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31 mars 2025

Dans le Bourg Bérard.

 

 

 

 

28 mars 2025

La Madelon au Puy du Fou

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Tout le monde connaît cette chanson.
Cette célèbre Madelon, serveuse dans une taverne, possède une singulière histoire.
Selon la légende, c'est l’histoire de la douceur gironde d’une femme, aux mœurs légères, d'un cabaret militaire qui sert à boire aux soldats ayant galvanisé les troupes.
Les paroles de la chanson d'ailleurs ne sont pas très féministes, la Madelon étant une jeune fille qui fait l'objet des fantasmes de ces soldats, loin de leurs "promises".
En 1913, Bach (Charles-Joseph Pasquier 1882-1953) passe commande au compositeur et au parolier "d’une chanson cocardière renouvelée".
D'abord un "Poème" intitulé "Quand Madelon", les paroles sont de Louis Bousquet (1870-1941).
La chanson fut présentée en mars 1914 par le chanteur Bach au café-concert l’Eldorado à Paris sur la musique de Camille Robert (1872-1957), mais la chanson rencontre peu de succès lors de sa création.
En août 1914, un chansonnier nommé "Sioul", qui était présent à la création de "Quand Madelon"... à l’Eldorado, est mobilisé comme artilleur et cantonné à l’école Jules-Ferry de Fontenay-sous-Bois et il chante cette chanson à ses camarades.
Celle-ci obtient un véritable succès.
Les canonniers l'apprennent et la chantent à leur tour et la diffusent.

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Les paroles se refilent de garnison en garnison pour donner du courage aux hommes partant au combat.
Elle devient aussi un symbole de légèreté grivoise qui leur fait oublier un quotidien extrêmement difficile au sein des tranchées.
Entre-temps, Bach est mobilisé et affecté au théâtre aux Armées.
Il est chargé par le général Gallieni, avec ses camarades chanteurs et comédiens, de distraire les soldats au repos.
C’est ainsi que "Quand Madelon" acquiert une immense popularité, au front d’abord puis à l’arrière, et devient alors "La Madelon".
Chantée, ressassée, "La Madelon" est devenue un classique.

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Très prisée durant la Première Guerre mondiale, elle s’imposa vite sur le front où, dit-on, elle concurrença sérieusement La Marseillaise.
La musique de la chanson est une marche de fanfare.
Et "La Madelon" devient rapidement un chant militaire et restera comme le succès majeur des chansons du théâtre aux armées.
Le chanteur Marcelly (Marcel Jules Turmel 1882-1966) est le premier à avoir enregistré cette chanson en 1917.
Ce n'est qu'en 1919 que Bach enregistrera sa chanson.
En 1921, une plaque est apposée sur la façade de l’école de Fontenay-sous-Bois, indiquant :
"La Madelon est partie d’ici en août 1914 pour faire le tour du monde".
Depuis lors, la commune de Fontenay-sous-Bois organise chaque année au printemps les fêtes de la Madelon.

*****
Pour le repos, le plaisir du militaire,
Il est là-bas à deux pas de la forêt
Une maison aux murs tout couverts de lierre
"Aux Tourlourous" c'est le nom du cabaret.
La servante est jeune et gentille
Légère comme un papillon.
Comme son vin, son œil pétille,
Nous l'appelons la Madelon
Nous en rêvons la nuit, nous y pensons le jour,
Ce n'est que Madelon, mais pour nous, c'est l'amour
Refrain :
Quand Madelon vient nous servir à boire.
Sous la tonnelle, on frôle son jupon
Et chacun lui raconte une histoire
Une histoire à sa façon
La Madelon pour nous n'est pas sévère
Quand on lui prend la taille ou le menton.
Elle rit, c'est tout le mal qu'elle sait faire
Madelon, Madelon, Madelon !

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La Madelon au Puy du Fou.

