Puy Story

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21 juillet 2017

Quand la nuit tombe sur le Puy du Fou.

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20 juillet 2017

Le Château de l'Etenduère (Vendée)

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De la superbe demeure, incendiée en 1794 pendant les guerres de Vendée, il ne reste plus que des ruines nostalgiques et chancelantes d'un grand corps de logis et quelques pans de murs menaçant de s'écrouler.
Aux XVIIe et XVIIIe siècles, ce logis était le plus bel ensemble seigneurial de la contrée.
Entre 1100 et 1150, dans le centre-ville actuel, au lieu-dit la Boutinollière, existait "Le petit" fief en l'air, constitué d'un étang, d'une maison et d'un jardin.
Cette seigneurie appartenait jadis au domaine des seigneurs des Herbiers.
Elle remonterait au début du XIIe siècle.

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Elle passa entre les mains de la branche cadette de la famille.
La première mention d'un "des Herbiers, seigneur de l'Etenduère", descendant direct d'un cadet de la famille seigneuriale des Herbiers, remonterait à 1205.
Ce fief fut concédé à Guy des Herbiers, cadet de la famille qui n'avait pas droit à l'héritage selon la coutume du Poitou.
Ce fief, c'était une misère et les gens du pays l'appelèrent l'Etang du hère.
Laurence Raoul, en épousant Guy des Herbiers, lui apporta en dot les terres où s'élèvent les ruines du château actuel qui prit le nom du nouveau propriétaire : "l'Etenduère".

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De simple hébergement en 1375, puis d'hôtel noble et de seigneurie en 1484, le château acquit ses lettres de noblesse en 1622 en étant fortifié avec canonnières, pont-levis et mâchicoulis.
Parmi les seigneurs de l'Etenduère se comptent des générations de marins de guerre sur les vaisseaux de la Royale avec une bonne demi-douzaine de capitaines de vaisseaux, mais aussi des marins de commerce.

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Les cadets des familles étaient sans fortune, aussi avaient-ils pris l'habitude de s'engager dans la marine royale où l'avancement se faisait au mérite.
L'un deux, l'amiral Henri-François des Herbiers L'Etenduère (1680-1750) fit flotter le pavillon des Herbiers sur toutes les mers du globe.

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Mais, le château ne fut pas épargné par les colonnes infernales qui y mirent le feu le 31 janvier et 1er février 1794.
C'est la colonne infernale du général Grignon qui incendiera le château de l'Etenduère, pourtant éloigné, à l'époque, du bourg des Herbiers.
Ce sinistre sonne le glas de cette bâtisse.
Selon une tradition orale, des trombes d'eau se sont abattues et l'ont sauvé partiellement.
Miraculé, il fut malgré tout laissé à l'abandon et ignoré pendant deux siècles.

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Le château de l'Etenduère n'est plus que l'ombre de lui-même depuis le 31 janvier 1794.
De ses temps radieux, il reste un passé millénaire et une biche blanche mystérieuse.
"La légende de la Demoiselle remonte au XVIIe siècle et elle comporte plusieurs versions".
La plus courante raconte qu'un jeune seigneur courtisait une jeune fille du château de l'Etenduère.
En vain.
Furieux d'être éconduit, il chargea une sorcière d'envoûter la belle.

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La nuit, la jeune fille se transformait en biche blanche et ne reprenait forme humaine que le matin, peu avant l'aube.
Pour conjurer le sort, il aurait fallu blesser "au sang" l'animal.
Pour cela, il fallait utiliser un fusil à piston, avec une balle bénie, et intercaler un cheveu de nouveau-né entre le chien et le percuteur.
Sinon l'animal restait animal.
Quelqu'un, excédé par le va-et-vient nocturne de la biche, tira sur elle et la tua, sans les précautions requises.

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La Demoiselle de l'Etenduère disparut à jamais.
La bête aurait été enterrée à l'angle du domaine, sous un petit monument, dans le virage de la rue de la Demoiselle.
Mais la révolution étant passée par là, il n'y a plus de trace de l'endroit.
Dans les années 1980-1990, le château put rêver qu'on allait lui redonner vie.
Il flottait un vague projet de théâtre de verdure.
Mais les problèmes techniques et financiers découragèrent la municipalité qui donna priorité à la restauration des dépendances.
Depuis, le château de l'Etenduère est redevenu abandonné, s'interrogeant sur son destin.

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Depuis octobre 2016, tous les samedis matin, une joyeuse équipe des bénévoles de l’association Passion patrimoine (une vingtaine à se relayer par petits groupes) transpirent sur ce chantier d’envergure pour le défrichage du château afin de le faire sortir de l'oubli.

