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16 avril 2005

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22 janvier 2025

L'anneau de Jeanne d'Arc au Puy du Fou !

Bienvenue dans cette exploration captivante des origines et de la signification de l’anneau de Jeanne d’Arc, une icône emblématique de l’histoire française.

Plongeons ensemble dans cette fascinante découverte, en examinant les détails de cet objet légendaire et en comprenant son importance dans la vie de la célèbre héroïne nationale.

L’anneau de Jeanne d’Arc est un artefact historique fascinant, qui a acquis une place importante dans la légende entourant la vie de cette célèbre figure française.

Cet anneau, porté par Sainte Jeanne d’Arc elle-même, est devenu un symbole puissant de son courage, de sa piété et de son rôle décisif dans l’histoire de la France.

Jeanne d’Arc, également connue sous le nom de "Pucelle d’Orléans", est une figure emblématique de l’histoire française.

Née en 1412 dans le village de Domrémy, en Lorraine, elle est considérée comme une héroïne nationale française pour son rôle déterminant dans la guerre de Cent Ans opposant la France à l’Angleterre.

Jeune paysanne dotée d’une forte personnalité et d’une grande foi religieuse, elle a affirmé avoir reçu des visions de saint Michel, de sainte Catherine et de sainte Marguerite, et entendu des voix divines lui ordonnant de mener le futur roi Charles VII (1403-1461) à son sacre à Reims en 1429 et de chasser les Anglais du royaume de France.

Selon la légende, l’anneau de Jeanne d’Arc aurait été offert à la Pucelle d’Orléans par le Dauphin Charles VII lors de son sacre à Reims.

Une autre version suggère que l'anneau aurait été offert à Jeanne par ses parents, soulignant son lien avec ses origines modestes.

Cet événement historique revêt une grande importance symbolique, marquant la reconnaissance officielle de Jeanne d’Arc comme envoyée de Dieu pour guider le royaume de France vers la victoire contre les Anglais.

L’anneau, gravé de la mention "Jhesus Maria", était censé protéger Jeanne d’Arc durant ses campagnes militaires.

Après avoir mené plusieurs batailles victorieuses, elle a été capturée en 1430 et jugée pour hérésie, malgré son rejet constant de toute forme d’hérésie et son attachement inébranlable à la foi catholique.

Mais sans le soutien de la couronne française, elle a finalement été condamnée à mort par le tribunal ecclésiastique de Rouen (Sous domination anglaise), dirigé par Pierre Cauchon (1371-1442), évêque de Beauvais et inquisiteur pour le royaume de France et défenseur des intérêts anglais à la fin de la guerre de Cent Ans.

Le 30 mai 1431, à 19 ans, elle sera été brûlée vive sur la place du Vieux Marché de Rouen, accusée d’avoir porté un habit d’homme et d’avoir abjuré sous la torture.

Ce jugement, entaché de nombreuses irrégularités et considéré comme une exécution politique, a suscité l’indignation et la consternation dans une large partie de la population française face à l’envahisseur anglais.

Son sacrifice a été perçu comme un martyre, faisant d’elle une figure héroïque et légendaire de l’histoire de France.

Bien que son existence ait été brève, Jeanne d’Arc a laissé une empreinte indélébile dans l’histoire de France, symbolisant le courage, la foi, le patriotisme et représentant la résistance face à l’occupation étrangère et l’attachement au roi légitime.

Elle sera béatifiée et canonisée en 1456 sous le règne de Charles 7 et est depuis lors considérée comme une sainte patronne de la France.

Mais qu’en est-il de ses anneaux ?

Dans les écrits médiévaux sur le procès de Jeanne d’Arc, il est fait mention de deux anneaux.

Un en laiton, portant l’inscription "Jesus Maria", qui finira entre les mains des Bourguignons.

Un autre, en or (ou argent/doré), qui reviendra à Pierre Cauchon, évêque de Beauvais, ordonnateur du procès de Jeanne d’Arc.

Après son martyre sur le bûcher en 1431, le sort de ses anneaux est resté dans l’ombre pendant des siècles.

Les détails exacts de la provenance et de l’histoire de ces anneaux sont encore sujets à débat parmi les historiens et ont donné lieu à de nombreuses versions et interprétations au fil des siècles.

Mais concentrons-nous sur celui qui est en or…

Fait d’or, le bijou est une bague de type chevalière avec une large bande décorée d’inscriptions gravées.

À l’intérieur de l’anneau, on peut lire les mots "Jhesus Maria" en lettres gothiques, une invocation religieuse très caractéristique de l’époque médiévale.

Sur le côté extérieur, des fleurs de lys et des motifs floraux finement ciselés ornent la surface, soulignant le raffinement de l’œuvre.

La taille de l’anneau indique qu’il appartenait à une femme d’origine noble, probablement à la Pucelle d’Orléans elle-même.