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Spectacle imaginé et revisité, venant de la légende, reposant néanmoins sur un fait historique de la mariée de Chambretaud, bien connue des Vendéens.
La Légende
Ce fait remonte aux années 1854 et 1855, sous le Second Empire.
La France était alors engagée contre les Russes en Crimée.
Les contingents de soldats de métier étant décimés, le gouvernement de Napoléon III a dû faire appel à des volontaires pour renouveler le corps expéditionnaire.
Les autorités décidèrent ainsi d’envoyer en priorité les hommes célibataires.
Célibataire endurci, mais rusé, un chambretaudais fit une demande en mariage auprès d’une vieille fille au célibat prolongé.
La date du mariage fut fixée au 8 septembre 1855, ce qui lui permettait d’échapper à l’incorporation.
Ayant appris le matin du mariage que Sébastopol était prise, il en a conclu que la guerre était terminée.
Il en conclut aussi qu’il se trouvait libre vis-à-vis des autorités militaires et des engagements civils qu’il s’apprêtait à souscrire.
Il disparut alors momentanément et laissa la pauvre mariée aller toute seule à la mairie.
Pauvre mariée abandonnée !
Mais quelques mois plus tard, conscient de la peine qu’il avait causée, le galant se racheta et épousa enfin celle qu’il avait délaissée de façon aussi inexplicable qu’inattendue en pareille circonstance.

*****

Venons-en au spectacle :

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En 60 minutes, 750 convives vont vivre un vrai dépaysement, plein d'énergie, de danse, au rythme des mélodies.
Nous voici en 1914, et dans un restaurant aux décors art nouveau, et vous êtes invités au repas de mariage de la Madelon.
Tout est prêt pour la noce, mais rien ne va se passer comme prévu !
Madeleine, dite "La Madelon", la plus belle fille du village, va se marier avec Auguste dit le "Braco".
Mais voilà, nous sommes en pleine mobilisation pour la guerre 1914-1918.
A plusieurs reprises, le "Braco" déjoue les manœuvres de la Maréchaussée, mais le jour de l'échange des consentements, il est arrêté, menotté, extirpé de la fête.

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Voici notre mariée au beau milieu de son repas de noces avec toute sa famille, ses cousins et ses amis, mais sans mari !
Le maire voulant consoler la belle, cherche des candidats voulant se marier à la Madelon….
Mais pour connaître la suite et la fin de l'histoire….

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Allez au Puy du Fou et réservez votre repas.
- Médaillon de la mer et sa garniture
- Rôti de volaille, effeuillé de pommes de terre, tomate provençale, sauce Madère
- La Pièce montée des Mariés (chou-vanille, opaline au chocolat)
Boissons comprises

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Bon appétit.

26 mars 2025

Au "Noces de Feu" du Puy du Fou !

 

 

 

 

24 mars 2025

Qui est Rutuba de Carthage ?

Cette présentation a pour objectif d’explorer la figure de l’aurige Rutuba, une figure importante de l’histoire antique de Carthage (Actuel Tunis).

Les origines exactes de Rutuba, le célèbre aurige carthaginois, sont quelque peu obscures. Cependant, les historiens s’accordent à dire qu’il aurait vécu au IIIe siècle avant J.-C.dans les quartiers populaires de Carthage, la grande cité du nord de l’Afrique.

Issu d’une famille modeste, Rutuba a grandi dans un environnement où les courses de chars étaient très appréciées et constituaient un moyen de se faire un nom et de gagner en notoriété.

Réputé pour son habileté, ses techniques de conduite exceptionnelles, son audace et sa maîtrise de l’art de la course de chars avec une précision remarquable, lui permettant de gagner des courses à la dernière seconde, dépassant ses adversaires avec une maestria époustouflante faisant de lui l’un des meilleurs aurigas les plus titrés de son époque.

Grâce à sa connaissance approfondie des chevaux et de leur comportement, Rutuba savait comment les diriger avec fermeté et douceur, les poussant à donner le meilleur d’eux-mêmes lors des compétitions.

L’une des particularités de Rutuba était sa capacité à anticiper les mouvements de ses adversaires et à adapter sa stratégie en conséquence.