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17 juillet 2017

D'ELBEE protégeant des prisonniers républicains

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D'ELBEE protégeant des prisonniers républicains, AVRIL 1793 par BOISLECOMTE (Edmond de)
Né à Arras en 1849, mort à Arras en 1923.
Elève de Laurens et de Rivey. Peintre d'histoire.
Expose au Salon de 1897.
Huile sur toile, 1899 est d'une hauteur de 1,31m et une largeur 1,95m
*****
Au centre, un homme jeune, bras tendus, refuse l'entrée à trois paysans vendéens armés qui s'apprêtent à franchir le seuil d'une maison.
Dans la pièce, sept soldats républicains défaits et blessés assistent à la scène.
Leurs regards tendus laissent entendre qu'ils sont l'enjeu de la discussion.
Cette oeuvre fait référence à un épisode survenu après la bataille de Chemillé, le 11 avril 1793.
D'Elbée s'interpose entre des prisonniers républicains et des soldats vendéens que ces derniers voulaient massacrer.
Ce geste de clémence d'un héros vendéen à l'égard de ses ennemis est à mettre en parallèle avec le pardon que Bonchamps accordera quelques mois plus tard aux prisonniers de Saint-Florent.
Cette iconographie participe à la propagande royaliste en mettant en évidence les vertus chrétiennes des héros vendéens.

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Lors de l'exposition de cette oeuvre au Salon de 1899, le catalogue mentionnait indûment le titre suivant : "Cathelineau protège les prisonniers bleus à Cholet".
Il s'agit indubitablement de la scène communément appelée "Le Pater d'Elbée".

13 juillet 2017

La Glaneuse

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12 juillet 2017

Jardiniers au Puy du Fou

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10 juillet 2017

Le crucifix d'ivoire de Louis Marie Grignon de Montfort

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Louis Marie Grignon de Montfort (1673-1716).
Les premiers missionnaires furent les apôtres.
Ainsi, saint Paul prêcha la foi chrétienne à Antioche et à Rome, saint Matthieu en Judée, saint Jean en Ephèse.
Ajoutons l'apostolat de François-Xavier en Pendjab, et nous aurons une approche de la démarche de Montfort.
A la Toussaint de 1692, Louis Marie n'a pas encore vingt ans et décide de partir pour Paris...
Il parcourt en dix jours les 370 kilomètres qui le séparent de la capitale.
Avant d'entrer dans la ville, il rencontre deux misérables dépenaillés qui lui tendent la main.
"La charité, s'il vous plaît... au nom de Dieu."
Grignion s'arrête, offre ses maigres économies (dix écus) et sont sac de linge et de provisions préparé par sa mère.
Il se dépouille de son habit neuf et il endosse les haillons crasseux du mendiant.
Louis Marie entre chez M. de La Baraudière.
Il recueille les écoliers pauvres.

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Pour subsister, il obtient un emploi macabre : veiller les corps à la paroisse Saint-Sulpice.
Il partage ses jours entre les prières des vivants et les oraisons pour les morts.
Il est ordonné prêtre au printemps de 1700.
Il rêve de missions en des terres lointaines, mais on lui offre Nantes.
Ses supérieurs redoutant ses excès.
Mme de Montespan orientera sa carrière en l'envoyant à Poitiers où il sera promu aumônier de l'Hôpital général.
Il va stimuler la ferveur assoupie par une campagne d'impulsions spirituelles.
Il forme des recruteurs, des prosélytes et des prédicateurs qui vont s'installer dans les villages et frapper les imaginations par des messes chantées, défilés de pénitents, longues marches coupées de prêches et de prières, homélies, carêmes, processions...
Louis Marie mobilise la musique et le théâtre au service de la foi.
De par son comportement, il sera détesté du clergé et rejeté par les chanoines prébendiers et il sera interdit par les évêques.

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Alors, il décide à aller s'expliquer lui-même au Vatican et il part pour Rome à pied.
Après 6 mois de voyage, il arrive à Rome.
Il sera recueilli par les frères théatins, qui intercèderont auprès du Saint-Père.
Clément XI reçoit le vagabond, l'écoute passionnément pendant des heures évoquer les bourbiers et les fondrières de son apostolat.
Le Pape se lève pour marquer la fin de l'entretien, bénit Montfort, lui confère le titre de "missionnaire apostolique".

