Puystory

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Le Puy du Fou en images
30 décembre 2022

L'orgue de barbarie *

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Est une tradition d'Europe centrale remontant au 17e siècle.
L'orgue de Barbarie est un instrument de musique mécanique à vent classé dans les orgues puisqu'il comporte des tuyaux et des jeux.
Il fait partie des "automatophones", terme qui englobe tous les instruments destinés à produire de la musique par des procédés mécaniques.
L'orgue de Barbarie est un instrument de musique populaire mécanique portatif et sa décoration est toujours gracieuse.
Les plus petites orgues de Barbarie (Serinettes) se portent en bandoulière.
L’orgue de Barbarie n'a pas la majesté de l'orgue liturgique, mais il incarne une tradition de musique populaire conviviale.
Le 19° siècle fut période de gloire pour l'orgue de barbarie.
Bien que l'orgue de barbarie ne disparut jamais complètement des rues, leur nombre chuta à partir de 1920 pour quasi-disparaître dans les années 1960.

28 décembre 2022

Habits de Château.

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26 décembre 2022

La tribune

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Après votre réservation pour la Cinéscénie, vous avez reçu votre (vos) billet(s).
Mais où serez-vous placé(e)(s) pour apprécier le spectacle ?

Je vous propose aujourd’hui un petit descriptif de la tribune.
Mais commençons le voyage dans le temps depuis le parking jusqu’à votre place.

Pour des raisons de sécurité, un contrôle de votre bagage à main sera demandé par un agent de la sécurité.

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Passage au contrôle de votre billet.
(Gardez votre billet à portée de mains, il vous sera demandé à 3 reprises).

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Passage par un portique de sécurité.
(1er contrôle de billet).
L'accès vers la tribune se fait soit via un escalateur ou des escaliers.
Pour l'escalateur, des agents de sécurité sont présents et règlent le flux des visiteurs
(Suivez leurs instructions).

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Après votre petite ascension, vous entrez dans le déambulatoire de la tribune.
Sur votre billet, il est mentionné la lettre d’une porte.

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Une série de panneaux vous indique l’emplacement de la porte qui vous est attribuée.
(Préparez votre billet, il vous sera demandé par un contrôleur).

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À présent, vous découvrez l’espace scénique.
Votre rang est indiqué sur le sol.
Votre billet sera demandé afin de vous aider à vous placer (fin du contrôle).
Vous êtes bien installé !

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Le spectacle peut commencer.

Le jour tire son rideau...
Une petite lumière troue la nuit qui vient de s'installer.
Soudain, une voix s'élève, profonde, vibrante.
La mémoire reprend la parole.
Une histoire commence, l'histoire recommence.
Son souffle s'élève, envahit l'espace.
Treize mille cœurs communient et battent comme un seul homme.
Acteurs, spectateurs, tous passagers du temps.
Pour un voyage dont on ne revient jamais tout à fait.

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En fin de spectacle, vérifiez de n’avoir rien oublié.
Bon retour.

24 décembre 2022

Joyeux noël...

Revivez (en 13 minutes), avec la collaboration du groupe "Gloria", le "Mystère de Noël" du Puy du Fou (2012-2107).

22 décembre 2022

Une idée de cadeau.

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Un ouvrage très bien réalisé (en français et anglais), facile à lire et très bien illustré.
Le tout couronné d'une mise en page originale et d'un format hors du commun..
Les éditions Beaufort remercient Nicolas de Villiers et le Puy du Fou, Olivier du Boucheron et le Souvenir Vendéen, le Conseil départemental de la Vendée et notamment Xavier de Moulins et Jean-Daniel Ménard, Claude de Puystory, et Nicolas Delahaye pour leur précieux soutien dans la réalisation de cet ouvrage.
Grâce à eux, l'Histoire vendéenne rayonne aujourd'hui en France et par-delà nos frontières.

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© Éditions-Beaufort, Paris, 2019
Responsables édition: Alexis Robin et Aymeric de Rougé
www.editions-beaufort.com
Textes: Paul Bridier
Conception graphique & réalisation: David Cosson - dazibaocom.com
Traduction: Nathalie Findlay
Relecture: Iris Bridier

En vente sur la :  FNAC ,  Leslibrairies.fr

21 décembre 2022

Le pressoir

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Le jus a longtemps été extrait manuellement ou par foulage aux pieds.
Le pressoir est une évolution mécanique du processus.
Le pressoir à vis date de l'antiquité, où il est utilisé pour obtenir l'huile et le vin, lors du premier siècle de l'ère et lors du siècle précédent.

