Le vin et son verre.
Vous avez invité des amis ?
Le repas mijote et la table est dressée.
Tout ce qu'il vous reste à faire, c'est choisir le vin.
Oui, mais comment ?
Acheter une bouteille juste pour la beauté de l'étiquette ?
Nous l'avons tous fait.
Mais l'étiquette en dit également long sur le goût du vin.
Le nom du vin représente un pays, une région d'exception ou une perle cachée.
Plutôt sympa de savoir de quelle région provient le contenu de votre verre !
L'année des vendanges est l'année pendant laquelle le raisin a grandi et a été récolté.
Le millésime indique l'année suivante.
Tout cela a son importance, car une année n'est pas l'autre, et certaines sont meilleures.
L'année aide à savoir si un vin est prêt à boire ou s'il vaut mieux le garder encore quelques années.
Voulez-vous savoir comment évolue le goût d'un vin ?
Un petit truc, achetez six bouteilles, ouvrez-en une de temps en temps et vérifiez s'il a besoin de mûrir encore un peu ou s'il faut le boire sans tarder.
La provenance du vin ou l'Appellation d'Origine Protégée (AOP), par exemple, indique certaines caractéristiques qui déterminent la personnalité de votre vin.
Que vous soyez novice ou expert(e), optez pour une bouteille des plus anciennes régions viticoles du monde : Bordeaux, Bourgogne, Rhône Alsace.
Les raisins de climats plus chauds sont souvent plus sucrés er fournissent donc un pourcentage d'alcool plus élevé de +/-10 %
Alors si votre vin est léger, vous goûterez plus l'acidité et les tanins.
Les vins plus puissants et plus alcoolisés gagnent en corps et relient les arômes et saveurs entre eux, créant un bel équilibre dans votre verre.
Quelle couleur de vin dans quel verre ?
Choisir le bon vin pour accompagner un repas est tout un art.
Outre le vin, le verre a également toute son importance pour l'expérience gustative et olfactive.
Le verre à dégustation est un verre à pied, permettant de garder le vin à bonne température.
Il faut toujours tenir son verre à vin par le pied (la jambe), et non par la base.
Cela permet alors d’éviter l’effet bouillotte qui peut réchauffer le vin.
Lors d’une dégustation, la température du vin est très importante.
Vous organisez une soirée entre amis ?
Vous êtes amateurs de vin ?
Un jeu amusant consiste à déguster le même vin dans différents types de verres.
Le vin s’exprimera alors différemment suivant la structure de ce dernier.
Si vous êtes habitués à l’exercice de la dégustation, vous ressentirez ces nuances et déterminerez des préférences.
Là aussi, cela prouve l’importance de bien choisir son verre à vin.
Les vins blancs et rosé doivent rarement être aérés, optez pour un verre à l'ouverture plus étroite, qui garde votre vin plus frais et ne laisse pas échapper les arômes.
La quantité de vin blanc est réduite en raison du calice plus petit.
Ainsi, le vin reste moins longtemps dans le verre et est toujours à bonne température jusqu'à la dernière gorgée.
Les verres à vin rouge ont une forme de ballon et une grande ouverture.
Le calice volumineux élargit la surface du vin et l'aère davantage, ce qui permet à son arôme de se développer idéalement.
Plus les arômes sont corsés, intenses et complexes, plus le diamètre du verre doit être large.
Le vin rouge doit pouvoir respirer.
Laissez au vin le temps de respirer avant de le servir.
Il développe toute sa saveur dans un décanteur.
Les verres à vin rouge doivent toujours être remplis seulement à moitié.
Vider la bouteille de vin d'un seul coup ?
Ce n'est pas toujours une bonne idée.
Mais vous n'allez pas le jeter, tout de même !
Utilisez un fond de vin dans une sauce ou un risotto.
Au XVIIIe siècle, l'art de la table s'est développé et avec lui, l'importance accordée à la décoration des verres à vin.
Jusque dans les années 1920, les verres à vin étaient minutieusement et artistiquement décorés.
Aujourd'hui, les verres sobres sont davantage répandus, car ils ne dénaturent pas l'aspect visuel du vin.
Fin de la saison 2020.
La saison 2020 au Puy du Fou tire sa révérence.... !
