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11 mars 2010

Saint Rognou

Il y a peu, je parlais (me référant au spectacle de la Cinéscénie) du vieux pèlerin de Saint Rognou se rendant à la Grainetière.

Mais qui est Saint Rognou ????

Bientôt l'histoire de Saint Rognou. (Saint guérisseur des rognes - maladie de la peau).
D'avance, je remercie Madame Bernadette Roy, Monsieur Claude Mercier, et le Frère Alain de Jésus de l'Abbaye de la Grainetière.
Sans eux, il m'aurait été impossible de faire revivre cette histoire.
Encore un peu de patience.

3 février 2010

Blason du Puy du Fou (Suite)

En 1126, BERTHE du PUY du FOU est la fille de Geoffroy, fils de Hugues et de Mathilde de Lusignan, fille de Hugues de Lusignan.
De cette union sont nés : BOUCHARD IV,  qui suit Lancelin (mort en 1192) Mathilde, qui épouse en 1151 Henri d'Avaugour, comte de Tréguier et Guingamp, fils d'Etienne, comte de Penthièvre et d'Avoise de Guinganmp

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10 janvier 2010

Histoire de château

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Ce château se situe au cœur du haut pays, dans une région vallonnée et verte, non loin du bourg des Epesses.
Un premier château fut édifié au II° siècle (emplacement du spectacle du Bal des Oiseaux Fantômes), dont des fouilles récentes ont révélé l'emplacement exact, est détruit par les Anglais dans le premier quart du XVè siècle.
Le donjon est l'un des seuls vestiges de la forteresse encore visible.
Guy II du Puy du Fou, Seigneur du lieu, reconstruit son château à un endroit plus favorable.

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Cent ans plus tard, François II  et Catherine de Laval songent à la restauration et à la transformation du Puy du Fou.
A la tête d'une immense fortune, les jeunes époux font de fréquents séjours à la cour de France.
Ils y côtoient de nombreux architectes et artistes, arrivés d'Italie avec les rois de France.
En 1540 débute la construction du grand corps de logis de plus de 65 mètres de long face à l'entrée.

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Catherine de la Rochefoucauld, veuve, construit le Grand degré.

Leurs enfants, René 1er du Puy du Fou et Catherine de la Rochefoucauld, achèvent la construction par l'édification de la grande loggia et de la galerie à arcades de 58 mètres de long.
Le château sera vendu en 1659 à Claude Boislève, baron d’Oulmes.
En 1794, le château  est incendié par les colonnes infernales de Turreau.
Avant cette destruction, on y pénètre par une petite loggia composée de deux arcades de granit.
Le rez de chaussée dresse ses fines colonnades ioniques, tandis qu'à l'étage les colonnes sont corinthiennes.
Ce bel escalier vouté de caissons sculptés facilite l'accès aussi bien au sous-sol qu'aux étages supérieurs.
Tout en granit, avec une rampe incorporée dans les murs, il est d'une architecture somptueuse.
En 1977, le département de la Vendée, acheta le château et le conseil régional décida d’entreprendre sa restauration.

Le château devint la toile de fond du spectacle principal "La Cinéscénie" grâce à l'association.

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19 septembre 2009

La deuxième guerre mondiale.*

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Lors du spectacle de la Cinéscénie, la deuxième guerre mondiale est évoquée.
Certains évènements et personnages de cette période sombre de notre histoire ne seront pas repris sur "PuyStory".

Mais en accord avec le Dr. Volker DAHM de l'Institut d'Histoire de Munich, j'ai créé un  blog destiné à faire connaitre l'histoire d'une montagne bavaroise.

L'Obersalzberg.

En aucun cas, il ne portera de jugement sur les évènements qui se sont passés mais il sert à replacer le contexte historique et politique de cette montagne.

http://obersalzberg.canalblog.com/

28 août 2009

A la découverte de Saint Louis-Marie de Monfort.

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En m'approchant du tombeau de Saint Louis-Marie de Monfort, j'ai aperçu le noms de Marie-Louise TRICHET.
Sur le coup, je n'en ai pas compris la signification.

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Voici son histoire :

Née à Poitiers le 7 mai 1684, Marie-Louise TRICHET rencontre le Père de Montfort à l'âge de 17 ans.
Elle lui fait part de son désir d'être religieuse.
Il l'envoie à l'hôpital général vivre avec les pauvres. En 1703, il lui remet l'habit des Filles de la Sagesse et ajoute à son nom de Marie-Louise celui de Jésus, pour marquer sa consécration à Dieu.
Elle reste seule pendant dix années et supporte avec courage une série d'épreuves peu communes.
Catherine Brunet devient sa première compagne.
35 fondations sont faites du vivant de Marie-Louise de Jésus, surtout dans l'Ouest de la France.
Elle meurt à Saint-Laurent-sur-Sèvre le 28 avril 1759, âgée de 75 ans.
Elle a donné corps à la congrégation et a formé avec soin les premières Soeurs.
L'Eglise a reconnu la sainteté de sa vie: Jean-Paul II  l'a béatifié en 1993 à Rome.

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24 août 2009

Guerre de vendée

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En 1793, la France faisait front à l'Europe,
la Vendée tenait tête à la France.
La France était plus grande que l'Europe.
La Vendée était plus grande que la France.

