Réverbère *
Un réverbère ou lampadaire extérieur est un dispositif d'éclairage public placé en périphérie des voies de circulation publiques qui s'allume le soir.
Dans la mythologie grecque, les Lampades (en grec : Λαμπάδες) sont des nymphes chthoniennes des Enfers.
Elles accompagnent la déesse Hécate.
Elles sont associées aux Mystères d'Éleusis.
Leurs noms est à l'origine du mot « lampadaire », les "Lampades" portaient en effet des torches lumineuses.
Jusqu'à la fin du XVIIe siècle, les rues des villes se changent en coupe-gorge la nuit venue, les ordonnances successives imposant aux riverains de suspendre des « lanternes et chandelles ardentes » demeurant inappliquées.
Peu éclairantes, d'une faible autonomie, celles dont les commis allumeurs rechignent à s'occuper sont remplacées par les célèbres réverbères en 1769.
Le pressoir
Le jus a longtemps été extrait manuellement ou par foulage aux pieds.
Le pressoir est une évolution mécanique du processus.
Le pressoir à vis date de l'antiquité, où il est utilisé pour obtenir l'huile et le vin, lors du premier siècle de l'ère et lors du siècle précédent.
Le pressoir à claies verticales est le plus souvent rond ou parfois carré.
Les claies (latin médiéval clida, du gaulois cleta), généralement en hêtre, forment la cage d’où le liquide s’écoule (le moût).
Le pressoir avec mécanisme à cliquets limite les efforts et augmente la force de pression.
La vis placée au centre du bâti assure directement le pressurage de la vendange.
Ce pressoir permet de presser des pommes, raisins et fruits divers afin de réaliser jus, vins et cidre et en apiculture pour le pressurage des opercules.
Ce type de pressoir peut-être facilement démonté et installé sur un trottoir ou dans une cour, mais dans les campagnes, dans les fermes et pour des raisons de commodités, il est monté à demeure.
Pour faciliter leur emploi, il existe aussi des pressoirs de ce type monté sur des véhicules à roues.
L’évolution des techniques apporte des améliorations permanentes au pressurage mécanique et le 19ème siècle marque une grande évolution des pressoirs sur le plan des matériaux utilisés.
Le fer et la fonte remplacent certaines pièces de bois.
La gestion des déchets !
Pendant la préhistoire, il n'y avait pas de problèmes de gestion des déchets.
Les hommes préhistoriques jettent les restes de nourriture sur le sol et la nature se charge de les faire disparaître.
Pendant l'antiquité :
À Athènes, les grecs inventent les toilettes publiques.
Les gens emportent les déchets hors de la ville.
À Rome : installation de toilettes publiques ainsi que de fosses en dehors de la ville où les habitants déposent leurs ordures et les restes d'animaux sacrifiés.
Au Moyen-âge.
Au XIe et XIIe siècles : développement des villes dont les habitants jettent leurs déchets dans la rue ou les rivières.
Les villes sont envahies par la présence des déchets et, aussi, leur odeur.
En 1185, création de canaux et de fossés centraux sur ordre de Philippe Auguste pour nettoyer certains quartiers.
Au XIIIe siècle, création de règlements avec obligation de paver les rues, nettoyer une fois par semaine devant sa maison et ne pas laisser trainer les ordures et les déchets.
Mais les épidémies sont nombreuses et dévastatrices car les gens ne respectent pas toujours les règlements.
Les bactéries présentent dans les ordures créent des épidémies telles que la peste noire (1346 à 1353) qui fait 25 millions de morts en Europe.
Pendant la Renaissance, d’autres épidémies ont lieu.
En 1531, on oblige les gens à installer une fosse dans chaque maison.
Au XVIIe, un nouveau métier est créé : celui de chiffonnier.
Ce sont les premiers recycleurs.
Sous Louis XIV, la situation commence à s'améliorer parce que la police taxe lourdement les gens qui ne respectent pas la loi !
Au XIXe SIÈCLE, c'est le début d'une réelle gestion des déchets.
C’est un tournant dans l'histoire des déchets.
Les découvertes de la science sur le danger des bactéries rendent les gens sensibles à l'importance d'une meilleure hygiène.
On crée des réseaux d’eau potable et d’égouts.
En 1884, le préfet de Paris, Eugène Poubelle, ordonne le dépôt des déchets dans des récipients spéciaux ramassés par les services municipaux.
D'où le nom de nos "poubelles" !
Premiers centres de traitement des déchets.
Les déchets y sont amenés dans des voitures tirées par des chevaux.
Des chiffonniers récupèrent tous les matériaux afin de ne laisser que les matières organiques avec lesquelles on fera du compost.