Il était capable de prendre des virages serrés à grande vitesse sans perdre le contrôle de son char, offrant ainsi un spectacle saisissant aux spectateurs.

Rutuba était également renommé pour sa capacité à garder son calme sous pression, restant concentré et déterminé même dans les situations les plus tendues.

Rutuba était l’un des auriges les plus accomplis de Carthage et a su s’imposer dans les plus grandes compétitions de l’Antiquité, devenant une figure emblématique de la cité.

Il a ainsi représenté Carthage dans des courses à Rome, en Grèce et en Sicile, où il a continué à s’imposer face à la concurrence.

Ses prouesses sur les hippodromes ont rapidement fait de lui une véritable légende vivante.

Adulé par la population carthaginoise, il était fréquemment célébré dans les œuvres d’art et dans les récits historiques de l’époque.

Son nom était sur toutes les lèvres et son image était omniprésente dans l’espace public.

Ses victoires, sa réputation d’homme courageux et talentueux ont contribué à la renommée et à la fierté de sa cité natale, faisant de lui un héros national devenant l’un des athlètes les plus célèbres de l’histoire de Carthage.

L’histoire de l’aurige Rutuba de Carthage illustre l’importance des courses de chars dans la société antique et témoigne de la fascination que suscitaient ces événements spectaculaires au sein de la population.

Ses plus grands défis provenaient des écuries rivales, comme celle dirigée par le célèbre aurige Hasdrubal.

Ces deux hommes se disputaient âprement la victoire lors des courses les plus prestigieuses de la cité punique.

Leurs joutes sur la piste électrisaient les foules, qui se rangeaient derrière leurs champions respectifs.

Les détails de la vie personnelle de Rutuba sont relativement peu connus des historiens modernes.

Cependant, on peut supposer qu’en tant qu’aurige célèbre à Carthage, Rutuba a probablement joui d’un certain succès et d’une certaine reconnaissance sociale.

Malgré les années qui ont passé, Rutuba demeure une figure emblématique de la culture carthaginoise, symbolisant l’esprit de compétition et de performance qui animait les athlètes de l’époque.

Après des années de succès retentissants dans les courses de chars à Carthage, la carrière de Rutuba a finalement pris fin.

Bien que son âge avancé et ses blessures aient rendu la compétition de plus en plus difficile, il est resté un pilier respecté et admiré au sein de la communauté des aurigas.

Il a consacré son temps à la formation des jeunes conducteurs prometteurs, partageant généreusement son expertise et son savoir-faire accumulés au fil des décennies.

Ses exploits ont inspiré de nombreux jeunes à suivre ses traces, contribuant ainsi au développement et à la renommée des courses de chars dans la région.

Son influence a également dépassé le simple cadre des courses, car Rutuba a su tisser des liens diplomatiques et commerciaux avec d’autres cités, renforçant la position de Carthage dans le réseau méditerranéen.

Ses apparitions et ses succès à l’étranger ont contribué à la notoriété de sa patrie, faisant de lui un véritable ambassadeur de la civilisation carthaginoise.

Aujourd’hui encore, la figure de Rutuba reste ancrée dans la mémoire collective de Carthage, témoignant de l’importance du sport et des personnalités charismatiques dans la construction de l’identité et de la fierté d’une cité antique.

Son héritage continue d’inspirer les passionnés des courses de chars et les historiens du sport antique.

Un petit résumé sur "Rutuba" de Carthage.

21 mars 2025

Le Chevalier des Songes

Sous l'acier brillant, l’écho d’un serment,
Le chevalier fend le vent du levant.
Sa monture drapée d’emblèmes d'antan,
Porte la gloire des jours triomphants.

Dans l’arène où la poussière tournoie,
Le cliquetis des armes danse avec la foi.
Un heaume orné, gardien de l’honneur,
Abrite le cœur d’un noble rêveur.

Autour, des bannières flottent dans le silence,
Comme des témoins d’âges de vaillance.
La fumée, douce cape d’un passé troublé,
Couvre le décor d’un voile immaculé.

