Les amphithéâtres
Les combats de gladiateurs ont été inventés par les Etrusques.
Il s'agissait à l'origine de remplacer par des combats, le sacrifice de prisonniers de guerre.
Au début, les combats de gladiateurs se déroulaient au Forum.
Il n'y avait pas de places assises.
Les premiers amphithéâtres furent construits en bois.
Ils étaient démontables.
Plus tard, les Romains construisent des amphithéâtres en pierre, dont le plus célèbre, le Colisée, mesure 188 métres sur 150, avec une hauteur de 52 métres.
Il peut accueillir de 50.000 à 60.000 spectateurs.
Au Puy du Fou, le Stadium Gallo-Romain a une dimesnion de 107 m sur 79m.
Le quadrige
Char monté sur deux roues et attelé par quatre chevaux placés de front utilisé dans l'Antiquité (Jeux Olympiques aux autres jeux solennels de la Grèce et de l’Empire Romain).
L’origine du mot viendrait du latin : "quadrigae", "quadr-igae", de "quadr" (quatre)..., et de "agere", (conduire).
Dans l’Antiquité, les courses de quadriges à Rome se déroulaient principalement au Circus Maximus Dans la mythologie grecque, les quatre chevaux du quadrige d’Hélios portaient les noms suivants (noms Latin et noms Grecs) :
Eous (Eôos) - de l'Orient
Eton (AIthon) - de feu
Phlegon (idem en grec) - brûlant
Pyros (Pyroeis) - enflammé.
Les premières trace du quadrige viendrait de la mythologie grecque, où Phaéton ou Phaéthon (fils d'Hélios , dieu Soleil), serait mort foudroyé pour avoir perdu le contrôle du quadrige de son père, et de ce fait, aurait manqué d'embraser le monde.
Le conducteur du char s’appelle "Aurige".
Les chevaux ont aussi une dénomination.
Les extrêmes sont les Galériens et les centraux sont les timoniers.
La condition physique des chevaux à une grande importance au Puy du Fou.
Le galérien de droite court à 40 km/h soit 10 km/h en plus que celui de gauche.
La difficulté de cette course vient de la conception du Stadium.
En effet, c’est la seule infrastructure au monde qui associe l’architecture du Colisée et celle du Circus Maximus.
Le Colisée étant destiné aux combats de gladiateurs et/avec la présence de fauves, et le Circus Maximus orienté sur la course de chars avec sa légendaire Spina.
La course dure environ deux minutes pour une distance totale de neuf cents mètres.
Arbre des religions abrahamiques.*
Comme nous avons déjà parlé du poisson, voici un arbre des religions.
Arbre des religions abrahamiques
- Abraham -1800
- Moïse ( Juifs) -1250
- Pharisiens
- Sadducéens
- Zélotes
- Esséniens
- Jésus0
- église chrétienne50 (Corinthe - Cf. concile Jérusalem 47 ou 49)
- duophysisme (Calcédoine 451)
- catholicismeromain
- cathares 950
- vaudois 1175
- protestantisme1521
- anglicanisme 1534
- calvinisme 1536
- baptisme anglais 1606
- Quakers 1647
- Amish 1690
- méthodisme 1739
- Smith - mormonisme 1823
- adventisme 1863
- Témoins de Jéhovah 1879
- orthodoxie (séparée de Rome en 1054)
- catholicismeromain
- réformés (aucun rapport avec les protestants)
- monophysisme(condamné en 451)
- duophysisme (Calcédoine 451)
- monothélisme (condamné à Constantinople III 680) arianisme(condamné à Nicée 325, Constantinople 381)
- maronites 435
- nestorianisme(condamné à Éphèse 431)
- assyriens-nestoriens
- Mahomet - mahométisme (voir aussi islam) 622
- soufisme 680
- chiisme632
- zaïdites 740
- duodécimains (imamnites) 874
- Bab - babisme 1844
- septimains ou ismaéliens 760
- assassins (nizarites)
- alaouites
- druzes
- kharidjisme657
- azraquites
- cofrites
- ibadites
- sunnisme
- hanafisme 767
- malékisme 796
- chafiisme 820
- hanbalisme 855
- wahhabisme1744
- salafisme
- salafisme
- église chrétienne50 (Corinthe - Cf. concile Jérusalem 47 ou 49)
- Moïse ( Juifs) -1250
L'arbre des religions.*
La Religion, système de croyances et de pratiques fondé sur la relation à un Être suprême, à un ou plusieurs dieux, à des choses sacrées ou à l'univers.
À travers l'histoire, les hommes ont élaboré de multiples religions.
Certaines se sont répandues dans le monde entier et sont très pratiquées.
On peut distinguer notamment quelques grandes familles du point de vue des aires culturelles et géographiques :
Les religions antiques (généralement éteintes) :
- la religion gauloise
- la religion grecque
- la religion romaine
Les religions orientales :
- le Bouddhisme
- l'Hindouisme,
- le Jaïnisme,
- le Brahmanisme
les spiritualités de l'Inde :
- le Shintoïsme
- le Taoïsme
Les religions occidentales :
- le Christianisme
- l'Islam
- le Judaïsme
- la Foi bahá'íe
- le Rastafarisme
Les religions des sociétés traditionnelles :
- l'Animisme
- le Chamanisme
- le Totémisme
Les religions récentes ou nouveaux mouvements religieux :
- wicca ou néo-animisme
Du point de vue de l'idéologie :
- Monothéisme,
- Polythéisme,
- Panthéisme,
- Syncrétisme,
- Dialogue inter-religieux
Les principaux amphithéâtres
Les amphithéâtres marquent le passage de la domination romaine dans les contrées.