Cet anneau, véritable trésor historique, témoigne de l’importance symbolique que revêtait la foi chrétienne pour Jeanne d’Arc, une guerrière guidée par des convictions religieuses profondes.

Selon les récits historiques, il semble que l’anneau ait été récupéré par les Anglais lors de la capture de Jeanne d’Arc et qu’ils l’ont gardé comme un trophée de guerre après leur victoire.

Dans la littérature, on retrouve d’autres témoignages concernant le sort de l’anneau comme :

Qu’il aurait été offert à l’Église catholique en guise de compensation pour la condamnation injuste de la Pucelle d’Orléans.

Qu’il aurait été retrouvé sur le champ de bataille après la capture de Jeanne d’Arc en 1430 et qu’il a ensuite été conservé comme une relique précieuse.

D’autres affirment qu’il a été remis à la famille de Jeanne d’Arc après son exécution.

Quelques récits évoquent même la possibilité que l’anneau ait été dissimulé par les sympathisants de Jeanne pour le préserver des mains de ses ennemis.

Une autre tradition raconte que Jeanne d’Arc aurait donné cet anneau à un soldat de confiance avant sa capture par les Bourguignons en 1430 et que l’anneau aurait été transmis de génération en génération, jusqu’à ce qu’il soit redécouvert des siècles plus tard au Puy du Fou.

Une autre source mentionne que lors de son procès en 1431 Jeanne d’écrit deux anneaux qui lui auraient été confisqués par ses geôliers.

Ce qui est certain, c’est que pendant des années, l’anneau de Jeanne d’Arc a suivi un parcours tumultueux sombrant dans l’oubli, et que sa trace s’est perdue dans les méandres de l’histoire.

Posséder cet anneau signifiait donc s’approprier une partie du patrimoine mémoriel de la Pucelle d’Orléans.

Ce n’est que bien plus tard, au 19ème siècle, que des indices sur son existence refont surface et alimentent les spéculations sur son éventuelle préservation.

Après sa capture et son exécution en 1431, de nombreux objets ayant appartenu à la Pucelle d’Orléans ont été dispersés et ont subi un sort incertain pendant des siècles.

Ce n’est qu’en 1867 qu’un événement fortuit a permis de redécouvrir cet anneau, qui était resté caché pendant plus de quatre cents ans.

C’est lors de travaux de rénovation dans la cathédrale de Rouen, en Normandie, que les ouvriers ont fait cette découverte étonnante.

En fouillant dans les fondations de l’édifice, ils sont tombés par hasard sur un coffre en bois contenant l’anneau de Jeanne d’Arc, ainsi que d’autres objets ayant appartenu à la sainte guerrière.

Son apparition fortuite aurait permis de retracer certains éléments de son histoire mouvementée, de sa confiscation par les Anglais lors de la condamnation de la jeune femme à son enfouissement dans le sol normand pendant des décennies.

Cette découverte inattendue aurait même suscité un regain d’intérêt du public pour la figure légendaire de Jeanne d’Arc et son incroyable destinée.

Cet artefact précieux est devenu l’objet d’un véritable "pèlerinage" pour les admirateurs de la célèbre héroïne française.

Mais depuis sa redécouverte, l’anneau a encore traversé les mains de plusieurs propriétaires successifs, témoignant de son importance historique et de son attrait pour les collectionneurs et les institutions.

Valeur inestimable de ce trésor historique, les différents propriétaires ont contribué à préserver et à protéger l’intégrité de l’anneau, le considérant comme un symbole sacré de l’héritage de Jeanne d’Arc.

Néanmoins, la réapparition de cet emblème symbolique de la sainte reste entourée de mystères et soulève de nombreuses interrogations sur son authentification et sa véritable provenance.

Plusieurs experts de renom ont examiné minutieusement chaque aspect de cette relique afin d’en établir la véracité.

L’authenticité de l’anneau de Jeanne d’Arc conservé au Puy du Fou a fait l’objet de nombreuses discussions et d’analyses scientifiques approfondies (de sa composition chimique à sa structure microscopique).

L’analyse poussée du métal et des matériaux utilisés a permis de confirmer que cet anneau a bien été fabriqué entre 1430 et 1530, soit l’époque où Jeanne d’Arc a vécu et ces examens ont révélé qu’il a bien été forgé à l’époque médiévale, avec des techniques de fabrication caractéristiques de cette période.

Des tests de datation par le carbone 14 ont également été réalisés sur l’anneau, corroborant les conclusions tirées des différents examens techniques.

Ces résultats détaillés permettent aujourd’hui d’affirmer avec un très haut degré de certitude que cet anneau a bien appartenu à la Pucelle d’Orléans.

