6 avril 2016
Prélude (Cinéscénie du Puy du Fou)
On regarde le temps qu’il fait, on ne voit pas le temps passer.
Chacun prend sa peine derrière sa charrue.... Dans la même lignée.
De la veille au matin, les mêmes amours de borderie depuis le Moyen Age.
Les mains qui se rejoignent, et le doigt de la mère qui vient refermer les mêmes lèvres.
C’est la grande coulée des siècles, avec un seul Jacques, devant l’histoire, pour tous les Maupillier.
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