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Il lui remet un crucifix d'ivoire et l'engage à poursuivre ses missions.
Montfort revient à Poitiers après avoir arrimé le crucifix du Pape sur son bâton de pèlerin.
Mais la faveur de Clément XI ne fait qu'augmenter l'hostilité des évêques.
Mais, il lui reste sa Foi surhumaine en sa "Mission".
Le Père de Montfort alimentait sa vie spirituelle dans une prière continuelle et dans des retraites prolongées, il fut l'objet de visions fréquentes de la Sainte Vierge.
Le 1er avril 1716 (à 43 ans), épuisé par le travail et la maladie, il se rend à Saint-Laurent-sur-Sèvre pour sa dernière mission.
Le 27 avril, il dicte son testament.
Le lendemain, se soulevant sur son grabat, le crucifix à la main, le regard rayonnant, il entonne d'une voix vibrante le premier couplet d'un de ses cantiques :
"Allons mes chers amis, Allons en Paradis !
Quoiqu'on fasse en ces lieux, Le Paradis vaut mieux !"

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Il expire peu après.
Béatifié le 22 janvier 1888, il est canonisé le 20 juillet 1947.
D'autres informations sur le Père de MONTFORT sur :
www.puystory.net

8 juillet 2017

De spectacle en spectacle au Puy du Fou

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6 juillet 2017

2. Le Vieux château.*

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En 1892, l'abbé Pondevie, auteur des Chroniques Paroissiales du Diocèse de Luçon, écrivait sur le vieux château : "C'est une enceinte en forme de carré long irrégulier, avec tours aux angles.
Elle semble être du XIIIème ou du XIVème siècle.
Un premier fossé l'entourait, plus bas un système défensif était complété par un second fossé, plus large, rempli d'eau à volonté au moyen d'une chaussée ".

En 1881, Octave de Rochebrune (1824-1900) voyait lui aussi une forme carrée avec tours aux angles, et les traces de deux fossés concentriques, dont le second pouvait se remplir d'eau à volonté au moyen d'une chaussée.

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En 1980, après un déboisement, apparaît deux tours d'inégale importance qui surveillaient l'accès au nord. L'une d'elles aux murs énormes, trois mètres d'épaisseur, pourrait bien être le donjon.
L'enceinte, présente la forme d'un hexagone avec de petites tours à chaque angle.
Ce mode de construction du Vieux Puy du Fou date probablement du XIIème (1101-1200) ou XIIIème (1201-1300).
Et ce serait un troisième château du Puy du Fou car entre la tour de bois, et le château en ruines, il dut y avoir un donjon roman.
Les ruines actuelles auraient alors quelques analogies avec celles du château des Tours en Commequiers, lequel présentait, en plus petit, un plan hexagonal comme celui de la Bastille.

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Mais cette enceinte du Puy du Fou serait plus ancienne d'environ un siècle et demi.
Ce type d'édifice étant l'ultime étape des châteaux moyenâgeux, avant l'utilisation des châteaux avec bastions.
La Guerre de Cent Ans (1337 à 1453), qui provoqua la ruine du "Vieux Puy du Fou", a suscité, à partir de la seconde moitié du XIVème siècle (1301-1400) un renouveau de la fortification.
Et comme à Commequiers, où l'on voyait adossée au rempart la vieille église Saint-Nicolas, au Puy du Fou, adossée au rempart, se dressait la chapelle du château, dédiée à Sainte Marie-Madeleine.

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Le 27 octobre 1643, dans l'aveu rendu à la Baronnie de Mortagne, Gabriel du Puy du Fou, déclare :
"Proche les dits vestiges et fortifications du premier château, est encore l'ancienne chapelle de la Madeleine dudit lieu, couverte en tuiles, le tout se joignant, contigu l'un à l'autre".
Il semblerait donc qu'à cette époque, cette chapelle existait encore.
Mais elle dut tomber de vétusté et fut abandonnée peu à peu au bénéfice de la chapelle du château Renaissance.

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Plusieurs auteurs parlent aussi de "vastes et profonds souterrains partant des caves du premier château, pour aller au château voisin de Mallièvre où vers celui de I'Epaud, en Saint-Michel-Mont-Mercure".
Dans un autre écrit : "plusieurs souterrains découverts fortuitement à diverses époques, ayant de nombreuses directions, attestent l'importance de ce vieux manoir ".
L'existence de ces souterrains, qui suivant la tradition populaire reliant les châteaux les uns aux autres est peut-être incertain.

