16 mai 2011
La Cinéscénie.*
Le jour tire son rideau... Une petite lumière troue la nuit qui vient de s'installer.
Soudain, une voix s'élève, profonde, vibrante.
La mémoire reprend la parole.
"Je n'ai jamais reçu de nom, il m'appelle le vieux galopin, ......."
Une histoire commence, l'histoire recommence.
Son souffle s'élève, envahit l'espace.
Quatorze mille cœurs communient et battent comme un seul homme.
Acteurs, spectateurs, tous passagers du temps.
Pour le plus beau voyage dans le passé.
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