Et dans ce duel dans lequel l’histoire revit,
Le chevalier, ombre d’un temps qui s’enfuit,
Charge avec ardeur, porté par l’idéal,
D’un monde où justice jamais ne fait mal.

Que reste-t-il des âmes guerrières ?
Le fracas des armes, une prière,
Le galop du courage, une quête sacrée,
Le souvenir gravé d’une lutte adorée.

19 mars 2025

Comprendre le spectacle : le Mime et l'Etoile.

 

Comprendre le spectacle avec un petit fichier PDF

17 mars 2025

Au Mystère de La Pérouse

 

 

 

 

 

14 mars 2025

L'évolution du Château Fort (2/7)

A partir du XIIIème siècle, les mœurs s’affinent, le désir du confort reparaît, et le châtelain ne se contente plus des chambres superposées, généralement sombres, du donjon.

A celui-ci s’ajoutent des corps de logis plus habitables, et de plus en plus vastes.

Ainsi la physionomie du château féodal se trouve déjà sensiblement modifiée.

Ensuite, l’art de la guerre progressant sans cesse, et la science du mineur devenant dangereuse pour l’assiégé, le château commence à se resserrer, à diminuer la longueur du mur d’enceinte, difficile à défendre quand il est attaqué de plusieurs points à la fois.

On donne aux murailles des corps de logis une épaisseur considérable, au moins dans les parties orientées vers l’extérieur du château, de telle façon que ces corps de logis deviennent eux-mêmes le rempart.

Leur pied est construit obliquement, de façon à faire ricocher les projectiles qu’on laisse tomber du haut des mâchicoulis ou des galeries de bois jeté en surplomb au-dessus des fossés.

Au XIVème siècle, l’artillerie apparaît, mais elle est trop faible encore pour constituer un danger véritable.

Les premières bombardes mises en service ne lancent, en général, que des balles de pierre d'environ  60 centimètres et 250 kg, absolument impuissantes contre des murs maçonnés.

On ne peut les projeter au-delà de 300 mètres.

Le service de ces premières pièces est de l’ordre de 10 coups par heure.

Dès le XIVème siècle, quelques bombardes de gros calibre deviennent menaçantes pour les châteaux.

12 mars 2025

Dans la Cité de "Font-Rognou" du Puy du Fou.

 

10 mars 2025

Les fenêtres à Meneaux

Les fenêtres à meneau(x) ou à croisée(s) ont leurs origines dans l’architecture médiévale européenne, période durant laquelle l’architecture gothique était en plein essor.

Elles étaient utilisées pour apporter de la lumière naturelle et de l’aération dans les bâtiments et sont devenues un élément architectural distinctif des châteaux, cathédrales et autres édifices de cette époque.

Cette conception élégante crée un motif régulier et symétrique avec des divisions verticales et horizontales, ajoutant une touche de raffinement architectural qui plaît à l’œil.

La partie verticale s’appelle le "meneau ou le montant" et la partie horizontale, la "traverse".

Ces deux éléments se croisent à angle droit et forment une croix latine et l’ensemble constitue la "croisée".

Ces structures créent des compartiments, appelés "lancettes", dont le nombre varie selon la taille de la fenêtre.

Pendant la Renaissance et grâce à leur capacité à apporter de la lumière tout en préservant l’intimité, les fenêtres à meneau ont évolué pour adopter des styles plus ornementés, avec l’ajout de motifs décoratifs et de formes géométriques complexes.

Elles sont devenues un symbole de la richesse et du statut social de l’époque.

Avec l’émergence des fenêtres à battants au XVIIIe siècle (1701-1800), les fenêtres à meneau ont connu un déclin progressif.

Les propriétaires français détruisent leurs meneaux à la suite de l’impôt sur les portes et fenêtres institués en 1798 (supprimé en 1926).

Instaurée le 24 novembre 1798, cette taxe somme les propriétaires de verser un impôt proportionnel au nombre de fenêtres de leur logement, selon une logique imparable : plus on a de fenêtres, plus notre logement est grand, plus on est riche.