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Le pressoir à claies verticales est le plus souvent rond ou parfois carré.
Les claies (latin médiéval clida, du gaulois cleta), généralement en hêtre, forment la cage d’où le liquide s’écoule (le moût).
Le pressoir avec mécanisme à cliquets limite les efforts et augmente la force de pression.

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La vis placée au centre du bâti assure directement le pressurage de la vendange.
Ce pressoir permet de presser des pommes, raisins et fruits divers afin de réaliser jus, vins et cidre et en apiculture pour le pressurage des opercules.
Ce type de pressoir peut-être facilement démonté et installé sur un trottoir ou dans une cour, mais dans les campagnes, dans les fermes et pour des raisons de commodités, il est monté à demeure. 

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Pour faciliter leur emploi, il existe aussi des pressoirs de ce type monté sur des véhicules à roues.
L’évolution des techniques apporte des améliorations permanentes au pressurage mécanique et le 19ème siècle marque une grande évolution des pressoirs sur le plan des matériaux utilisés.
Le fer et la fonte remplacent certaines pièces de bois.

20 décembre 2022

marier les vins

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Les fêtes de fin année approchent à grands pas avec leurs repas bien accompagnés.
Consommer l'alcool avec modération pour ne pas se retrouver comme ce pauvre écuyer qui a abusé de la "trouspinette".

Mais comment marier les vins avec les plats pour en profiter pleinement ?
Vins rouges peu tanniques, acidulés :
Pizza, lasagne, mets à base de tomate, poisson grillé, viandes froides et saucissons.
Vins rouges tanniques :
Gibier en sauce, plats en sauce avec fines herbes, poulet ou dinde farcie et grillée.
Vins blancs secs neutres :
Poissons, fruits de mer cuits au naturel, poitrines de poulet grillées, quiches, mets cajuns, saucisson, mets chinois ou thaïlandais, pizza.
Vins blancs vifs :
Mets en sauce tomate, salades avec vinaigrettes relevées.
Sushi, saumon ou thon grillé ou même cuit au four.
Vins blancs parfumés :
Mets chinois et thaïlandais, poisson fumé, pâtés riches, porc, quiches, plats avec gingembre frais, porc et poulet froid.
Vins rosés :
Ces vins se marient avec toute une panoplie de plats, allant du poisson aux mets épicés.
Étant donné leur légèreté, il est préférable d'éviter de les servir avec des plats de viande costauds.

19 décembre 2022

Vallée fleurie du Puy du Fou

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18 décembre 2022

Les huîtres

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Les huîtres apportent toujours une touche élégante à la fête.
Accompagné de bulles, le goût rafraîchissant de ces mollusques vous mettra d'emblée dans le bon état d'esprit.
Le goût riche des creuses ne tombe pas du ciel.

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Tout comme pour le vin, il est influencé par le sol dans lequel elles évoluent.
La tourbe légère dans le sol ainsi que le plancton animal que ces eaux abritent, confèrent aux huîtres leurs accents fruités et leur arrière-goût saumâtre.

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Pendant la pêche, les bivalves se referment en gardant un peu de sable prisonnier.
Les ostréiculteurs les laissent dans de grands bassins ou puits à huîtres où elles peuvent se reposer pendant quelques jours et enfin se rouvrir.

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Et elles y resteront encore trois à quatre mois !
Durant ce temps, elles se régalent de plancton végétal et profitent d'un bon bain de soleil pour développer leur goût raffiné.

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Pour les fêtes, savourez et allez-y, en une seule bouchée !
Il vaut mieux consommer les huîtres le plus rapidement possible, car elles se conservent au maximum 10 jours.

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Veillez à les tenir bien droites lorsque vous les ouvrez pour éviter de perdre leur jus délicieux !

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Vous voilà devant votre panier d'huîtres, savourant déjà ce goût naturel incomparable, mais avant la corvée de l'ouverture s'impose.
Voici quelques conseils et techniques pour que cela ne soit plus une corvée.
Tout d'abord, équipez-vous d'un bon couteau à huîtres (à lame courte et pointue, si possible sans garde, mais cela dépend des goûts).
Pour les droitiers, positionnez l'huître dans la main gauche, l'arrière vers vous et la partie plate au-dessus.
Pour les gauchers, placez dans la main droite, l'avant vers vous, toujours la partie plate au-dessus.
Introduisez la lame en forçant sur le côté de l'huître, à un peu plus de la moitié de l'huître (vers l'avant) afin de tomber sur le nœud.

