L’histoire du vase du cormier, que vous pouvez entendre lors du spectacle gallo-romain du Puy du Fou est bien réelle. Cette coupe évoquant l’art de Pompéi fut découverte dans une sépulture de gladiateur au village du Cormier est actuellement exposé au Corning Glass Museum de New York.
Pour vous
faire vivre ce beau spectacle de cape et d'épée, le Puy du Fou a
fait sortir de terre ce magnifique théâtre. Impressionnant de par ses
dimensions, 100
mètres de long, 16 mètres de haut, 6000 m² de superficie, 3000 places
assises, une scène de 70 mètres et son imposant rideau de +/- 4 tonnes. Que
dire de la scène, elle est magique. Pendant le spectacle, elle se
transforme et pièce d'eau pour vous offrir un flamenco de toute beauté.
Symbole chrétien dessiné sur la spina dans le stadium. Mais que veut dire ce poisson. L'ichtus (poisson en grec ancien ΙΧΘΥΣ, ἰχθύς / ikhthús ; la transcription ichthus serait plus juste) est un symbole graphique représentant un poisson formé de deux arcs de cercle. Les premiers chrétiens persécutés par les autorités romaines l'utilisaient comme code secret pour se reconnaître entre eux (en concurrence avec d'autres symboles, dont le carré magique et palindrome SATOR AREPO TENET OPERA ROTAS). Le poisson représente l'eau du baptême. Par ailleurs, le mot forme, en grec ancien (langue véhiculaire davantage parlée dans l'empire romain que le latin), un jeu de mots puisque c'est aussi l'acronyme de noms attribués à Jésus :
On peut résumer cette formule par "Jésus Christ le sauveur et le fils de Dieu".
Pour certains, il représente en même temps l'Eucharistie, c'est-à-dire le Corps, le Sang, l'Âme et la Divinité de Jésus-Christ. Les pains et les poissons sont la manne du Christ unissant les fidèles dans une communion sacramentelle. Surement peu de personne le savent, ce blog ne veut point vous apprendre l'histoire de France mais vous donner un maximum de connaissance sur ce que vous pouvez voir et entendre au Puy du Fou.
Petit à petit, la Cinéscénie, plonge le visiteur dans 700 ans d'histoire de Vendée. Pour chaque époque, une atmosphère particulière.
En un seul mot, CHAPEAU aux Puyfolaises et Puyfolais pour ce beau spectacle.
Une vue sur les 3200 Puyfolais bénévoles de la Cinéscénie. Je crois que par les temps qui courent, il est de bon de rappeler que ces acteurs sont tous bénévoles. Ils travaillent comme des professionnels, le tout au service de l'histoire, mais aussi pour venir en aide à des associations. J'espère développer prochainement ce dernier point.
L'histoire et l'évolution de la cité sont fortement liées au château du Puy du Fou, situé sur la commune des Epesses, terre d'accueil du spectacle cinéscénique mondialement connu. A quelques centaines de mètres de l'actuel château Renaissance, les vestiges d'un premier château fort médiéval sont toujours bien visibles. Très vite, il se forme au XII et XIII ème siècles, à proximité de ce château, une agglomération appelée Bourg-Bérard, composée de laboureurs, d'artisans, ainsi que de serviteurs et soldats du château. Mais par la suite, les Seigneurs du Puy du Fou voulurent éloigner cette population et firent construire (vers l'an 1400), à l'emplacement de l'actuelle cité des Epesses, près de la chapelle Saint Jean et de l'église paroissiale en partie existante, un grand nombre d'habitations, pour y loger les habitants de Bourg-Bérard. Après la destruction du château médiéval par les troupes anglaises pendant la guerre de Cent Ans, vint la construction de l'actuel château Renaissance, ainsi que de l'agrandissement de l'église des Epesses (1600-1620).
1789, nous en sommes à la période révolutionnaire qui comme partout dans le bocage, exactions, pillages, massacres surtout en 1793/1794 avec le déferlement des colonnes infernales notamment la quatrième commandée de Turreau. Le 26 janvier 1793 une colonne vint spécialement de Cholet pour "révolutionner" la commune des Epesses. Le château fut incendié cette année là, et seule l'aile gauche fut épargnée par le feu.
Le château qui y est encore visible a été classé monument historique en 1974. Entre-temps, il a été mis aux oubliettes jusqu’au jour où le conseil général de la Vendée l’achète et le transforme en un écomusée. Par manque de place et pour des raisons techniques et artistiques, cet écomusée a été reconstruit et s'appelle maintenant "L'historial de la Vendée".
Le ballon gonflé à l'hélium culminent à 200m et les trappes, permettant l'envol des aigles, sont télécommandées depuis le sol.
L'académie de fauconnerie compte environ 400 rapaces de 55 espèces différentes. Il a fallut à l'équipe des fauconniers de la patience et de la rigueur pour faire évoluer simultanément 110 oiseaux d'espèces différentes (Buses, chouettes, faucons, aigles, vautours, milans, pélicans et cigognes).
Avec ses 70 cm de haut, le grand-duc est le plus grand des rapaces nocturnes d'Europe.