Une règle facile pour les percepteurs, qui n’ont qu’à lever la tête et compter le nombre de fenêtres pour réclamer la somme due.

Pas besoin de recenser la surface des logements ou de comptabiliser le nombre de cheminées de chaque logis, une simple énumération des ouvertures depuis la rue suffit à taxer les propriétaires français sans qu’ils puissent contester.

Les portes cochères sont surtaxées et les fenêtres à meneaux comptent pour… quatre ouvertures !

Ce prélèvement, incita les propriétaires à condamner nombre d’ouvertures, en augmentant du coup l’insalubrité des logements, ou à mutiler les fenêtres remarquables, dont les meneaux et les traverses.

En 1926, grâce à la pression des médecins et des hygiénistes, qui recommandaient une approche « d’aération » pour traquer l’air confiné et les odeurs enfermées, l’impôt sera définitivement supprimé.

Les fenêtres à meneau ont connu un regain d’intérêt au XIXe siècle, notamment dans le cadre du mouvement néogothique, où elles ont été réintégrées dans de nombreux bâtiments historiques et nouveaux.

Les fenêtres à meneau occupent une place centrale dans l’architecture des bâtiments historiques et confèrent une élégance et une noblesse intemporelle à ces édifices, témoignant de la maîtrise des techniques de l’époque.

Ces fenêtres offrent une partition visuellement harmonieuse grâce à leurs divisions en petits carreaux et leur présence souligne l’appartenance du bâtiment à un style architectural patrimonial, renforçant ainsi son caractère historique et son prestige.

Le bois a longtemps été le matériau de choix pour les fenêtres à meneau.

Les charpentiers experts pouvaient sculpter et tailler le bois pour créer des motifs complexes et des divisions élégantes, donnant aux fenêtres un aspect raffiné et artisanal.

Dans les bâtiments historiques comme les châteaux et les cathédrales, les fenêtres à meneau étaient souvent taillées directement dans la pierre.

Cette approche offrait une solidité et une durabilité remarquables, tout en permettant des conceptions ornementales complexes.

De nos jours, l’aluminium est de plus en plus utilisé pour les fenêtres à meneau, en particulier dans les constructions modernes.

Grâce à sa robustesse et à sa finesse, l’aluminium permet de créer d'élégants designs épurés, tout en offrant de meilleures performances d’isolation.

Malgré leurs origines historiques, les fenêtres à meneau continuent d’être appréciées dans l’architecture moderne.

Elles apportent une touche élégante et traditionnelle, tout en s’intégrant harmonieusement dans des designs contemporains.

Dans les bâtiments historiques ou les zones classées, l’utilisation de fenêtres à meneau est généralement soumise à des autorisations spécifiques.

Les autorités veillent à préserver l’authenticité architecturale et l’intégrité du patrimoine bâti.

Les fenêtres à meneau représentent un héritage architectural riche et intemporel.

Bien que leur conception puisse sembler complexe, leur attrait esthétique et leur durabilité en font un choix populaire pour les bâtiments historiques et modernes.

Avec les considérations environnementales et réglementaires en constante évolution, les fenêtres à meneau continueront à évoluer pour répondre aux besoins des architectes et des propriétaires.

Les fenêtres à meneau offrent plusieurs avantages :

Esthétique :

Elles apportent une élégance et un raffinement indéniables à l’architecture, ajoutant du caractère et du charme à tout intérieur.

Isolation :

Les compartiments créés par les meneaux permettent de mieux répartir la chaleur à l’intérieur du bâtiment tout en évitant les courants d’air directs.

Sécurité :

Grâce à la solidité de leurs montants, elles offrent une résistance accrue face aux tentatives d’intrusion.

Durabilité :

Les meneaux, souvent en pierre ou en fer, assurent la stabilité et la durabilité des fenêtres.

Ces avantages font des fenêtres à meneau un choix populaire pour ceux qui cherchent à allier fonctionnalité et esthétique dans leur architecture.

 

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