Confiserie *
La confiserie,c'est la cuisine du "sucre".
Elle date du Moyen-âge où les confiseurs apothicaires enrobaient de miel des graines d'anis, de coriandre ou de fenouil.
Ces sucreries, que l'on consommait la nuit, étaient appelées : "épices de chambre" et devaient purifier l'haleine et favoriser la digestion.
Depuis le XVIIIe siècle, la confiserie concerne la fabrication de différentes friandises sucrées, essentiellement les bonbons (deux fois "bons") dont il existe des centaines de variétés parmi lesquelles le "caramel".
Instant de vie !
JOSEPH BARRA MORT par MOREAU-VAUTHIER
Huile sur toile, 1880 est d'une hauteur de 0,80m et une largeur 1,45m.
L'artiste reprend le thème de la mort de Barra cher à l'historiographie républicaine.
Bien que précédemment peint par J.L. David le sujet est traité de façon radicalement différente.
La position du corps du jeune héros est inversée.
Il est allongé sur le dos, la tête très légèrement en arrière.
La main droite tient encore le tambour et les baguettes, tandis que la main gauche agrippe le tricorne à cocarde tricolore.
Ce parti suggère implicitement que Barra vient tout juste de s'effondrer et que sa mort appartient à un passé qui est encore extrêmement proche dans le temps.
Pieds nus, il est revêtu d'un costume qui ne présente pas un véritable caractère d'authenticité historique, mais dont les couleurs (bleu, blanc, rouge) évoquent l'iconographie révolutionnaire.
Charles Moreau-Vauthier semble mettre en scène un enfant du peuple radicalement différent des représentations proposées par d'autres artistes.
Lors de son envoi au Salon de 1880, cette oeuvre était accompagnée au catalogue de l'explication suivante :
Le jeune Barra, entouré par les Vendéens qui veulent lui faire crier "Vive le Roi !" crie "Vive la République !" et tombe frappé à mort.
Elle s'intègre donc parfaitement au contexte politique et religieux de IIIème République.
Le dressage des rapaces.*
Occupation aristocratique par excellence, la chasse est, sous l’Ancien Régime, à la fois une activité sportive, un divertissement et un privilège social.
Il convient de distinguer la "vènerie" ou "chasse à courre", pratiquée avec des chiens, de la fauconnerie, encore appelée "chasse au vol", technique venue de l’Asie centrale et qui s’exécute à l’aide de rapaces élevés à cet effet.
Selon les époques et les régions, cependant, elle a pu être ouverte à toutes les classes sociales ou au contraire être réservée à la noblesse, voire aux souverains.
Les techniques médiévales de fauconnerie nous sont connues grâce au volumineux "Traité de l’Art de la Chasse avec des Oiseaux", écrit vers le milieu du XIIIème siècle par un empereur féru de sciences naturelles et passionné par les faucons : Frédéric II de Hohenstaufen (1194-1250).
L’ouvrage, abondamment et précisément illustré, détaille les phases du dressage des oiseaux, les soins particuliers qu’ils nécessitent et les techniques de chasse.
Nouvelle récompense pour le Puy du Fou !
St-Laurent-sur-Sèvre est devenu un centre de "Physiothérapie".
Pendant la guerre 14-18, aux premiers jours de la guerre, la direction de Saint-Gabriel a offert 300 lits au Service de Santé qui les a acceptes avec empressement.
St-Laurent devient un centre de rééducation physique pour les blessés et Saint-Gabriel est classé comme hôpital bénévole sous le titre : "Hôpital complémentaire 61",
Il y eut également des blessés dans la maison de retraite de Saint-Michel.
Lorsque, au début de l'occupation militaire, le Commandant Payen de la Garanderie (1855-1925) commandant des dépôts de Saint-Michel et de Saint-Gabriel, fit en compagnie de Monsieur le Supérieur du Pensionnat une visite dans les paroisses environnantes, les dons de toute nature affluèrent, dons en argent, en linge, en vêtements, fruits même...
La générosité a dépassé les prévisions les plus optimistes...
Protection de l’environnement
La protection de l’environnement est un travail de tous les jours !
Après une étude sur l’impact environnemental de notre hôtel "La Citadelle", l’Agence Betterfly Tourism vient de lui attribuer l’excellente note de "A" en récompense de toutes les actions mises en place.