Que dire.... ?
Les mots et les longs discours sont devenus inutiles mais juste un mot : "Merci".
Merci aux personnels des parkings, sécurités et de l'accueil qui œuvrent pour notre bien-être avant le début de notre journée sur le Grand Parc.
Merci aux bénévoles de la Cinéscénie pour leur engagement dans la transmission de leur histoire.
Merci aux Artisans du Puy du Fou qui par leurs savoir-faire, nous font ou refont découvrir les gestes et les métiers d'autrefois.
Merci aux petites mains du Grands Parc qui, dans l'ombre travaillent, pour la propreté, les soins apportés aux animaux, les costumières qui réalisent de beaux costumes, les jardiniers qui nous offre un cadre exceptionnel, le personnel de maintenance et de nettoyage qui court (discrètement) pour remplacer le matériel capricieux ou nettoyer les indélicatesses des visiteurs….
Merci au personnel des hôtels, de la restauration et des boutiques sans oublier tout le personnel de la logistique qui sans lui, les rayons et nos assiettes seraient vides..
Merci aux enfants du spectacle et acteurs pour toutes ces performances artistiques qui jour après jour font grandir l'histoire du Puy du Fou.
Merci aussi au personnel des réservations qui sont là jour après jour à l'écoute de nos demandes.
Enfin un grand merci à la direction du Puy du Fou, pour sa sympathie et pour son travail qui nous fait vivre l'histoire de Vendée et de France et qui nous donne aussi l'envie de revenir saison après saison au Puy du Fou (Cette terre de géant et de genêts en fleur).
Je voulais aussi remercier particulièrement les Puyfolais, les parents des enfants, les acteurs et personnel du Puy du Fou, mais aussi les visiteurs (connus) et tous les anonymes, qui m'ont croisé dans les allées du Grand Parc et qui m'ont encouragé ou remercié pour mon petit "Puystory".
A vous, "Puystory", vous remercie pour toutes vos petites attentions.
Biscuits aux noix.
Ingrédients 250 grammes de beurre (hors du frigo depuis une heure).
200 grammes de sucre 2 œufs.
1 cuillère à soupe de sucre vanille
100 gr de noix
100 gramme de noisettes
500 gr de farine
Recette :
Mélanger le beurre, le sucre et les œufs afin d'obtenir une mousse.
Ajouter le sucre vanille, les noix et les noisettes préalablement moulues et la farine.
Malaxé le tout afin d'obtenir une pâte homogène.
Couvrir la pâte et la laisser reposer au frigo pendant 1 heure.
A l'aide d'un robot, faites de petite portion.
Déposer les sur une plaque à cuisson.
Préchauffer le four à 200°.
Placer au four pendant 10 à 15 minutes.
Laisser refroidir….
Bonne dégustation.
Spaghetti bolognaise à la Puystory.
Ingrédients pour 3 à 4 personnes :
1 oignon. 1 gousse d'ail.
Thym, laurier, romarin, origan.
Sucre, sel, poivre.
1 boîte de concentré de tomate.
1 boîte de tomate entière ou en cube.
1 tasse de bouillon.
500 gr de haché de porc et bœuf nature (NON préparé).
Huile ou beurre.
Recette :
Chauffer une cuillère d'huile ou de beurre dans une casserole.
Emincer l'oignon et l'ail et les rissoler.
Ajouter le haché et le faire revenir avec l'oignon et bien mélanger jusqu'à mi-cuisson de la viande.
Ensuite, ajouter le concentré de tomate et continuer à mélanger (important).
Quand le concentré est bien intégré, ajouter les herbes aromatiques (finement haché ou mixée….
Sauf le laurier qui sera retiré à la fin de la cuisson) ainsi qu'une cuillère à café de sucre.
Sel et poivre selon goût.
Continuer à bien mélanger et ajouter la boîte de tomate.
Ajouter une tasse d'eau ou de bouillon (poulet ou bœuf).
L'excès d'humidité partira à la cuisson.
Laisser cuire pendant 1 heure à feu doux et mélanger de temps en temps.
Retirer la feuille de laurier avant de servir.
Cuire vos pâtes, ajouter le fromage râpé.