De nos jours, 15 juillet 1975 : première grande loi-cadre française sur la gestion des déchets promulguée.
Elle instaure l'obligation pour chaque commune de collecter et d'éliminer les déchets des ménages.
Au Puy du Fou, trier les déchets est une obligation légale et le Parc s'y attelle avec ferveur puisque sa déchetterie emploie une quinzaine de personnes !
De nombreuses poubelles sont réparties dans tout le parc avec un effort notable.
L'apparition d'une poubelle pour le compost, en plus des celle pour le recyclage.
Dans le cadre de sa démarche environnementale, le Puy du Fou s'engage aussi à respecter les exigences légales et réglementaires.
Elle s'appuie sur 5 grands principes :
Gérer nos déchets en améliorant la part de déchets valorisés,
Gérer notre consommation d'énergie en utilisant des nouveaux équipements plus économes en énergie,
Préserver la ressource en eau en maîtrisant notre consommation d'eau potable avec des nouveaux équipements plus performants, mais aussi en assurant un traitement optimal de nos rejets d'eaux usées.
Protéger la biodiversité via des programmes internes sur le parc mais aussi via des programmes de conservation nationaux et internationaux des espèces sauvages et de leurs habitats.
Sensibiliser les visiteurs et les employés à la préservation du patrimoine naturel.
Depuis 2022, les équipes du Puy du Fou s’engagent dans la réduction de l’utilisation du plastique !
Tous les verres en RPET ont été remplacés par des ecocups sur l’ensemble de nos restaurants de vente à emporter.
Basé sur un système de consigne, et en lien avec les engagements du Puy du Fou pour l’environnement et la réduction des déchets, cela représente 500 000 gobelets en moins sur une saison.
Au cours des saisons 2022 et 2023, VITTEL et le Puy du Fou mettent en place des machines de collecte de bouteilles plastiques sur le parc du Puy du Fou.
Ce partenariat vise à collecter les bouteilles plastiques consommées sur le parc pour leur donner une seconde vie.
Elles seront recyclées pour produire de nouvelles bouteilles VITTEL en plastique recyclé au cours des deux saisons.
L'armement à travers les siècles
Les armes, seuls vestiges laissés par les premiers hommes, sont nées avec l'homme.
Pour l'homme, fabriquer des armes était un besoin.
Pour se protéger des animaux sauvages et de ses semblables ou bien pour attaquer ces derniers par nécessité ou par instinct.
Il est probable que la première arme dont se servit l'homme, fut un morceau de bois (une branche d'arbre)
Mais, ils ont vite compris qu'une pierre serait plus efficace pour blesser ou tuer l'animal qui lui fournit nourriture et vêtements.
Il taille donc dans la pierre des haches et des couteaux à tous usages.
A l'âge du bronze, il transforme les haches de pierre et fabrique des haches à douilles destinée à recevoir un manche.
Il en fit ainsi de différents modèles à côté desquels on a retrouvé des poignards, des épées, des pointes de flèches et de lances, des casques et des cuirasses.
A l'âge de fer, les armes les plus caractéristiques sont : épées, poignards, lances et javelots.
Comme armement défensif, on retrouve des casques, cuirasses, boucliers de bois ou de cuir à garnitures métalliques.
Les anciens, pour qui la chasse et la guerre étaient les plaisirs favoris, savaient aussi construire et se servir de machines de guerre redoutable.
Macédoniens, Carthaginois, Romains employaient le bélier, la tortue-bélier, la tour mobile pour assiéger les places fortes ou pour percer les portes et murailles.
La baliste et la catapulte, ancêtres du fusil et du canon, pour lancer au-dessus des murs des pierres, des boulets rougis.
A l'époque féodale et des communes, tous ces engins destructeurs étaient nécessaires pour le siège des châteaux forts.
Les combattants de l'époque employaient aussi le "trébuchet" autre ancêtre du canon qui permettait de lancer jusqu'à 150 mètres et de plus gros projectiles.
La lance et l'épée étaient les armes réservées aux cavaliers et aux seigneurs.
Les fantassins tiraient à l'arc et à l'arbalète qui replacèrent la fronde.
La fronde était une arme projetant une pierre ou un morceau de silex employée par l'homme primitif pour chasser des animaux plus rapide que lui.
Au XVème siècle, l'arc et arbalète sont encore des armes des fantassins qui portaient comme protection un casque bombé en fer, tandis que l'armure, propre à la cavalerie est plus compliquée à l'usage, mais plus complète.
Mais, l'homme allait trouver un nouveau moyen de destruction, la poudre à canon, que les Anglais utilisèrent pour la première fois en Europe à la bataille de Crécy en 1346.
