Le Grand Parc
Après la célèbre Cinéscénie, le Grand Parc du Puy du Fou est le premier vrai parc français de divertissement culturel, historique et écologique.
Multiple, saisissant, avec ses insaisissable joutes et cascades, ballet des grands rapaces, village du XVIIIème.
Le Grand Parc réserve bien des surprises à ceux qui choisissent de prendre le temps d'un autre temps...
50 hectares en liberté.
A la différence des parcs de loisirs construits autour de personnages fictifs, le Grand Parc du Puy du Fou trouve son originalité et sa force en puisant dans le vécu et l'authentique.
Au cœur du passé et de la vie.
Ainsi commence un autre voyage.
Pas une simple promenade, mais un voyage dans le temps, au cœur du passé.
Surprendre la vie, les gestes répétés, inchangés et exacts.
Ici, chacun saisit l'histoire où il veut, quand il veut, à son rythme, avec son temps, dans la joie et la détente.
Ecouter, voir, remonter le temps, au Grand Parc du Puy du Fou la fête bat son plein, grandeur nature, et ne s'arrête plus...
LES LAVANDIÈRES DU PUY DU FOU
Laver son linge est une tradition ancestrale qui reste au Puy du Fou synonyme de dur labeur.
Néanmoins malgré cela les femmes en profitaient pour bavarder.
En effet, le lavoir était un lieu animé.
Les lavandières ne se retrouvaient pas au café, mais au doué.
Pour elles, c'était une détente et la rumeur y allait bon train.
La lessive commençait le dimanche après-midi par le trempage.
Il s'agissait de faire bouillir le linge, le plus sale toujours au fond de la marmite, et de laisser tremper avec de la lessive.
Le lundi matin, grande expédition au doué : les lavandières sortaient le linge et le mettaient dans la "berouette" où elles avaient déjà déposé les "garde-g'neuils" (garde-genoux), les battous, les savons et les brosses à chiendent.
Installées près de l'étang dans l'Île, elles savonnaient et brossaient.
Pendant que le linge savonné reposait, elles en profitaient pour "jacter'.
De retour chez elles, le linge savonné devait encore bouillir.
Le mardi matin, elles s'en retournaient au lavoir avec les "berouettes" pleines pour rincer leur linge et l'essorer en le tordant ou en le battant.
Nouvelles rencontres pour de nouveaux commérages.
Elles continuaient le reste de la semaine avec la "lessive des couleurs".
Vous verrez toujours les lavandières du Puy du Fou venir laver, battre et étendre leur linge les vendredis et les samedis soirs de Cinéscénie.
Mais est-ce vraiment pour cela qu'elles viennent à tous les spectacles ?
Ne serait-ce pas plutôt pour cancaner et "colporter" elles aussi "les nouvelles de métairie en métairie" ?
Au Programme du Puy du Fou *
Au Grand Parc du Puy du Fou, redécouvrez des mondes et des époques que l’on croyaient à jamais disparus.
Revivez les jeux du cirque où gladiateurs et fauves règnent en maîtres.
Frissonnez à l’attaque des vikings au Fort de l’An Mil.
Encouragez vos chevaliers favoris au pied du Donjon.
Rêvez devant l’incroyable ballet des oiseaux de proies…
Devant le grand spectacle de cape et d’épée "Mousquetaire de Richelieu".
Ou plongez dans l’univers fantastique de la légende arthurienne "Chevaliers de la "Table Ronde".
La Charrue *
Dérivé du mot gaulois "carros" (char), du latin "carrus" (char) et "carrūca" (char à deux roues), c'est d’abord un char de guerre ensuite un char rural.
La charrue est l'invention capitale qui a fait décoller la production agricole.
Entre 7000 et 5000 avant J.C, l'araire (qui fend les sols mais sans retourner la terre) est considéré à tort comme l'ancêtre de la charrue, remplace le bâton à fouir et se diffuse dans toute l'Europe.