Les principales villes où des amphithéâtres furent érigés, sont :
Albe ou Albano, Bologne, Canusium (Canosa), Capoue, Cumes, Garigliano, Otricoli, Paestum, Pompéi, Pouzzoles, Rimini, Todi, Vérone, Rome, Pola, Agrigente, Catane, Syracuse, Tarragone.
Autun, Bordeaux, Fréjus, Lyon, Nîmes, Arles, Vienne, Saintes, Limoges, Périgueux, Poitiers, Béziers, Auxerre, Angers, Langres, Bourges, Cahors, Le Mans, Tours.
Dans la partie des Gaules dont s'est formée la France, on en comptait trente-cinq, presque tous détruits. Celui de Cran (Loiret), qu'on voit encore maintenant, n'avait de gradins que d'un côté, il ne devait pas contenir un grand nombre de spectateurs.
En Afrique, il y en avait sur plusieurs points de l'Algérie entre autres à Lambessa, à Cherchell et dans la province de Tunis, à Dimas, et à Tisdra (El-Djem).
Le Podium
L'arène était entourée d'un soubassement élevé de 4 ou 5 mètres, appelé "podium", formant une plate-forme où l'on établissait quelques rangs de sièges portatifs pour les vestales, les sénateurs et les magistrats, le suggestus ou cubiculum, (la loge de l'empereur).
Un siège à part pour la personne qui donnait les jeux, l'éditeur des jeux.
Le podium protégeait le public contre les atteintes des bêtes féroces, ainsi qu'un fossé ou canal plein d'eau, nommé euripe, que l'on creusait souvent au pied, tout autour de l'arène.
On ornait généralement le podium, à sa partie supérieure, d'une balustrad ou d'un treillis en métal.
XP
Le XP ou croix de Constantin, représente le Chi-Rho, une des plus anciennes symboles chrétiens. XP sont les deux premières lettres du mot grec pour le Christ.
D'après la légende, c'est ce signe que portait l'étendard (labarum) de Constantin Ier quand il marcha contre son rival Maxence et le battit à la bataille du pont Milvius en 312.
Par la suite, Constantin déclara qu'il avait eu un songe où il avait vu ce signe accompagné du message : "Sous ce signe tu vaincras" (In hoc signo uinces en latin, - En touto nika en grec).
En réalité, l'association de ces deux lettres pour former un symbole préexiste à Constantin et au moment où il manifesta sa faveur envers le christianisme.
Dans le monde grec païen, c'était l'abréviation du mot χρηστός (chrêstos), qui signifie "utile, de bon augure" et il indiquait soit un souhait soit un commentaire approbateur, de la même manière qu'on utilise aujourd'hui l'image de certains panneaux routiers pour symboliser l'interdiction ou le sens à suivre en dehors du code de la route.
Quoi qu'il en soit, le symbole fut adopté par le christianisme et il servit d'emblème aux empereurs chrétiens qui succédèrent à Constantin.
IHS
L'IHS est un emblème chrétien de monogramme qui représente le Saint Nom de Jésus composé des trois lettres: IHS.
La signification la plus probable est tout simplement les trois premières lettres de "Jésus" en grec: ΙΗΣΟΥΣ.
Les deux premiers caractères, iota (Ι) et l'ETA (Η), sont presque identiques en apparence à du latin "IH".
Comme il n'existe pas de caractères latins pour le troisième caractère sigma (Σ), la prononciation nous donne une bonne approximation du latin "S", nous donnant l'ensemble "IHS".
Pendant le Moyen Age, le Nom de Jésus a été écrit: IHESUS.
Ce sigle se retrouve sur le socle des croix, dans les cimetières, dans les églises, sur des linteaux de porte.
Pour certains c’est le signe de la présence d’un établissement des chevaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem (IHS = Sancti Johannis Hospitalis ?)
Pour la plupart c’est "Jésus Sauveur des Hommes", formule répandue après la prédication de Saint-Bernardin de Sienne, vers le milieu du XVe siècle, initiateur de la dévotion "au saint nom de Jésus" et du monogramme I.H.S.
SPQR
Mais que veulent dire ses lettres ?
Au temps des romains : La devise Senatus Populus Que Romanus (signifiant Le sénat et le peuple romain), souvent abrégée sous la forme du sigle S.P.Q.R., était l'emblème de la République romaine, puis par tradition de l'Empire romain.
Plus encore que tout autre symbole, ces quatre mots représentaient le pouvoir politique romain, comme un drapeau le fait aujourd'hui pour nos États.
On trouvait cette devise sous forme de sigle sur les monuments publics, comme les frontons des temples ou des arcs de triomphe.
Elle était probablement également employée sur les bannières militaires.
D'une manière générale, toute réalisation impériale était susceptible d'être revêtue de cette devise.
Les lettres S.P.Q.R. font toujours partie du blason de la ville de Rome et sont encore inscrites sur les bâtiments, bouches d'égouts et œuvres publiques de la ville.
- La traduction italienne d'Astérix fait allusion au fait que l'expression SPQR peut aussi être comprise comme Sono pazzi questi Romani (« Ils sont fous ces Romains »).
- Les Italiens disent aussi des habitants de Rome : Sono porci, questi Romani (Ce sont des porcs, ces Romains).
- Dans le film Gladiator (2000), le personnage principal, Maximus Decimus Meridius, un général romain déchu, tente d'effacer le tatouage SPQR qu'il porte sur l'épaule gauche avec le bord tranchant d'un coquillage.
- Dans la série française Kaamelott, Arthur, roi de Bretagne, a été marqué au fer rouge du SPQR sur la plante du pied.