Les pompiers
L'histoire de la lutte organisée contre les incendies commence au temps de l'Égypte ancienne, où des pompes manuelles ont peut-être été employées pour éteindre des incendies.
Rome a subi de nombreux incendies d'une ampleur importante, notamment le plus connu qui commença aux abords du Circus maximus le 19 juillet 64 et détruisit plus des deux tiers de la ville de Rome.
L'ère industrielle contribua au développement de nouvelle technique.
Les premiers tuyaux d'incendie furent mis au point par l'inventeur néerlandais Jan Van der Heiden en 1672.
Ils étaient fabriqués en cuir souple et assemblés tous les 15 mètres à l'aide de raccords en laiton.
La longueur et les raccords ont donnés naissance aux normes actuelles.
Le terme "sapeur" vient du fait que le premier corps créé par Napoléon Ier est un corps militaire du génie.
En France et dans d'autres pays francophones (comme la Suisse), le mot sapeur-pompier est souvent utilisé pour englober tous les acteurs de la sécurité au service de la population.
La bouteille de 75 cl ? *
Les bouteilles de vin sont généralement de 750 ml (75 cl) et non d'un litre (1.000 ml), mais d'où vient cette spécification ?
La capacité d'une bouteille de vin s'est normalisée au XIXe siècle et les explications les plus folles de ce fait sont apparues, qui correspondaient souvent à ces hypothèses :
- La capacité pulmonaire limitée d’un souffleur de verre.
- Consommation moyenne en un repas ;
- La meilleure capacité à conserver le vin ;
- Facilité de transport
Eh bien ce n'est rien de tout ça.
Ces légendes se révèlent fausses, et notamment dans la législation européenne en vigueur normalisant l’embouteillement (qui, depuis la Directive 2007, approuve huit variétés de contenance, allant de 100 millilitres jusqu’à 1,5 litre).
Les vins français sont exportés à travers toute l’Europe et notamment chez nos voisins britanniques très friands de ce breuvage.
Si la bouteille de vin moderne date du XVIIeme siècle, les premières fioles ont vu le jour durant l’antiquité, et surtout pendant la Rome antique (sous le nom d'ampulla).
Pour la capacité de la bouteille, il s'agit simplement d'une organisation pratique avec une base historique.
A l'époque, les principaux clients des producteurs français de vin étaient les Anglais.
Les liens entre la France et l’Angleterre datent de bien longtemps.
C’est le cas pour la politique, pour l’économie en général mais cela l’est aussi pour le vin.
Tout commença réellement en 1154, lorsqu’Aliénor, Duchesse d´Aquitaine, épouse d´Henri Plantagenet (Henri II, futur roi d´Angleterre).
Les Anglais qui ont pris goût à notre nectar national. Ils importent du vin de Bordeaux et les échanges commerciaux débutent.
Les expéditions de vins se font par voie maritime, permettant ainsi l´essor des vignobles et du port de Bordeaux.
Les vins étaient donc transportés par tonneaux de 900 litres (soit l´équivalent de 4 barriques bordelaises de 225 litres).
La barrique représentait 50 gallons impériaux.
L'unité de volume des Anglais était le "galon impérial"′ équivalent à 4.54609 litres.
Pour simplifier les comptes de conversion lors de l'achat, les commerçants anglais installés dans le Bordelais ont transporté du vin de Bordeaux dans des tonneaux de 225 litres, soit exactement 50 gallons correspondant à 300 bouteilles de 750 ml. (75 centilitres).
Le calcul étant plus facile, ils ont adopté un baril = 50 gallons = 300 bouteilles.
Le tonneau devint par la suite l’unité de volume internationale.
Ainsi, un gallon correspondait à 6 bouteilles.
En fait, c'est pourquoi aujourd'hui encore, les boîtes de vin ont souvent 6 ou 12 bouteilles.
Astucieux non ?
Mais dans l’ensemble, on peut dire que les Anglais ont encore joué un rôle majeur dans nos pratiques habituelles….
On pourra toujours rétorquer que nous les avons aussi influencés puisqu’ils boivent du vin grâce à nous les Français !
C’est de bien bonne guerre…
Si ce contenant ne fait que 75 cl c’est surtout pour avoir l’occasion d’en ouvrir une deuxième.
Avec le temps on a vu également apparaître de nouvelles contenances de bouteille afin de transporter des gros volumes.
Magnum soit 1,5 L et l’équivalent de 2 bouteilles de vin de 75 cl. Les magnums sont utilisés depuis le 18ème siècle.
