Le Dernier Panache.*
En 2016, le voyage dans le temps continue avec "Le Dernier Panache", la plus grande création originale de l’histoire du Puy du Fou !
Jamais le Puy du Fou n’avait vu aussi grand !
En 2016, une salle de spectacle incroyable sort de terre pour donner naissance à la nouvelle création originale du Puy du Fou :
Le Dernier Panache !
Suivez le destin glorieux d’un officier de marine Français, héros de la Guerre d’Indépendance Américaine, dont la vie va basculer en 1793 dans un ultime combat pour la liberté !
Un grand spectacle haletant, épique et émouvant servi par une mise en scène unique au monde !
Féodalité dans la région du Haut Bocage (1)
Que fut la Féodalité dans la région du Haut Bocage.
Période de grande transformation après la chute de l'Empire Romain succombant sous les coups de boutoirs de nouveaux peuples venus de la lointaine Asie Mineure, du Caucase et des Pays Nordiques.
Pendant l'occupation romaine, Agrippa avait créé des camps retranchés où il plaça des garnisons, à Pouzauges, Saint-Michel-Mont-Mercure, Tiffauges, Mallièvre, Mortagne, Durinum, actuellement Saint-Georges-de-Montaigu.
Ces camps eux-mêmes étaient reliés par des chaussées et furent plus tard occupés par des tribus Barbares.
Ces camps qui par la suite de l'abandon progressif de la colonisation romaine, avaient lors des invasions de la fin du 3ème siècle et début du 4ème été utilisés par les populations qui à leur tour s'y retranchèrent.
Ils y creusèrent d'abord un souterrain-refuge, qui fut le premier système défensif de l'époque, comme ce fut le cas à Tiffauges, à Mallièvre, aux Châtelliers.
Plus tard, on les entoura de fossés et on dressa des palissades faites de pieux entrelacés, de branchages, colmatés de terre glaise, hérissées de piques pointues.
Ce furent les ancêtres des châteaux du Moyen Age.
Vers l'an 500 paraît Clovis, élevé à la dignité royale par ses tribus Franques, venues d'Outre-Rhin.
Il était le descendant de Sigebert roi des Francs, lui-même un des quinze chefs des tribus Franques, fils d'Odin, le Dieu Germain.
Venu du pays des Tartares, il est fondateur de la race Mérovingienne, conquérant deux siècles avant Jésus-Christ de la Suède, de la Lituanie et de la Germanie.
Déjà établi au Nord de la Loire, Clovis battit en l'an 507 Alaric, roi des Visigoths à Vouillé et s'empara de ses possessions.
La terre des Poitevins entrait dans le royaume des Francs.
Pendant trois siècles de la grande histoire "Mérovingienne" d'abord et ensuite "Carolingienne", le Poitou connut les destins mouvementés et les maîtres changeants de la région d'Aquitaine.
Enlevée à ses Ducs par Pépin-le-Bref et érigée par Charlemagne en royaume, à l'avantage de son fils aîné Louis-le-Débonnaire, devenu empereur en 814, il aurait connu sous ces derniers princes des jours particulièrement prospères.
Mais c'est alors que de nouveaux Barbares parurent qui furent les Normands.
Provenant des régions lointaines de la Scandinavie et portés sur leurs barques légères, les drakkars, aux têtes de proue figurant des animaux fantastiques qui effrayaient les populations.
Ils défiaient avec eux la fureur des ouragans, dès 820, les Vikings, appelés plus tard les Normands, avaient attaqué l'île de Bouin, sur les côtes vendéennes.
Dès 830 et pour leur résister plus efficacement, Louis-le-Débonnaire a érigé en Comté le vieux Pagus (pays) d'Herbauges en détachant du Poitou enserré entre l'Atlantique, le Loire, et les deux rivières du Layon au Nord, du Lay au Sud Coïncidence.
Curieuse, ce sera exactement ce même contour de pays qui délimitera, une dizaine de siècles plus tard, la Vendée Militaire.
Mais en 830, les pirates attaquent pourtant Noirmoutier.
En 835, le valeureux comte Renaud, mis à la tète du Comté d'Herbauges par Louis-le-Débonnaire, réussit à les battre.
Mais deux ans plus tard ils débarquent à nouveau dans l'Ile.
