En 2019, le Puy du Fou scelle avec Compass Group France une nouvelle alliance stratégique pour les 10 prochaines années en France, puis bientôt en Espagne. Fort de ses 40 ans de création, et reconnu pour la qualité de ses spectacles, le Puy du Fou a décidé d’ancrer la restauration au cœur de l’expérience du visiteur. Chaque repas doit être une surprise, une émotion nouvelle, un authentique dépaysement. Pour atteindre cette nouvelle ambition artistique, le Puy du Fou et Compass Group France ont demandé à Yannick Alléno, Chef de 4 restaurants étoilés au guide MICHELIN (dont deux restaurants trois étoiles), d’imaginer avec les équipes du Puy du Fou l’art de prolonger dans nos assiettes le voyage dans le temps. Les équipes du Puy du Fou et de "La Puyfolaise de Restauration" dessinent ensemble une offre de restauration adaptée au séjour des visiteurs. Les filières courtes seront désormais privilégiées afin de valoriser les métiers de l’agriculture et les richesses du terroir local. En matière de restauration, le choix des circuits courts contribuera à la préservation du tissu agricole local autant qu’à la diminution de la pollution par le transport. Le menu proposé. Salade frisée aux lardons et croûtons Cuisse de canard confite, sauce échalotes, pommes de terre de Noirmoutier et pois maraîchers Éclair Bon appétit. Au cœur du Village XVIIIème, profitez d'un repas classique dans le calme et le prestige de ce restaurant unique au Grand Parc. La mise en bouche. Capuccino d’asperges et sa royale d’oignons au foie gras de canard. Panacotta de saumon fumé au raifort, fusette et condiments d’été. Dos de bar sauce champagne, harenga, risotto et jeunes poireaux ou Quasi de veau aux morilles, pomme Anna, purée de pois et carottes au vin jaune et agrumes. Chèvre frais à la graine de moutarde et ciboulette, jeunes pousses de salade et vinaigrette à la pomme verte. La fraise en trois service : entremet à la rose et sorbet fraise, sablé citron glace yaourt et Mara des bois, fraises au sirop de vin et tuile à la violette. Bon appétit. Une carte est également disponible. Ce restaurant prend place dans l’aile sud du château Renaissance du Puy du Fou. Pour anticiper toute forme de complot ou d’empoisonnement, la charge revenait à une personne en qui le souverain plaçait une confiance totale. A la cour des rois de France, cette fonction fut très tôt réservée à des hommes de confiance obligatoirement issus de la noblesse. L’échanson était ainsi fréquemment amené à goûter les vins avant de les servir. Le grand Echanson ou Echanson de France sert personnellement le Roi aux 4 grandes fêtes : Pâques, Pentecôte, Toussaint et Noël. Les princes du sang et les riches seigneurs ne manqueront pas, eux aussi, de s’entourer de nobles Echansons pour les servir. L’échansonnerie est donc le lieu où les vins et les mets délicats sont entreposés et servis. Ce restaurant présente un univers chaleureux et une décoration au caractère à la fois raffiné et rustique. Les resoles, bunyols, fritelle et brugne médiévaux, Boule de Berlin, Croustillon, bugnes, churros, chichis font partie de la famille des beignets (pâtes qui gonflent en cuisant). Les beignets soufflés débarquent dans les foires, grâce au développement des baraques à friture permettant au peuple de goûter les joies de ce mets croustillant. Au court des siècles (du 4ème au 19ème siècle), cette pâte prendra différents nom tel que : La coutume des beignets remonte aux fêtes romaines des calendes de mars célébrant ainsi le réveil de la nature par des rites agraires. Il s'agissait aussi d'utiliser les réserves de beurre, huile, œufs, avant les quarante jours de jeûne qui allaient suivre. Le chichi frégi semble avoir été importé en Provence par des migrants et était composé principalement de farine de pois chiche, comme l’indique son nom de chichi, signifiant en provençal "petit morceau de pois chiche frit". Bien travaillée et devenue souple, cette pâte est laissée au repos quelques d’heures, avant d’être introduite dans une poche à douille et coulée en serpentin dans de l’huile bouillante. Bon appétit. A l'heure des repas, le voyage dans le temps continue. Retrouvez-les aussi sur : http://www.puystory.net/Restauration Partagez les aventures d'un couple d'aubergistes au cours d'un repas très convivial. Au Menu.....(Exemple) Réservation et tarif auprès du point Info Restauration "Hall Renaissance" ou au "Relais de Poste" dès votre arrivée au Grand Parc. L'aventure sera accompagnée avec les mélodies des musiciens traditionnels et de.... l'incontournable histoire du sabot.... (à découvrir). Une orangerie est un bâtiment clos, doté de vastes fenêtres et d'un chauffage dans lequel on abrite, les agrumes plantés dans des bacs ou pots ainsi que d'autres végétaux craignant le gel. En juin 2011, débute la construction de l'Orangerie du Puy du Fou. D'une surface de 1000 m², cette nouvelle salle à trois fonctions importantes : Son ouverture s'est effectuée le 12 novembre 2011. Le système de chevaux et relais apparait en Chine sous la dynastie des Han (IIe siècle av. au IIe siècle ap. J.-C.) Ils sont dirigés par des tenants-poste, ancêtres des maîtres de poste. Les relais de "Poste à chevaux" sont des établissements, équipés d'une écurie, d'un atelier de maréchal-ferrant et d'une auberge où l'on boit le "coup de l'étrier". Voilà pourquoi, cet instrument est devenu l’insigne de la poste.Et la restauration en 2019 !!
Ce partenariat vise à offrir un nouveau souffle à l’offre culinaire du parc, et faire de chaque repas un véritable spectacle.