Jéroboam de contenance 3 L soit l’équivalent de 4 bouteilles de vin de 75 cl.
Plus rarement dans le Bordelais nous pouvons trouver des Jéroboams de 5 L soit 6,66 bouteilles.
Réhoboam de contenance 4,5 L soit l’équivalent de 6 bouteilles de vin ou un gallon impérial.
Mathusalem de contenance 6 L soit l’équivalent de 8 bouteilles de vin.
Salmanazar contenance de 9 L soit 12 bouteilles de vin ou 2 gallons impériaux.
Balthazar contenance de 12 L soit 16 bouteilles de vin
Nabuchodonosor contenance de 15 L soit 20 bouteilles de vin
Salomon ou Melchior contenance de 18 L soit 24 bouteilles de vin ou 4 gallons impériaux
Souverain utilisé pour la première fois en 1988 c’est une bouteille de 26,25 L soit 36 bouteilles de vin ou 6 gallons impériaux
Primat utilisé pour la première fois en 1999 c’est une bouteille de vin de 27 L soit 36 bouteilles de 75 cl
Melchizedec utilisé depuis 2002 est une bouteille de vin de 30 L soit l’équivalent de 40 bouteilles de vin.
Ça y est ! Maintenant vous en savez plus sur l’origine des bouteilles de vin et pourquoi les bouteilles de vin font 75 cl.
Pour ce qui est du fond creux ou concave de la bouteille de vin, il remonte au IVe siècle.
Tout d’abord, il faut savoir que ce "creux" a un nom dans le monde de la bouteille : la "piqûre".
Le cercle sur lequel va poser la bouteille se nomme quand à lui le "jable".
Avec leurs techniques rudimentaires, les souffleurs de verre de l’époque peinaient en effet à réaliser des bouteilles au fond parfaitement plat.
Elles étaient donc difficiles à faire tenir droites et à caler.
Grâce à la création de ce qu’on appelle "piqûre", les souffleurs sont enfin arrivés à stabiliser la bouteille.
Le renforcement du culot des bouteilles de vin (qui est appelé "la piqûre" par les professionnels) avait donc pour but originel de renforcer la stabilité de la bouteille lorsqu'elle était posée debout, droite, notamment sur des tables non plates.
Une forme qui s’est ensuite généralisée sur tous les types de bouteilles de vin.
Elle permet également pour les vins pétillants comme le Champagne contenant une très forte pression, de rendre la bouteille plus solide.
Cette structure permet en effet de mieux répartir la pression du gaz carbonique (CO2), ce qui réduit les risques que la bouteille n'explose.
Aujourd'hui, les techniques se sont améliorées et il serait possible de fabriquer des bouteilles différemment, sans cette piqûre.
Mais avec le temps, le design est resté et toutes les bouteilles ont continué à adopter cette forme.
La piqûre est utilisée au service par les sommeliers.
Le style veut que le vin soit servi en tenant la bouteille par son culot, le pouce dans la piqûre.
A noter que les bouteilles de champagne possèdent un creux plus profond, qui permet de mieux répartir la pression du CO2 issu de ce vin pétillant.
Sauf sur la cuvée Cristal de Champagne Louis Roederer dont le fond plat était exigé par le tsar de Russie Alexandre II (1818-1831), se méfiant des explosifs cachés dans la piqûre.
Maintenant, vous êtes incollables sur les bouteilles de vin.
Le vin est aussi de la culture !
Le Scénibus du Puy du Fou
Le "SCENIBUS du PUY DU FOU" a été sans doute le projet de 1982 le plus étrange.
Cette structure prototype avait été conçue par des ingénieurs de la SOVAM (Parthenay).
Il s'agissait d'un camion impressionnant avec une apparence tout à fait étonnante.
Il portait une structure dépliable (en 5 minutes) de 110 m² équivalente à une salle de cinéma ambulante pouvant accueillir jusqu'à 160 personnes.
C'est d'un besoin exprimé au pays des Alouettes qu'est né le Scénibus.
Un certain nombre d'anciens du Pays des Alouettes ne pouvaient se déplacer pour participer à la grande fête du Puy du Fou.
Dès 1983, la mission du Scénibus était d'apporter à domicile un spectacle inédit, qui n'était pas un Puy du Fou en miniature, mais un spectacle à part entière, inédit et s'inscrivant parfaitement dans l'animation culturelle, commencée au Puy du Fou durant l'été 1978 !
Deux présentations furent montrées.
1. Un séries de diapositives sur "La Vendée d'hier et d'aujourd'hui".
2. La projection d'un film dont l'histoire présentée était celle de "Louis Grégoire et de la médaille de Réaumur".
Sur les traces de sa filiation Louis Grégoire, à partir de la médaille qu'il porte depuis sa naissance, rencontre son pays et ses ancêtres.