Aujourd’hui, il est présenté au public dans un lieu prestigieux qu’est le château du Puy du Fou, permettant à chacun de se plonger dans l’univers médiéval de cette figure emblématique de l’histoire de France.

Le Puy du Fou, parc à thème historique reconnu pour ses spectacles grandioses, a entrepris un processus d’acquisition complexe et minutieux afin d’obtenir l’anneau de Jeanne d’Arc, une relique d’une immense valeur historique et symbolique.

Cette démarche a nécessité de nombreuses négociations et un important travail de recherche et de vérification de l’authenticité de l’objet.

Tout d’abord, les équipes du Puy du Fou ont dû localiser et identifier avec précision le propriétaire légitime de l’anneau, afin de s’assurer que l’acquisition se fasse dans le respect total de la loi.

Cela a impliqué de retracer l’historique complet de la relique, depuis son appartenance à Jeanne d’Arc jusqu’à son détenteur actuel.

Un travail de documentation minutieux a été mené pour prouver l'authenticité de l'objet et s'assurer qu'il n'avait pas été volé ou acquis de manière illégale.

Une fois le propriétaire identifié, le Puy du Fou a entamé des négociations approfondies afin d'acquérir l'anneau à un prix juste et raisonnable.

Ces discussions ont nécessité de nombreuses rencontres et échanges entre les deux parties, animées par la volonté de trouver un accord mutuellement bénéfique.

Le Puy du Fou a dû mobiliser des ressources financières importantes pour concrétiser cette acquisition (377.000 €).

Finalement, une fois l'accord conclu lors d'une vente au enchères à Londres en février 2016 et le transfert de propriété de l'anneau a été réalisé dans le respect de toutes les formalités juridiques et administratives requises.

Le Puy du Fou a alors pu accueillir cette relique emblématique dans ses collections, marquant ainsi une étape historique pour le parc.

La mise en scène de l'anneau a été conçue avec soin par les équipes du Puy du Fou, afin de créer une expérience de visite immersive et captivante pour les visiteurs.

La vitrine est disposée dans un espace recueilli, avec une lumière tamisée et des éléments de décor évoquant l'époque médiévale, plongeant le public dans l'atmosphère historique.

Cela inclut notamment le contrôle strict des conditions environnementales (température, hygrométrie, luminosité, etc.), la mise en place de systèmes de sécurité avancés et l’adoption de techniques de restauration innovantes.

Des analyses régulières permettent également de suivre l’état de l’anneau et d’anticiper tout éventuel besoin de traitement spécifique.

Tous ces efforts visent à garantir que cet emblème de l’histoire de France puisse être admiré et étudié par les générations futures, au sein du Puy du Fou.

Des panneaux interactifs permettent également d’en apprendre davantage sur les circonstances de la découverte de l’anneau et son acquisition par le parc.

Cette exposition de l’anneau de Jeanne d’Arc constitue un véritable temps fort de la visite au Puy du Fou, offrant aux visiteurs l’opportunité unique de contempler un artefact d’une importance historique exceptionnelle.

L’anneau de Jeanne d’Arc est considéré comme un trésor national français, un lien précieux avec le passé héroïque de cette figure emblématique de l’histoire du pays illustrant les luttes et les sacrifices de cette jeune femme pour défendre l’indépendance de la France.

En tant qu’héritage historique, il est essentiel de s’assurer que cet artefact reste soigneusement préservé pour les générations futures.

Bien que son authenticité ait été remise en question à plusieurs reprises, cet anneau reste aussi un objet de dévotion et de fascination pour de nombreux Français.

Certains y voient un symbole de son engagement religieux, tandis que d’autres pensent qu’il pouvait représenter son mariage spirituel avec le Christ.

Ces diverses interprétations reflètent la fascination durable que suscite cet objet légendaire.

 

 

21 janvier 2025

Bienvenue à Puy du Fou Congrès.

20 janvier 2025

Mousquetaire de Richelieu

 

 

 

17 janvier 2025

Réverbère *

Bourg 072

Un réverbère ou lampadaire extérieur est un dispositif d'éclairage public placé en périphérie des voies de circulation publiques qui s'allume le soir.
Dans la mythologie grecque, les Lampades (en grec : Λαμπάδες) sont des nymphes chthoniennes des Enfers.
Elles accompagnent la déesse Hécate.
Elles sont associées aux Mystères d'Éleusis.
Leurs noms sont à l'origine du mot « lampadaire », les "Lampades" portaient en effet des torches lumineuses.

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Jusqu'à la fin du XVIIe siècle, les rues des villes se changent en coupe-gorge la nuit venue, les ordonnances successives imposant aux riverains de suspendre des « lanternes et chandelles ardentes » demeurant inappliquées.
Peu éclairantes, d'une faible autonomie, celles dont les commis allumeurs rechignent à s'occuper sont remplacées par les célèbres réverbères en 1769.