Vers 3000 av. J.-C., les agriculteurs de Mésopotamie ajoutent à l'araire un semoir (réservoir-distributeur en roseau) pour ne plus devoir semer à la volée.
C'est au IIe siècle avant notre ère qu'apparaît la charrue telle qu’on la connaît.
Elle permet de labourer, c’est-à-dire retourner la terre et de la préparer à recevoir le semis, le tout en enfouissant les résidus des cultures précédentes et les mauvaises herbes.
Les premières disposent d'un soc (pièce travaillante de la charrue) en planche de bois.
Un siècle plus tard, les socs deviendront métalliques et s'enfoncent plus profondément pour retourner les sols lourds, accroissant de 30% les rendements agricoles.
Jusqu'au moyen-âge, la charrue se perfectionnera.
Elle se dotera de roues, d'une lame incurvée fixée dans le prolongement du soc (permettant de soulever et de retourner la bande de terre) et prendra sa forme définitive.
Du XIème au XIIIème siècle, les techniques agricoles s’améliorent et notamment l'apparition du collier d’attelage qui repose sur les épaules du cheval (ne l’étranglant plus), et le ferrage des chevaux, le tout augmentant la force de traction.
Au niveau du rendement des terres, on commence à les laisser se reposer un an sur trois en y laissant paître les animaux.
C’est ce qu’on appelle l’assolement triennal.
Les charrues évolueront encore et d'autres types se sont développés pour effectuer des travaux spécifiques comme la charrue de brabant, la charrue à disque, la charrue chisel, le motoculteur.
La rose des vents
En géographie, un point cardinal est l'une des quatre principales directions d'une boussole sur un plan :
Nord, Est, Sud et Ouest.
Les points cardinaux sont représentés sur les cartes géographiques par une rose des vents.
Le plus couramment, le haut d'une carte indique le nord, le bas le sud, la droite l'est et la gauche l'ouest.
Si le nord, actuellement, est généralement indiqué par le haut d'une carte, il n'en a pas forcément été ainsi de façon systématique.
Certaines cartes anciennes indiquent le nord vers le bas de la carte.
Dans les pays chrétiens, le haut de la carte était orienté vers l'est, plus exactement vers Jérusalem, qui est la ville sainte du christianisme.
Actuellement, des cartes inversées sont utilisés dans certains pays de l'hémisphère sud.
Dans la mythologie nordique, nord, sud, est et ouest (nordi, sudi, osten et westen) sont les quatre nains chargés de soutenir les coins du firmament.
L'orientation marine de bâbord et tribord nous vient aussi des Vikings.
L'uniformité et la standardisation des cartes nous vient de Mr. Mercator qui inventa le système UTM
(Universal Tranverse Mercator).
Le système de coordonnées U.T.M. permet de représenter les coordonnées géographiques d'un point du globe terrestre au moyen d'un quadrillage basé sur la projection dite de Mercator (le Nord se trouve sur le haut de la carte).
Il est principalement utilisé par les Forces Armées, mais il devient de plus en plus populaire en raison de sa simplicité d'utilisation et des possibilités qu'il offre, notamment en matière de calculs assistés par ordinateur.
Une petite réalisation personnelle.
Le centre représente la cour intérieur du château du Puy du Fou.
Les moulins
Depuis toujours, pour obtenir de la farine, les paysans écrasaient les grains avec des meules à bras ou des pilons.
A partir du XI siècle, les cours d’eau sont aménagés.
On construit des moulins où les meules sont mises en mouvement par la force de l’eau.
La puissance encore augmentée si la chute d’eau est plus haute.
Ce sont les seigneurs qui font construire ces moulins.
Très coûteux, ils obligent les paysans à venir y moudre leurs grains et de payer la taxe du "droit de mouture".
Cette taxe, très lourde provoquant de nombreuses révoltes de la population.
C’est vers l’an 600, que le moulin à vent est apparu en Orient, dans l’Égypte ancienne et en Iran pour l'irrigation.