Le 24 juin 843, remontant le Loire, ils atteignent Nantes et l'Evêque de Nantes, Saint-Gohard périt massacré par eux dans sa cathédrale.
Le danger devenait imminent en tous lieux, en territoire d'Herbauges.
En 846, remontant la Boulogne, navigable à cette époque, les Vikings venaient à nouveau y porter l'incendie et le pillage.
Ils remontèrent aussi la Maine, dévastèrent l'antique Cité Romaine de Durivum (St-Georges-de-Montaigu), incendièrent Saint-Pierre-de-Paillers en Beaurepaire, ainsi que les anciens établissements gallo-romains construits sur l'actuel emplacement des Herbiers.
C'est alors que les malheureuses populations établirent ou fortifièrent leurs "châtelliers".
Elles en firent des camps retranchés où les habitants pouvaient se réfugier.
Puis plus tard des retranchements, des fortifications.
Ils y élevèrent au centre les premiers donjons de bois, sur une motte entourée d'un fossé profond.
Les deux symboles de la Cinéscénie du Puy du Fou.*
La Cinéscénie du Puy du Fou met en scène la rencontre de deux symboles.
Au-delà de leurs personnages en effet, le Marchand de Quenouilles d'une part, Jacques MAUPILLIER d'autre part, représentent et incarnent deux idées du Temps :
L'idée du "Temps" qui passe, sans mémoire, "innommable", irréversible.
Le "Temps" qui ne saisit pas le "Lieu", dans la grande "Tradition" des vagabonds qui meurent sans trace derrière eux.
Le "Temps" sans famille, sans racine, sans paysage.
Le "Temps" qui marche et qui peine jusqu'à la "Mort".
Le "Temps" sans histoire.
C'est le Marchand de quenouilles.
L'idée du "Temps" qui demeure.
Le "Temps" qui s'inscrit dans le "Lieu", dans la grande "Tradition" des dynasties de familles et de pays.
Le "Temps" qui scande les événements.
Le "Temps" de l'Histoire, qui, rythmant son pas sur la même terre, accrochant les regards au même paysage, retrouve son identité, comme si l'Histoire ne se chargeait que de péripéties sans influence sur le mouvement du Monde.
C'est Jacques MAUPILLIER, pareil à lui-même de génération en génération, dans le flot des caractères successifs et des sobriquets qu'il emprunte au même "Arbre de famille", comme né de la même mère, réchauffé au même foyer de la même cheminée, chargé de la même histoire parce que issu du même Lieu.
Cette rencontre du "Temps" et du "Lieu", incertaine et fugitive, découvre, au fil des dialogues, un autre symbole.
le symbole de la "Mémoire".
La mémoire du Temps ne vient qu'avec le "Lieu" et la "Sagesse".
C'est le vieux "Galopin des Routes" qui apprend au petit Jacques, sa propre histoire.
Et le petit Jacques, attentif au "Récit", accorde son imagination, ses sens, son intelligence, à ces paroles de chair qui prennent figure humaine.
La Mémoire devient alors une "Expérience Sensible".
Parce que, passant par la "Raison", elle vient droit du "Cœur".
Elle est "Amour et Accueil".
La "Mémoire" n'est pas un acte de l'esprit.
C'est une disposition de l'âme.
Le marché couvert *
Avec la révolution industrielle, les marchés couverts ou halles se développent au milieu du 19ème siècle.
Lieu où se réunissent les commerçants ambulants qui, à jours fixes, vendent dans un lieu public des produits comestibles, des articles ménagers, vestimentaires, etc …
La révolution industrielle, l’explosion démographique, le souci de l'hygiène et l’instauration de nouveaux circuits commerciaux et de distribution en sont les causes principales.
la vraie vie des Romains : les courses de chars (Puy Du Fou)
Les courses de chars constituaient l'événement à nature sportive et religieuse majeure de l’Antiquité grecque, de l’Empire romain et de l'empire byzantin, pratiqué dans le cadre de nombreux jeux panhelléniques.
Les graves blessures et quelquefois la mort que ces courses pouvaient entraîner pour les participants donnaient à l'épreuve une dimension spectaculaire qui contribua à son succès auprès du public.
Chaque char était tiré par un, deux (bige, originellement un jeu étrusque), trois (trige), quatre (quadrige) ou six chevaux.
Les chars de compétition étaient conduits par des auriges.