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Une fois la lame introduite, sectionner le nœud, puis racler la coquille du dessus et finalement ôter la coquille supérieure.
L'ouverture des huîtres plates est plus difficile, car le nœud est situé plus au milieu de l'huître.
Dans ce cas, il faut l'ouvrir par la charnière, en faisant levier entre les deux coquilles pour faire sauter le dessus.
Pour tous ceux que l'ouverture des huîtres rebute encore, il existe des couteaux spéciaux qui permettent de casser le bord de l'huître pour couper le nœud sons effort.

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Les plus fortunés pourront même employer les services d'un écailler qui fera cela très bien.
Les huîtres avec un fil d'ouverture sont à déconseiller, car le processus de mise en place de ce fil fatigue l'huître et altère sa qualité.

17 décembre 2022

Les oiseaux ont faim en hiver.

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L'hiver est rude pour les petits oiseaux.
Heureusement, nous sommes là.
Bien nourris, et avec de l'eau à leur disposition, ils supporteront aisément les froids les plus intenses et s'habitueront très vite à fréquenter leur nouveau restaurant, installé sur votre balcon ou dans votre jardin.
Le nourrissage devra se prolonger jusqu'à la fin février au moins.
Souvenez-vous de certains hivers, si rudes pour les petits hôtes de nos jardins !
Songeons donc dès maintenant à leur nourrissage.
Les avis des ornithologues divergent cependant sur la question.
Les petits passereaux - omnivores et granivores - qui hivernent chez nous, jouent un rôle important dans notre écosystème.
Ils se nourrissent de baies, de fruits, de graines et d'insectes et servent en quelque sorte de régulateur biologique.
Ils sont parfaitement adaptés aux rigueurs de l'hiver.
En les nourrissant "artificiellement", nous risquons de les voir perdre leur instinct.
Évitons donc de créer un lien de dépendance qui les déshabituerait à rechercher leur nourriture dans la nature.
Un autre risque est de voir se rassembler un trop grand nombre d'oiseaux dans un espace réduit et d'accroître le danger de contamination et d'épidémie.
Ne commençons pas trop tôt le nourrissage.
Attendons que le sol soit gelé et que tombent les premières chutes de neige.
Nous verrons alors nos petits affamés venir se réfugier à proximité des maisons.

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QUI VIENDRA ?
Les moineaux délurés et les merles bavards, bien sûr, suivis des étourneaux, rois des pique-assiettes (ils chassent même les merles, les bougres !).
Dans les jardins de banlieue, dernières oasis de vie sauvage, les clients seront plus variés :
les mésanges (charbonnières ou bleues le plus souvent ; quelquefois nonnettes ou à longue queue), les éternels étourneaux, les rouges-gorges (si astucieux, qu'ils se posent à côté du jardinier en train de bêcher, dans l'attente d'un succulent ver de terre), quelques bouvreuils...

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QUELQUES CONSEILS
Quand vous commencerez le nourrissage, il devra se faire de manière régulière.
Le matin, et en quantité raisonnable ; ainsi, durant la journée, les oiseaux continueront à remplir leur rôle biologique.
Évitez de laisser à leur portée une trop grande quantité de nourriture, cela pourrait nuire à leur organisme.
Quant au choix, veillez surtout à la qualité des aliments.
Dès la fonte des neiges ou le dégel, au début du printemps, il sera temps d'arrêter la distribution...

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QUE DONNER À MANGER ?
Comme solution de facilité, il existe dans le commerce de la nourriture toute préparée, mais il est plus amusant et moins onéreux de la préparer soi-même.
Attention, l'alimentation des oiseaux doit répondre à certains critères de diététique.
Ne leur donnez pas n'importe quoi !
Par exemple : jamais d'aliments salés !
Pour lutter contre le froid, apportez-leur une nourriture riche en calories.
Donnez-leur de la graisse : graisse de bœuf, margarine non salée, saindoux, couenne de lard non salé...
Vous pouvez aussi faire fondre de la graisse à laquelle vous incorporerez un assortiment de graines.
Les graines de tournesol, riches en lipides et en protides, constituent un aliment idéal pour beaucoup d'oiseaux.
Une bonne idée quand on a la place : une fleur de tournesol fixée à l'extrémité d'un piquet.