Ce voyage à fleur de racines, nous entraîne au cœur profond de la Vendée.
Les images se succèdent sur les chemins de traverse de la grande histoire.
Louis Grégoire accroche lentement ses pas à ceux des témoins qu'il interroge.
Du Moyen Age à nos jours, la médaille de Réaumur livre ses secrets.
L'orphelin entrevoit l'image d'un père, blessé à mort par les balles allemandes, un 25 août 1944.
La base technique du spectacle reposait sur la quadriphonie, six sources sonores, 24 appareils diapositives, 14 spacioscopes, et trois barcovisions (ancêtres du vidéoprojecteur), et +/-1500 diapositives sur "La Vendée d'hier et d'aujourd'hui"..
Le Scénibus finira ses représentations dès l'arrivée du "Parcours du Puy du Fou" en 1988, date à laquelle il est vendu à la ville de Strasbourg.
Retrouvez les musiques de la légendes de Réaumur sur :
http://puystory.magix.net/album/tous-les-albums/!/oa/7402175/
Le Grand Parc
Après la célèbre Cinéscénie, le Grand Parc du Puy du Fou est le premier vrai parc français de divertissement culturel, historique et écologique.
Multiple, saisissant, avec ses insaisissable joutes et cascades, ballet des grands rapaces, village du XVIIIème.
Le Grand Parc réserve bien des surprises à ceux qui choisissent de prendre le temps d'un autre temps...
50 hectares en liberté.
A la différence des parcs de loisirs construits autour de personnages fictifs, le Grand Parc du Puy du Fou trouve son originalité et sa force en puisant dans le vécu et l'authentique.
Au cœur du passé et de la vie.
Ainsi commence un autre voyage.
Pas une simple promenade, mais un voyage dans le temps, au cœur du passé.
Surprendre la vie, les gestes répétés, inchangés et exacts.
Ici, chacun saisit l'histoire où il veut, quand il veut, à son rythme, avec son temps, dans la joie et la détente.
Ecouter, voir, remonter le temps, au Grand Parc du Puy du Fou la fête bat son plein, grandeur nature, et ne s'arrête plus...
LES LAVANDIÈRES DU PUY DU FOU
Laver son linge est une tradition ancestrale qui reste au Puy du Fou synonyme de dur labeur.
Néanmoins malgré cela les femmes en profitaient pour bavarder.
En effet, le lavoir était un lieu animé.
Les lavandières ne se retrouvaient pas au café, mais au doué.
Pour elles, c'était une détente et la rumeur y allait bon train.
La lessive commençait le dimanche après-midi par le trempage.
Il s'agissait de faire bouillir le linge, le plus sale toujours au fond de la marmite, et de laisser tremper avec de la lessive.
Le lundi matin, grande expédition au doué : les lavandières sortaient le linge et le mettaient dans la "berouette" où elles avaient déjà déposé les "garde-g'neuils" (garde-genoux), les battous, les savons et les brosses à chiendent.
Installées près de l'étang dans l'Île, elles savonnaient et brossaient.
Pendant que le linge savonné reposait, elles en profitaient pour "jacter'.
De retour chez elles, le linge savonné devait encore bouillir.
Le mardi matin, elles s'en retournaient au lavoir avec les "berouettes" pleines pour rincer leur linge et l'essorer en le tordant ou en le battant.
Nouvelles rencontres pour de nouveaux commérages.
Elles continuaient le reste de la semaine avec la "lessive des couleurs".
Vous verrez toujours les lavandières du Puy du Fou venir laver, battre et étendre leur linge les vendredis et les samedis soirs de Cinéscénie.
Mais est-ce vraiment pour cela qu'elles viennent à tous les spectacles ?
Ne serait-ce pas plutôt pour cancaner et "colporter" elles aussi "les nouvelles de métairie en métairie" ?
Au Programme du Puy du Fou *
Au Grand Parc du Puy du Fou, redécouvrez des mondes et des époques que l’on croyaient à jamais disparus.
Revivez les jeux du cirque où gladiateurs et fauves règnent en maîtres.
Frissonnez à l’attaque des vikings au Fort de l’An Mil.
Encouragez vos chevaliers favoris au pied du Donjon.
Rêvez devant l’incroyable ballet des oiseaux de proies…
Devant le grand spectacle de cape et d’épée "Mousquetaire de Richelieu".
Ou plongez dans l’univers fantastique de la légende arthurienne "Chevaliers de la "Table Ronde".