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15 janvier 2025

Chez les Vikings

 

 

 

 

13 janvier 2025

L'histoire du Mimoza (Mimosa).

Dans le spectacle "Le Mime et l'Etoile",  Mimoza est un jeune mime rêveur portant un costume jaune de cirque qui lui vaut son nom de scène.

Il partage l’affiche avec Garance, une étoile montante du 7ᵉ art.

Le nom "mimosa" provient du latin "mimosa" et est le féminin de "mimosus" dérivé de "mimus", qui signifie "qui mime".

Cette appellation a été utilisée par les botanistes du XVIe siècle pour exprimer l’idée de mouvement.

La première attestation de ce terme en français date de 1602 dans “Histoire des drogues” de Colin, qui est une traduction du latin "De Herba Mimosa".

Le mimosa est une fleur emblématique, connue pour ses jolies fleurs jaunes en forme de boules pelucheuses qui fleurissent au début du printemps.

Cette couleur d'un jaune vif et chaleureux est souvent utilisée pour évoquer des sentiments de joie et d’optimisme.

Il est couramment utilisé en design et en décoration pour ajouter une touche de chaleur et de lumière.

Originaire d'Australie, cette essence subtropicale a conquis les cœurs du monde entier et a été importée par les explorateurs et les botanistes européens dans plusieurs pays d'Europe du Sud (bassin méditerranéen) et d'Afrique du Nord.

C'est dans ces climats doux et ensoleillés que le mimosa a pu se développer naturellement.

Cette plante a acquis une place importante dans de nombreuses traditions et symboles culturels, fréquemment associée à la féminité, à la douceur et à l'élégance.

Elle est devenue un véritable emblème de la région provençale célébrée chaque année lors de la Fête du Mimosa qui attire de nombreux visiteurs.

Cette expansion a permis de faire connaître et apprécier cette fleur dans le monde entier.

Arbuste à feuillage persistant, il peut atteindre une hauteur de 5 à 15 mètres selon les variétés avec une croissance de 30 à 60 cm par an.

Le mimosa préfère les sols bien drainés, sablonneux ou graveleux.

Un excès d'humidité peut entraîner des problèmes de maladie et de pourriture des racines.

Une taille régulière des branches et des fleurs fanées permet de stimuler une floraison abondante et de garder le mimosa compact.

Ses feuilles sont finement découpées, d'un vert tendre, et dégagent un parfum agréable.

Ses fleurs se forment en grappes pelucheuses sur les branches et dégagent un parfum doux et envoûtant.

Le mimosa fleurit généralement entre les mois de janvier et d'avril, selon les régions.

C'est l'une des premières fleurs à s'épanouir, annonçant ainsi l'arrivée du printemps.

Le mimosa est largement utilisé pour la décoration florale, notamment dans les bouquets et les arrangements.

Ses fleurs jaunes apportent une touche de luminosité et de fraîcheur.

L'huile essentielle de mimosa est très prisée dans l'industrie cosmétique et la parfumerie pour ses propriétés apaisantes et adoucissantes.

Certaines espèces de mimosa sont utilisées depuis des siècles dans la médecine traditionnelle pour ses propriétés médicinales.

Mimosa Tenuiflora : utilisé comme traitement des brûlures et des lésions cutanées,  traitement des saignements, comme antiseptique et comme composé anti-inflammatoire et analgésique.

Il est utilisé dans la gestion du psoriasis, de l’acné, de l’herpès et des ulcérations veineuses de jambe chez les patients diabétiques.

Mimosa Pudica : utilisé pour traiter les hémorroïdes, la lèpre, la diarrhée et les vers intestinaux.

Il est également utilisé pour traiter de nombreuses affections moins embarrassantes, spécialement l’arthrite, la fièvre et les douleurs musculaires.

Déjà, les anciens Égyptiens utilisaient le mimosa pour ses propriétés médicinales.

Ils croyaient qu'il avait des pouvoirs de guérison et l’utilisaient pour traiter diverses affections telles que des affections cutanées, des problèmes digestifs et des problèmes respiratoires.

Le mimosa était par ailleurs utilisé comme agent analgésique et anti-inflammatoire.

Les fleurs, les feuilles et les branches de mimosa sont également utilisées dans de nombreuses créations artistiques et artisanales, telles que la peinture, la poterie et la vannerie.

Bien que peu connue, la fleur de mimosa est par ailleurs comestible.

Elle peut être utilisée pour parfumer les pâtisseries, les tisanes ou encore les liqueurs, apportant une saveur délicate et subtile.

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10 janvier 2025

Chez la Portraitiste

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8 janvier 2025

Le Village des Petits-Lucs-sur-Boulogne

6 janvier 2025

Au Mousquetaire de Richelieu.

 

 

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