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Tout au plus pourrait-on trouver au Vieux Puy du Fou, une souterrain-refuge ou des souterrains d'évacuation en cas de siège, débouchant peu loin, à flanc de coteau, en pleine campagne.
Ils servaient à évacuer, en cas de siège prolongé, les femmes et les enfants, et permettaient aux défenseurs, lorsque le château menaçait de tomber entre les mains de l'ennemi, de s'échapper.
Ce château était peu important, puisqu'à cette époque le Puy du Fou était une simple seigneurie dépendant de la Baronnie de Mortagne.
Il subit, comme tous les châteaux de la province, de nombreux assauts, venant soit des Anglais, soit des seigneurs du voisinage.
Le Comté de Poitou qui avait été apporté en dot à la couronne de France par Aliénor d'Aquitaine (1122-1204), lors de son mariage avec Louis VII (1120-1180), échappa au royaume de France.
Répudiée, Aliénor se remaria avec Henri Plantagenet (1133-1189), qui devint plus tard Henri II, roi d'Angleterre, en 1153.
Puis à la mort des derniers Capétiens, sans héritiers directs, le roi d'Angleterre, malgré la Loi Salique qui l'éloignait du Trône de France voulut s'emparer du royaume.

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Ce sera la Guerre de Cent Ans, de 1337 à 1453. Le Puy du Fou en fut le théâtre.
Ses seigneurs rompant avec ses suzerains les vicomtes de Thouars "qui étaient du parti de l'Anglais", prirent parti pour le Roi de France.
En 1421, Guy II du Puy du Fou (1375-1453) guerroyait donc pour le Roi de France.
Son château fut assiégé par les Anglais, et comme l'attestent les aveux : "desmoli par eux".
Ce fut la fin du "Vieux Puy du Fou".

3 juillet 2017

Puy du Fou Académie

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Depuis septembre 2015, le Puy du Fou a sa propre école, associant l'apprentissage scolaire à la pratique des arts !

Puy du Fou Académie ambitionne ainsi de transmettre dès le plus jeune âge le savoir-faire du Puy du Fou grâce à la formation aux arts du spectacle vivant.

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3 juillet 2017

Le mariage

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MARIAGE signifie alliance, c'est l'union indissoluble d'un couple, qui ne peut-être brisée que par la mort ou le divorce.
Seul le mariage civil est reconnu devant la loi.
Les mœurs de nos ancêtres les Gaulois, Celtes venus de l'est étaient empreintes de rudesse.
Bien que César ne fût pas un exemple de fidélité en la matière, il souligne la rigueur des institutions qui règle les rapports entre époux gaulois.
Le mari possédait alors droit de vie et de mort sur sa femme, les sanctions les plus terribles pouvaient lui être infligées.
Alors qu'en Europe et en Asie les femmes doivent accueillir au foyer les concubines officielles, les Gaulois ne pratiquent pas la polygamie.
A l'exception de très hauts personnages qui avaient toutes les permissions.
Venant de la coutume des Francs, la première nuit en signe d'accord définitif et en témoignage de "satisfaction".
Le mari remettait à la jeune épousée une somme d'argent "la Morgengabe" ce qui signifie, cadeau du matin.
Ce cadeau constituait le douaire (soit de l'argent, soit quelques lopins de terre), qui en cas de malheur revenait à la femme.
Aujourd'hui cela correspond à une assurance vie.
Cet hommage était concrétisé sous a forme de treize pièces d'or "le treizain" que l'épouse conservait dans une cassette.
L'église consolida son autorité au cours des siècles et jusqu'à la révolution ces formes extérieurs et son esprit demeurèrent immuables.

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Le prêtre enregistre dans sa mémoire les unions qu'il a célébrées.
C'est à lui seul que l'on s'adresse pour préciser la date du mariage.
Certains officiants cependant notent pour eux-mêmes, les principaux événements de la vie de leurs paroissiens.
L'obligation de tenir par écrit un état des baptêmes, mariages et enterrements ne leur fut imposé qu'au XVIème siècle.
Le prêtre assiste au "contrat", le jour venu il est partout à l'honneur.
Il accueille les mariés dans son église fraichement parée pour la circonstance, bénit le couple et a droit à une place d'honneur au repas.
Dans la bourgeoisie et le peuple, les fiancés calculent sou par sou s'ils auront de quoi monter leur ménage.
Les plus pauvres attendront des mois avant d'avoir l'argent nécessaire.
Se marier sans un sou passe pour une grande imprudence - "mariage de faim et de la soif".
Après la messe de mariage, le retour à la maison se fait en cortège au son des instruments.

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Les réjouissances durent plusieurs jours, elles consistent en un long et copieux repas, des chants, des jeux sont destinés à mettre en relief la force ou l'habileté de l'époux.
Les épreuves destinées à la mariée symbolisent la fidélité et ses qualités de bonne ménagère.
Enfin des danses particulières aux noces sont exécutées par les convives.
La coutume d'offrir un gâteau subsiste toujours.
Cette offrande symbolique remonte au Moyen Age.
Ceux qui mariaient leur fille offraient un gâteau au seigneur propriétaire des terres sur lesquelles ils étaient établis.

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