Puy Story
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3 février 2010

Blason du Puy du Fou (Suite)

En 1126, BERTHE du PUY du FOU est la fille de Geoffroy, fils de Hugues et de Mathilde de Lusignan, fille de Hugues de Lusignan.
De cette union sont nés : BOUCHARD IV,  qui suit Lancelin (mort en 1192) Mathilde, qui épouse en 1151 Henri d'Avaugour, comte de Tréguier et Guingamp, fils d'Etienne, comte de Penthièvre et d'Avoise de Guinganmp

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19 septembre 2009

La deuxième guerre mondiale.*

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Lors du spectacle de la Cinéscénie, la deuxième guerre mondiale est évoquée.
Certains évènements et personnages de cette période sombre de notre histoire ne seront pas repris sur "PuyStory".

Mais en accord avec le Dr. Volker DAHM de l'Institut d'Histoire de Munich, j'ai créé un  blog destiné à faire connaitre l'histoire d'une montagne bavaroise.

L'Obersalzberg.

En aucun cas, il ne portera de jugement sur les évènements qui se sont passés mais il sert à replacer le contexte historique et politique de cette montagne.

http://obersalzberg.canalblog.com/

1 août 2009

A la fenêtre

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A la fin du spectacle, je décide de prendre une photo et un phénomène étrange apparait à la fenêtre centrale.
Le château du Puy du Fou serait-il encore habité ?

23 juillet 2009

LESCURE

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Louis-Marie de Salgues, marquis de Lescure, né à Versailles le 13 octobre 1766, mort à La Pellerine, (Mayenne), le 4 novembre 1793.
Lorsque le triomphe de la Révolution fut décidé, il alla organiser la première insurrection vendéenne.
Dès le début du soulèvement de la VENDEE et à la demande de ses paysans, il se met à la tête de l'insurrection.
Dès les premiers jours il étonna les Vendéens par son intrépidité, en se précipitant le premier, et seul, sur un pont barricadé et gardé par les troupes républicaines devant Thouars 25 mai 1993).
A Fontenay (16 mai 1793), il entra aussi dans la ville sans que personne n’osât d'abord le suivre, tant il était pressé d'aller délivrer des prisonniers vendéens qui y étaient enfermés.
A Saumur dont il s'empare, il fut blessé ; enfin, en toute affaire ; nul ne fut plus empressé et plus dévoué que lui.
Au combat de Torfou, qui fut le dernier succès des Vendéens sur la rive gauche de la Loire, et où leurs efforts héroïques parvinrent à repousser pour quelques jours les troupes aguerries du général Kléber, on vit M. de Lescure mettre pied à terre et crier aux paysans découragés :
«Y a-t-il quatre cents hommes assez braves pour venir périr avec moi?
- Oui, Monsieur le marquis !»
répondirent les gens de la paroisse des Echaubrognes ;
et, à leur tête, il se maintint pendant deux heures.
Après l'attaque infructueuse de Nantes (29 juin 1793) qui marque un tournant dans la guerre de Vendée, il s'installe à Bussières où il tente en vain de rassembler les troupes dispersées de l'Armée catholique et royale.
Chassé de son quartier général par le général François-Joseph Westermann, il prend sa revanche à Tiffauges.
Blessé grièvement, atteint d'une balle à la tête, au combat de La Tremblaye, il est porté agonisant par ses hommes, tout au long de la retraite de l'armée vendéenne après le désastre de la bataille de Cholet (la Virée de Galerne), emmenant avec elle une population éploree et fugitive.
M. de Lescure, dont la blessure laissait quelque espérance, aida encore de ses conseils et de sa constance ses compagnons.
Il contribua à faire nommer M. de la Rochejaquelein chef de l'armée.
Après le passage de la Loire, il suivit la marche pénible des Vendéens à travers l'Anjou et la Bretagne.
Les soins touchants de sa femme, les hommages de l'armée, ne pouvaient empêcher l'effet de tant de douleurs accablantes qui venaient à chaque instant envenimer sa blessure.
Celui qu'on appelait le "Saint du Poitou" mourut le 4 novembre 1793 dans la voiture dans laquelle on le transportait, au lieu-dit Les Besnardières près de La Pellerine sur la route entre Ernée et Fougères, après un long et douloureux calvaire.
Son beau-père, le général de Donissan, le fit enterrer dans un lieu qui est resté inconnu.
Ce fut sans doute afin d'épargner à son cadavre les outrages dont celui de Bonchamps avait été l'objet.
Sa veuve, qui l'avait suivi dans la Vendée, acquit plus tard une grande célébrité, sous le nom de Madame de La Rochejacquelein.
Cette femme a connu l'exil jusqu'en 1816.
Elle a publié ses Mémoires au commencement de la Restauration.
En 2009 en son honneur, LE LOGIS DE LESCURE est créé  un ensemble de 6 ou 8 suites hôtelière pour accueillir nos visiteur.

6 juillet 2009

Louis Sapinaud de la Verrie

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Le chevalier Louis Sapinaud de la Verrie (1738 - 1793) fut l'un des premiers chefs de la Vendée et assura le commandement de la première Armée catholique et royale.
Il battit le général républicain Marcé, donnant à ses troupes leurs premières victoires.
Sapinaud de la Verrie dirige l'offensive contre les républicains.
Il occupe les villes de Tiffauges, Mortagne, les Herbiers et rallie les angevins pour constituer la grande armée.
Il tombe aux mains des Bleus après la première défaite devant Luçon, il fut mis à mort le 25 juillet 1793

24 mai 2009

almanachs *

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Calendrier annonçant les fêtes mobiles, les lunaisons et la date des changements de saison.

Des almanachs manuscrits ont été diffusés dès l'Antiquité, mais c'est l'invention de l'imprimerie qui a permis leur multiplication.
Objets de colportage par excellence, les almanachs ont très vite été complétés par diverses indications pratiques (lieux et heures de départ des courriers ou des diligences), voire par des prédictions météorologiques, astrologiques et autres.
Refondus annuellement, les almanachs ont été, à partir du XVIIIe siècle, le principal ouvrage vendu dans les campagnes.
Certains ont joué un rôle dans la formation de l'opinion publique.
Simple publication privée à l'origine, l'Almanach royal a fourni, à partir de 1698, la liste des personnes composant les grands services de la Cour et de l'administration.(...)
Du XVe siècle au début du XXe siècle, les almanach étaient une lecture très populaire et figuraient après la Bible parmi les ouvrages les plus imprimés et les plus lus.
Certains comportaient des pictogrammes afin de pouvoir être lus en rébus par les analphabètes.
Outre les saints du jour et les bontés des saisons, on y trouve des contes, faits divers et coïncidences folles, télégrammes historiques, pensées de bon aloi, gourmandises de bouche, conseils potagers et horticoles, langage des fleurs, remèdes d'ancêtres et autres savoirs traditionnels.

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