La gastronomie est mondialement reconnue comme l’un des grands emblèmes de l’art de vivre à la française.
Cet art de la cuisine, patiemment construit au fil des siècles de notre Histoire, devient ainsi l’un des grands spectacles du Puy du Fou.
Afin de mettre en scène sa restauration, le Puy du Fou a choisi comme partenaire Compass Group France, leader mondial de la restauration.
Reconnu pour sa passion, son expertise culinaire et son professionnalisme la mission sera de concevoir et de mettre en scène les menus du Puy du Fou.
En conviant à sa table créative l’un des plus grands chefs au monde, le Puy du Fou veut offrir à ses visiteurs une aventure gastronomique d’excellence, avec des menus accessibles à tous les publics.
Les menus, les recettes et le service auront pour vocation de prolonger les émotions des visiteurs au sein du Grand Parc.
La sélection des denrées sera l’un des axes fondamentaux de cette évolution.
Depuis près de dix ans, le Puy du Fou voit chaque année ses nombreuses actions en faveur de l’environnement récompensé par le label Green Globe.La cuisine traditionnelle du Bistrot (Puy du Fou)
Une carte aux choix est également disponible.Menu dégustation à l'Auberge du Puy du Fou
L’échansonnerie
L’échanson était l’Officier chargé de servir à boire à un roi, un prince ou tout personnage de haut rang.Le chichi au Puy du Fou
Du Moyen-âge à l'époque moderne, ce mets devient aristocratique car la graisse ainsi que le sucre coûtait cher.
L'origine du beignet soufflé est très ancienne.
Caton (234-149 avant J.-C.), le premier, nous en donne la recette (mélange de semoule et de fromage frais passé à la friture).
Il appelle cette pâtisserie des globi.
De Re Coquinarian, Resoles, Bunyols, Fritelle da Imperadore Magnifici, Debuignetz, Roysolles de mouelle, Brugnes, Bunyol, Beignet soufflé,....
et ses dérivés comme : Pet de nonne, Pet de putain, Pet d’Espagne, Pouf….
A cette occasion, les interdits étaient transgressés et les déguisements autorisés.
Avant la période de privation, dite période de jeûne et qui durait quarante jours, il était de coutume de faire la fête et de manger "gras".
D'où Mardi gras, qui est le jour précédant le Carême.
Comme la fête rassemblait un grand nombre de personnes, il fallait confectionner des pâtisseries bon "marché" et vite préparées.
D'où la tradition des beignets et également des gaufres et des crêpes Le chichi frégi est la version provençale ou espagnole du churro.
La pâte du chichi frégi associe farine de pois chiche, levure de boulanger, sucre en poudre, pincée de sel, fleur d’oranger et eau (certains rajoutent de l’huile d’olive).
Une fois bien gonflé et doré, le beignet est écumé, coupé à l’aide de gros ciseaux en morceaux d’une quinzaine de centimètres de long, saupoudré de sucre.Repas au Puy du Fou
Pour les grandes faims ou les petits creux, plusieurs points de restauration vous accueillent.
Plusieurs choix s'ouvrent à vous.
25 points de restauration accueillent les visiteurs, de l’en-cas rapide au dîner spectacle en passant par le restaurant classique ou les buffets à volonté.
Une offre pour tous les goûts et tous les appétits.
Les restaurants sont conçus pour prolonger le dépaysement à l’heure des repas.
En choisissant son époque, le visiteur décide aussi de sa gastronomie.
Aujourd'hui, je vous propose un petit montage avec les noms des différents endroits en bannières défilantes.Le Relais de Poste
L'orangerie
La première orangerie a été construite par Charles VIII au château d'Amboise.
C’est en 1686, Jules Hardouin-Mansart en tant que premier architecte du roi Louis XIV, se voit confier la réalisation du Grand Trianon et de l'Orangerie.
La construction de l'Orangerie du château de Versaille sera terminée en 1688.
1) Restauration avec une capacité de 450 couverts (sur tables rondes).
2) Salle de spectacles pour 1.500 spectateurs. (Voir "Gloria" pendant la période de Noël).
3) Salle de Congrès (1.500 places debout ou 600 places assises).Le Relais de poste (Puy du Fou)
Ce système est repris par Auguste en 27 ap. J.-C. pour son Cursus publicus.
C’est sous la période romaine que fut organisé le premier service officiel des messagers, les "cursus publicus".
Il disparaitra avec l'effondrement de l'Empire romain d'Occident.
Au Moyen Age, la poste impériale romaine centralisée disparait pour laisser place à une multitude de petites liaisons non reliées entre elles.
Les ordres religieux, les villes et les seigneurs ont leurs propre service de messagers, appelés aussi des "Chevaucheurs".
Après la guerre de Cent Ans, le royaume de France doit se réorganiser, en particulier dans le domaine des transports.
C'est ainsi qu'en 1464 – par l'édit de Luxies de Louis XI – sont créés des "Relais de Poste".
Petit à petit, les relais de poste se transforment en écuries, permettant la poursuite de l'acheminement du courrier avec des chevaux frais, en auberges pour la restauration du personnel des Postes et des voyageurs, et en gîtes pour leur hébergement.
Ils sont installés le long des itinéraires et qui mettent à disposition des chevaux pour parcourir la distance jusqu'au prochain relais. Une poste c'est aussi une unité de distance équivalent environ 9 kilomètres et qui doit être parcourue, par règlement, en une heure maximum.
Au 16ème siècle, le conducteur des chevaux était un employé des postes, c’était le postillon. Il avait priorité sur les chemins comme aujourd’hui les pompiers ou l’ambulance.
Arrivé au village, il annonçait sa présence en soufflant dans un cor.