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On peut également préparer soi-même des mélanges à base de millet blanc, d'avoine, de blé, d'œillette...
Nos petits hôtes se montrent aussi friands de fruits récoltés en automne : noisettes, faines, Prunelles etc..
Faites-en provision pour eux !
Pensez à conserver les graines de chardon et de plantain, les baies de sureau, d'aubépine, de sorbier... vous ferez des heureux !
Si votre jardin a gardé un petit air sauvage, ne l'entretenez pas trop !!!
Il constitue une manne pour les petits affamés ailés.
Des morceaux de pommes et de poires mûres seront accueillis avec joie par les grives, les merles et les étourneaux.
Par grand froid, préparez une pâtée plus énergétique en incorporant de diverses graines dans des blocs de saindoux ou de margarine.
Des restes de viande hachée, des légumes secs, des os broyés, du fromage (les rouges-gorges adorent !), des aliments pour chiens et chats, des œufs durs, des flocons d'avoine ou de maïs, des noix et des cacahuètes (non salées) ou encore : un morceau de lard bien gras accroché à une ficelle, seront fort appréciés…
Mais attention : jamais de pain !
Mouillé, il gonfle dans leur jabot et peut étouffer vos protégés !

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DONNEZ-LEUR À BOIRE
Reste le problème essentiel de la boisson.
En période de grand gel, les oiseaux ne trouvent plus rien à boire !
Aussi inattendu que cela paraisse, les oiseaux meurent davantage de soif que de froid, l'hiver il faut y penser !
Pour empêcher que l'eau ne gèle dans le récipient, ajoutez une goutte de glycérine, d'alcool blanc ou un peu de sucre et changez-la le plus souvent possible.
Pour la mangeoire, vous pouvez, si vous préférez vous faciliter la tâche, en trouver de toute faites dans certains magasins spécialisés.
Mais il ne faut pas croire que les plus sophistiquées seront nécessairement les meilleures !
Avec un peu d'imagination, vous dénicherez le support qui fera très bien l'affaire, à condition qu'il protège la nourriture de l'humidité.
Les bricoleurs de tous âges pourront d'ailleurs en fabriquer.
Choisissez avec soin l'emplacement et orientez-la de préférence vers le sud-est.
Où placer les provisions ?
Attention, placez-les toujours hors de portée des chats et des rongeurs, cela va de soi !

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Voici quelques exemples qui vous aideront : fixez une mangeoire (style boîte à cigares) au sommet d'un piquet lisse de la grosseur d'un manche à balai.
Ou suspendez-la à une branche d'arbre ou au montant du balcon.
Ou encore, attachez une caisse à oranges à une branche.
Pratique : une demi-noix de coco ou un vieux pot de fleur.
Plus élégant un filet à provisions (du genre qui emballe les oranges et les pommes de terre).
Les mésanges gourmandes viendront s'y balancer avec grâce.
Veillez à abriter la nourriture de la neige à l'aide d'une petite toiture.
Ne placez pas la mangeoire à la portée de la convoitise des chats du voisinage et autres prédateurs attirés par des proies faciles...
N'oubliez pas de la nettoyer régulièrement.
Si vous posez la nourriture sur le sol, nettoyez quelques mètres carrés, dans une zone dégagée, à bonne distance des arbustes où pourrait guetter un ennemi...
Et changez souvent la nourriture à cause de l'humidité du sol.

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PRÉCAUTIONS À PRENDRE
Si vous aimez à la fois les oiseaux et les chats, munissez ces derniers de clochettes avertisseuses.
L'idéal : un grelot utilisé par les pêcheurs.
Vos félins prendront peut-être un petit air de vache suisse, mais la fin justifie les moyens.
Comme sonnette d'alarme, demandez aux passereaux : il n'y a pas mieux !
Voilà, maintenant il ne vous reste plus qu'à attendre la venue des grandes gelées et l'arrivée des petits affamés.
Alors, si vous avez bien suivi nos conseils, vous pourrez observer tout à loisir mésanges, rouges-gorges, pinsons, sansonnets, bref tous nos petits passereaux.
En aidant nos amis à survivre, ne nous privons pas du plaisir de les voir s'affairer autour de la mangeoire.
L'ornithologue amateur aura ainsi l'occasion d'étudier, avec discrétion, certaines espèces vite familières aux heures des repas.
Durant ces journées d'hiver, souvent grises et tristes, le va-et-vient incessant de nos petits hôtes ailés égayera nos jardins, nos fenêtres et nos balcons.

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