Bonne dégustation de la recette (Puystory)
Flamiche au maroilles*
Cette recette venue du nord de la France constitue une excellente idée d'entrée ou de plat unique pour le diner.
Pour 6 personnes
la Préparation: 25 min - un repos de 15 min -cuisson: 50 min
• 250 g de farine
• 1/2 sachet de levure chimique
• 4 oeufs
• 12,5 cl de lait
• 1 pincée de sel
• 110 g de beurre ramolli
+ 30 g pour la garniture
• huile pour la jatte
• 180 g de maroilles
• 12,5 cl de crème fraîche
• 1 pincée de noix de muscade
• poivre
Mélangez la farine et la levure dans un saladier, ménagez un puits au centre et ajoutez 2 oeufs battus dans le lait tiède et le sel.
Mélangez le tout jusqu'à ce que vous obteniez une boule de pâte lisse, légère et collante.
Travaillez la pâte durant 5 minutes et ajoutez-y le beurre.
Retravaillez légèrement la pâte, puis étalez-la dans un moule à tarte à bord haut préalablement beurré.
Recouvrez la pâte de fines tranches de maroilles et de morceaux de beurre.
Versez sur la flamiche les oeufs restants battus dans la crème fraîche parfumée à la noix de muscade.
Poivrez. Laissez reposer 15 minutes.
Préchauffez le four (210°).
Faites cuire la flamiche pendant 50 minutes dans le four chaud.
Servez immédiatement.
Vous pouvez utiliser un autre fromage de type munster pour réaliser cette flamiche.
Le maroilles étant déjà un fromage très salé, il n'est pas indispensable d'ajouter du sel à la préparation.
Bon appétit.
Histoire de l'automobile (1)*
DE
En passant par
Vers
Née à la fin du XIXe siècle en Europe, l'automobile s'est progressivement imposée comme le principal mode de transport, dans les pays développés, pour la circulation des individus et le transport de marchandises.
Son industrie a été un des secteurs les plus importants et les plus influents depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale.
Bien que les premiers modèles sont apparus quelques années plus tôt, le mot "automobile" lui-même n'est forgé qu'en 1890 et il faut attendre 1896 pour voir l'Académie française se prononcer sur son genre, féminin en l'occurrence.
Si l'on s'en tient à l'étymologie du mot automobile, "qui se meut par soi-même", ce serait le petit véhicule à vapeur fabriqué par Ferdinand Verbiest dans le palais de l'empereur de Chine à Pékin vers 1668, qui, le premier, remplit cette condition.
En 1769, l'idée de Ferdinand Verbiest est reprise par le Français Joseph Cugnot qui présente son "fardier à vapeur", un charriot propulsé par une chaudière à vapeur.
Cet engin autopropulsé était destiné à déplacer de lourds canons.
Il atteint une vitesse de 4 km/h pour une autonomie moyenne de 15 minutes.
Affiches par Puystory
Découvrez les réalisations sur :
http://puystory.magix.net/album/tous-les-albums/!/oa/6703336/
L'aqueduc de Maintenon
Le chantier de l'aqueduc débuta en 1685 avec Vauban comme directeur des travaux et la Hire comme directeur des térrassements.
Le projet est ambitieux ,l'aqueduc devra conduire les eaux de l'Eure de Pontgoin jusqu'à Versailles sur 80 km.
Le plan de l'aqueduc est dessiné par le célèbre architecte Blondel (1618-1686) qui s'inspire du pont du Gard.
Le projet primitif comporte 3 étages d'arcades sur une hauteur de 73m.
Mais les travaux ont un coût alors on se limite à une seule rangée d'arcades encadrées par deux siphons.
En 1688,le roi, pour dédommager Madame de Maintenon des travaux qui abimaient le parc, lui donne le titre de marquise.
Survient la guerre de la ligue d'Ausbourg qui ralentit le chantier.
En 1695, les caisses sont vides, les travaux cessent définitivement.
Il restait 29 km et quelques travaux annexes pour que les eaux de l'Eure arrivent aux cascades de Versailles.
Le roi fit don de l'aqueduc inachevé à Madame de Maintenon.
L'aqueduc de Maintenon est l'un des rares témoins conservés des réflexions hydroliques de Vauban.