Poids : 2 à 2,5 kg pour le mâle, et 2,5 à 3,3 kg pour la femelle ;
Longueur : 65 à 70 cm ;
Envergure : 160 à 180 cm
Longévité : plus de 20 ans en liberté.
Il fait le double de son congénère le hibou moyen duc.
Aristocratique, sa silhouette est massive, sa tête, piquée de deux gros yeux rouge-orangé est surmontée d'aigrettes de 8 cm environ (normalement horizontales et un peu repliées vers l'arrière),
que l'oiseau dresse verticalement s'il est excité ou dérangé. Rappelons que ces aigrettes n'ayant aucun rôle dans l'audition.
Mimétique aux branchages, son plumage est brun-roussâtre dessus, taché et rayé de brun noir.
Le dessous est plus clair, fauve avec des stries longitudinales et des zébrures transversales de couleur brun foncé.
Son célèbre son : un « bouhou » ou un « ouhouhou-ou-ouhouhouhouhou » (d'où son nom latin, Bubo bubo) audible de loin, ainsi que toutes sortes d'autres bruits.
Ce bel oiseau vous pouvez le rencontrer au Bal des Oiseaux Fantômes.
Le mot "puyfolais" a été créé dans les premières années de la Cinéscenie®. Ce mot désigne tous les bénévoles qui font avancer le spectacle.
Ce mot fait évidemment référence aux acteurs, mais aussi aux techniciens de la régie, aux personnes de l'accueil, aux vendeurs de confiseries, aux conducteurs des bus qui emmènent les visiteurs âgés et handicapés au pieds des tribunes, les secouristes, le personnel d'encadrement, etc ...
N'oublions pas les personnes qui sont à votre écoute lors de vos réservations, et la direction.
Pour la Cinéscénie, ils sont 3200 à se consacrer à ce spectacle, et ils donnent tout leur cœur pour narrer le patrimoine qu'ils ont en commun,
sur cette terre de géant, et de genêts en fleur ...
La taille moyenne du condor des Andes est de 105 cm, pour une masse de 11 kg (mâle) à 13 kg (femelle).
Son envergure peut atteindre 3,50 mètres.
Le condor peut vivre 90 ans.
Il atteint sa maturité sexuelle vers 6-7 ans, et la femelle ne pond qu'un œuf tous les deux ans.
Iil atteint parfois les 6 000 mètres d'altitude.
Comportement
Les condors sont sociables, et vivent en groupe,le mâle dominant est l'apu, qui donne le signal de la curée.
Dans la croyance populaire, Selon la croyance populaire, ses ailes larges et ses serres fortes lui permettent de s'envoler avec une proie d'un poids significatif.
On dit qu'il réussit même à prendre son envol avec de jeunes enfants, ou de petits animaux de ferme Le condor inspire le respect des peuples d'Amérique du sud et nourrit nombre de légendes.
En réalité, le condor ne peut pas s'envoler avec une proie, ses serres ne le lui permettent pas.
Il se nourrit exclusivement de proies mortes au sol.
Alimentation
C'est un charognard se nourrissant de cadavres d'espèces diverses, notamment de vigognes ,d'alpaga et lamas.
Sur les côtes, son alimentation est complétée par des charognes de phoques et de poissons morts, d'œufs d'oiseaux de mer, etc.
En effet, son orteil postérieur est situé beaucoup trop haut pour pouvoir se refermer, ce qui l'empêche d'attaquer, de maintenir au sol ou bien encore de déchiqueter une éventuelle proie.
Si cet oiseau mange trop, il ne pourra pas s'envoler et il devra digérer à terre.
Comme la plupart des oiseaux charognards, il ne porte pas de plume sur la tête, pour ne pas se salir.
En moyenne, il se nourrit de 900 g de viande par jour.
Chasse
La chasse au condor est une tradition dans les ANDES.
La technique de chasse est originale : on amène une vache, un âne ou un cheval en altitude, et on l'abat dans une cuvette géologique assez profonde et pentue.
Après plusieurs jours de guet, le condor est attiré par la cadavre, et approche.
Il se pose au fond de la cuvette pour son repas. Les chasseurs le laissent se gaver pour l'alourdir, puis sortent de leur position de guet en criant et courant vers le fond de la cuvette.
Quand les chasseurs sont assez proches, ils jettent un filet sur le condor et l'emportent comme trophée.
Cette technique exploite le fait que le condor utilise un vol plané plutôt qu'un vol battu.
Lorsqu'il est au fond de la cuvette, il doit faire des efforts énormes pour réussir à décoller et monter plus fort que la pente de la cuvette qui l'entoure.
Il est obligé de se poser plusieurs fois, ce qui laisse aux chasseurs du temps pour approcher.
Le vengeur des INCAS
Chaque année, au Pérou, le condor, oiseau-roi de la cordillère des Andes, livre contre le taureau un combat rituel.
Le taureau, qui incarne l'Espagnol, a toujours le dessous, car la fête du YAWAR symbolise la revanche des Indiens sur les CONQUISTADOR.