez, si vous préférez vous faciliter la tâche, en trouver de toute faites dans certains magasins spécialisés.
Mais il ne faut pas croire que les plus sophistiquées seront nécessairement les meilleures !
Avec un peu d'imagination, vous dénicherez le support qui fera très bien l'affaire, à condition qu'il protège la nourriture de l'humidité.
Les bricoleurs de tous âges pourront d'ailleurs en fabriquer.
Choisissez avec soin l'emplacement et orientez-la de préférence vers le sud-est.
Où placer les provisions ?
Attention, placez-les toujours hors de portée des chats et des rongeurs, cela va de soi !
Voici quelques exemples qui vous aideront : fixez une mangeoire (style boîte à cigares) au sommet d'un piquet lisse de la grosseur d'un manche à balai.
Ou suspendez-la à une branche d'arbre ou au montant du balcon.
Ou encore, attachez une caisse à oranges à une branche.
Pratique : une demi-noix de coco ou un vieux pot de fleur.
Plus élégant un filet à provisions (du genre qui emballe les oranges et les pommes de terre).
Les mésanges gourmandes viendront s'y balancer avec grâce.
Veillez à abriter la nourriture de la neige à l'aide d'une petite toiture.
Ne placez pas la mangeoire à la portée de la convoitise des chats du voisinage et autres prédateurs attirés par des proies faciles...
N'oubliez pas de la nettoyer régulièrement.
Si vous posez la nourriture sur le sol, nettoyez quelques mètres carrés, dans une zone dégagée, à bonne distance des arbustes où pourrait guetter un ennemi...
Et changez souvent la nourriture à cause de l'humidité du sol.
PRECAUTIONS A PRENDRE
Si vous aimez à la fois les oiseaux et les chats, munissez ces derniers de clochettes avertisseuses.
L'idéal : un grelot utilisé par les pêcheurs.
Vos félins prendront peut-être un petit air de vache suisse mais la fin justifie les moyens.
Comme sonnette d'alarme, demandez aux passereaux : il n'y a pas mieux !
Voilà, maintenant il ne vous reste plus qu'à attendre la venue des grandes gelées et l'arrivée des petits affamés.
Alors, si vous avez bien suivi nos conseils, vous pourrez observer tout à loisir mésanges, rouges-gorges, pinsons, sansonnets, bref tous nos petits passereaux.
En aidant nos amis à survivre, ne nous privons pas du plaisir de les voir s'affairer autour de la mangeoire.
L'ornithologue amateur aura ainsi l'occasion d'étudier, avec discrétion, certaines espèces vite familières aux heures des repas.
Durant ces journées d'hiver, souvent grises et tristes, le va-et-vient incessant de nos petits hôtes ailés égayera nos jardins, nos fenêtres et nos balcons.
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