A partir du XII siècle, le moulin à vent apparaît et se généralise en Europe .
La première attestation de moulin à vent en France, en 1170, figure dans une charte de la ville d'Arles.
On peut construire sur les hauteurs, là où l’eau manque.
Les moulins sont d’abord en bois (Moulins pivot) et tournent sur eux même pour s’orienter face au vent.
Ensuite, puis moulins deviennent plus résistants grâce au socle de pierre (Moulins tour), où seules les ailes sont orientables.
Les moulins à vent se sont développés tout au long des siècles, jusqu’à l’apparition de la machine à vapeur qui produisent une énergie plus régulière.
Authenticité
Au Puy du Fou, le naturel et l’authenticité sont le fil rouge pour la construction des décors (spectacles et bâtiments).
Ainsi les huttes aux toits de chaume du Fort de l’an Mil ou bien encore la chapelle de la cité Médiévale sont bien réels.
Pour parfaire l’authenticité, le Puy du Fou s’entoure des meilleurs spécialistes, artisans et historiens. Les matériaux utilisés pour les constructions sont naturels (terre, pierre, bois, sable, etc.).
Pour chaque nouveau spectacle, le puy du Fou recherche des partenaires techniques ou les technologies les plus avancée en termes de développement durable sont appliquées.
Dans les différents villages, le visiteur peut rencontrer les artisans d’art (enlumineurs, sculpteurs, maître verrier, etc.) qui travaillent dans leur échoppe, avec les outils d’autrefois.
Brumisateurs
L'ensoleillement conduit à des montées de température parfois difficilement supportables.
Pour le confort et le plaisir des visiteurs, le Grand Parc du Puy du Fou a placé des brumisateurs ou humidificateurs.
Grâce à ces dispositifs, les personnes sensibles aux coups de chaleur peuvent profiter pleinement de votre journée.
Ils font aussi partie des spectacles (Brouillard) tels que : Secret de la Lance, Vallée Fleurie, Cinéscénie …
Mais comment cela fonctionne t’il ?
Sans entrer dans les secrets de fabrication du Puy du Fou, voici une information générale sur le fonctionnement des brumisateurs.
Pour obtenir une brumisation efficace, l’eau est pulvérisée en micro gouttelettes (par des petites buses montées sur une rampe) à l’aide d’une pompe haute pression.
La taille moyenne et optimale des goutteles est comprise entre 1 et 5 microns (Un micron est un millième de millimètre et est l'unité de mesure utilisée pour décrire la taille des particules).
En fonction du résultat souhaité, la pression peut varier de 50 à 140 bars (Nuage, brouillard hydratant).
Pour le brouillard, la taille des goutteles peut varier entre 50 et 200 mcrons.
Une buse peut produite un brouillard pouvant monter de 3 à 5 mètres.
La consommation d’eau est d’environ 5 litres pour une heure et pour une buse à 60 bars.
Ce procédé peut abaisser la température extérieure de 6 à 12° suivant les régions.
Le Grand Parc
Au Grand Parc, les chênes sont séculaires et les genêts en fleur.
Des oliviers du stadium Gallo-romain aux buis taillés du Grand Carrousel, de la roseraie à la vallée Fleurie, les essences élégantes du Grand Parc embaument chaque époque traversée.
Tous les matériaux sont naturels (terre, pierre, bois, sable, etc.).
Les visiteurs seront sensibilisés aux gestes écologiques élémentaires, tels que le tri des déchets et la propreté du site.
Une belle journée.
Le Puy du Fou c’est, à la fois, un tourbillon unique d’extraordinaires spectacles sans aucune file d’attente et une véritable bouffée d’air pur loin de l’effervescence quotidienne.
Avec des dizaines de divertissements de jour, ses grands spectacles de nuit, ses restaurants, ses hôtels à thèmes et ses 50 hectares de nature.
Les journées du Puy du Fou sont riches en aventures et débordantes d’action.
Préparez-vous à voyager dans le temps !