Victor Hugo.

13 août 2009

Le Père de Montfort

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Le 28 avril 1716, le Père de Montfort tombe d'épuisement au cours de la mission paroissiale.
Il n'a que 43 ans et 16 ans de sacerdoce.
Il a pourtant prêché près de 200 missions et retraites dans l'Ouest de la France.
Avant de mourir, Montfort avait passé le flambeau à quelques disciples, hommes et femmes.
Ils étaient si peu nombreux qu'on pouvait douter de l'avenir.
Ils sont aujourd'hui près de 6000, répandus dans le monde entier.
Le Père de Montfort a été canonisé par Pie XII en 1947, à Rome.
Les Missionnaires Montfortains sont aujourd'hui répandus en 35 pays sur les 5 continents.
Ils participent à la mission universelle de l'Eglise, dans la ligne de leur spiritualité propre.

23 juillet 2009

LESCURE

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Louis-Marie de Salgues, marquis de Lescure, né à Versailles le 13 octobre 1766, mort à La Pellerine, (Mayenne), le 4 novembre 1793.
Lorsque le triomphe de la Révolution fut décidé, il alla organiser la première insurrection vendéenne.
Dès le début du soulèvement de la VENDEE et à la demande de ses paysans, il se met à la tête de l'insurrection.
Dès les premiers jours il étonna les Vendéens par son intrépidité, en se précipitant le premier, et seul, sur un pont barricadé et gardé par les troupes républicaines devant Thouars 25 mai 1993).
A Fontenay (16 mai 1793), il entra aussi dans la ville sans que personne n’osât d'abord le suivre, tant il était pressé d'aller délivrer des prisonniers vendéens qui y étaient enfermés.
A Saumur dont il s'empare, il fut blessé ; enfin, en toute affaire ; nul ne fut plus empressé et plus dévoué que lui.
Au combat de Torfou, qui fut le dernier succès des Vendéens sur la rive gauche de la Loire, et où leurs efforts héroïques parvinrent à repousser pour quelques jours les troupes aguerries du général Kléber, on vit M. de Lescure mettre pied à terre et crier aux paysans découragés :
«Y a-t-il quatre cents hommes assez braves pour venir périr avec moi?
- Oui, Monsieur le marquis !»
répondirent les gens de la paroisse des Echaubrognes ;
et, à leur tête, il se maintint pendant deux heures.
Après l'attaque infructueuse de Nantes (29 juin 1793) qui marque un tournant dans la guerre de Vendée, il s'installe à Bussières où il tente en vain de rassembler les troupes dispersées de l'Armée catholique et royale.
Chassé de son quartier général par le général François-Joseph Westermann, il prend sa revanche à Tiffauges.
Blessé grièvement, atteint d'une balle à la tête, au combat de La Tremblaye, il est porté agonisant par ses hommes, tout au long de la retraite de l'armée vendéenne après le désastre de la bataille de Cholet (la Virée de Galerne), emmenant avec elle une population éploree et fugitive.
M. de Lescure, dont la blessure laissait quelque espérance, aida encore de ses conseils et de sa constance ses compagnons.
Il contribua à faire nommer M. de la Rochejaquelein chef de l'armée.
Après le passage de la Loire, il suivit la marche pénible des Vendéens à travers l'Anjou et la Bretagne.
Les soins touchants de sa femme, les hommages de l'armée, ne pouvaient empêcher l'effet de tant de douleurs accablantes qui venaient à chaque instant envenimer sa blessure.
Celui qu'on appelait le "Saint du Poitou" mourut le 4 novembre 1793 dans la voiture dans laquelle on le transportait, au lieu-dit Les Besnardières près de La Pellerine sur la route entre Ernée et Fougères, après un long et douloureux calvaire.
Son beau-père, le général de Donissan, le fit enterrer dans un lieu qui est resté inconnu.
Ce fut sans doute afin d'épargner à son cadavre les outrages dont celui de Bonchamps avait été l'objet.
Sa veuve, qui l'avait suivi dans la Vendée, acquit plus tard une grande célébrité, sous le nom de Madame de La Rochejacquelein.
Cette femme a connu l'exil jusqu'en 1816.
Elle a publié ses Mémoires au commencement de la Restauration.
En 2009 en son honneur, LE LOGIS DE LESCURE est créé  un ensemble de 6 ou 8 suites hôtelière pour accueillir nos visiteur.

6 juillet 2009

Louis Sapinaud de la Verrie

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Le chevalier Louis Sapinaud de la Verrie (1738 - 1793) fut l'un des premiers chefs de la Vendée et assura le commandement de la première Armée catholique et royale.
Il battit le général républicain Marcé, donnant à ses troupes leurs premières victoires.
Sapinaud de la Verrie dirige l'offensive contre les républicains.
Il occupe les villes de Tiffauges, Mortagne, les Herbiers et rallie les angevins pour constituer la grande armée.
Il tombe aux mains des Bleus après la première défaite devant Luçon, il fut mis à mort le 25 juillet 1793

18 juin 2009

Odyssee

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A travers l’Odyssée du Puy du Fou, le public se mêle aux tableaux, partageant les sensations des acteurs, pour un spectacle interactif qui traverse quatre périodes phares de l’Histoire.

à vous de devinez lesquels ?

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