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31 janvier 2025

Les moulins du Mont des Alouettes

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La Vendée compte quelques lieux mythiques par leur cadre exceptionnel et l’histoire dont ils portent encore aujourd’hui le souvenir.
L’origine du nom proviendrait d’une légion romaine qui y a établi un camp, reconnaissable à l’alouette en bronze qui ornait le casque des légionnaires gaulois de l’armée romaine, ayant campé sur ces lieux.
De tout temps, cette colline soulevait des enjeux stratégiques, ayant connu bien des guerres.
En 732, les Sarrasins y furent délogés après la bataille de Poitiers.
Le Mont des Alouettes a aussi été un poste frontière entre les possessions françaises et anglaises.
Points culminants du département de la Vendée, le Mont des Alouettes appartient à cette chaîne de collines armoricaines qui longe le cours de la Sèvre nantaise.

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Avec ses 232 mètres d’altitude, il fut propice à l’établissement de moulins et servit pendant la Guerre de Vendée de poste d’observation aux Blancs.
Outre les bois et les forêts, les moulins à vent jouaient un rôle de tout premier plan dans la défense du pays.
C’est au XVIe siècle que le Mont des Alouettes se dote de moulins à vent.
On ne sait pas vraiment depuis quand les meuniers ont réussi, en France, à domestiquer l’énergie du vent.
Les historiens s’accordent à dire que ce serait au début du deuxième millénaire de notre ère et que les croisades n’y seraient pas étrangères.
La situation privilégiée du Mont des Alouettes, balayé par tous les vents, incite à penser qu’il a dû y avoir des moulins à son sommet dès le début de l’apparition de cette nouvelle technique de mouture.

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Pendant plusieurs siècles, des générations de meuniers, attentifs aux caprices du vent, ont drapé ou dé-drapé les ailes de leurs moulins, uniquement à la saison d’été, car l’hiver, les meuniers déménageaient dans leur moulin à eau, en contrebas, là où les ruisseaux, grossis par les pluies, faisaient tourner à un rythme régulier les roues à aubes ou à godets sur la Grande-Maine ou le Grand-Ry.
Ces générations de meuniers, on pourrait presque dire ces dynasties, car ils se mariaient entre eux, préservant ainsi leur patrimoine et leur genre de vie, se sont ainsi succédées, jusqu’à l’arrivée du progrès.
Les moulins avaient leur nom de famille : les BREGEON, les SOULLARD, les FORTIN, les GAUCHER.

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La première trace écrite qui en fait mention remonte au 7 juillet 1564.
On en comptait encore huit à l’époque de la Révolution (cadastre napoléonien de 1839), mais ils furent incendiés par les républicains lorsque ceux-ci envahirent la Vendée à la mi-octobre 1793.
Ces destructions visaient à affamer les populations et à supprimer ces tours dont les ailes servaient de signaux aux insurgés vendéens grâce à un code relatif à la position de leurs ailes, ce qui permettait de connaître les mouvements des troupes républicaines.
Ces codes existaient déjà depuis très longtemps pour indiquer l’absence du maître du lieu, ou celle de la marchandise.
Mais aux Alouettes, deux moulins seulement sur les huit transmettaient les signaux, pendant que les autres continuaient à travailler.
Les moulins sauvés des flammes révolutionnaires se sont arrêtés de tourner les uns après les autres à partir de 1907, au fur et à mesure que s’installaient les cylindres sur les moulins à eau du Bignon, de Bertré, ou de la Chènelière avec lesquels ils étaient couplés.
Cette nouvelle technique permettait aux moulins à eau de fonctionner toute l’année, en remédiant à la baisse de régime des rivières.
Ce fut la mort des moulins à vent.

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Construits sur plus d’un siècle, ces moulins seront restaurés après les conflits puis à nouveau détruits faute de rendement au cours du grand siècle de l’industrialisation.
Vers 1910, un premier moulin fut détruit à la dynamite, obligeant la municipalité des Herbiers à se préoccuper du sort des restants, mais la guerre de 1914 vint contrecarrer les nobles ambitions.
Pendant ce temps, les moulins disparaissaient les uns après les autres.
Il fallut attendre le 23 octobre 1933, pour que le Site du Mont des Alouettes soit classé et le 27 mai 1975, pour que les moulins restants soient inscrits à "l’Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques".
Malheureusement, il n’en restait plus que trois !
En 1956, la commune des Herbiers finira par les acheter pour une somme symbolique.
En 1960, le portrait de Jean YOLE, sculpté par les frères MARTEL est apposé sur l’un des moulins, marquant ainsi la volonté des élus de faire désormais de ce lieu une terre de mémoire et d’accueil.

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Les huit moulins étaient :

(1)    Le "Moulin de JOUSBERT de LANDREAU" connu sous le nom de moulin de la chapelle attesté en 1787.
Ce moulin n’existe plus, et on ignore tout de son histoire.
On en conserve cependant le souvenir parce que la chapelle des Alouettes qui commémore les Guerres de Vendée a été construite tout à côté.
Détruit à la révolution, ce moulin ne s’est jamais relevé de ses ruines.
 
(2)    Le Moulin "Jacques BREGEON" ou "Ville des Herbiers"

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Ce moulin existe encore et il fonctionne toujours l’été, pour les touristes.
On le reconnaît grâce à ses voiles déployées durant l’été.
On l’appelle communément moulin de la Galette, sans que l’on sache vraiment pourquoi.
On peut lire encore, à l’intérieur, la date de 1798, qui correspond vraisemblablement à la restauration après la tourmente révolutionnaire.
En 1910, le moulin est toujours propriété de Jacques BREGEON.
Cette année-là le moulin est mis au quartier, car la famille Bregeon installe des cylindres au moulin à eau de la Chènelière, avec lequel ce moulin des Alouettes était couplé.
Le moulin cesse donc de fonctionner et va petit à petit tomber en désuétude.
En 1933, au moment où le site du Mont des Alouettes est classé, le moulin appartient à madame la Comtesse de BERMOND d’AURIAC (7).
À partir de 1937, le moulin va retrouver une certaine vie.

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Squatté, à la saison d’été, par Célestin AULNEAU, qui va s’installer comme guide aux moulins des Alouettes.
À la mort de la Comtesse, en 1946, le moulin devient la propriété du Syndicat Ecclésiastique de Luçon.
Le 27 juin 1952, la toiture du moulin prend feu.
En 1956, la commune des Herbiers achète le moulin et son emplacement au Syndicat
Mais les lieux sont toujours occupés par le sieur AULNEAU qui refuse d’en partir.
Il faudra lui faire un procès pour l’obliger à quitter les lieux, procès qui ira jusqu’à Poitiers, puisque le tribunal de La Roche-sur-Yon avait donné raison à AULNEAU.
En 1956, le moulin reçoit à nouveau une toiture en bardeaux avec des ailes.
En 1975, le moulin est protégé au titre des Monuments Historiques (Inscription à l’Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques le 27 mai).
En 1988, le maire des Herbiers, Anselme BRlAND envisage de faire re-fonctionner le moulin.
Mais comme le diamètre du chapeau ne correspond pas à celui de la tour, le moulin ne pourra jamais fonctionner ainsi.
La toiture est donc vendue à la Société Puy du Fou Innovation, et une nouvelle couverture fonctionnelle est installée en 1989.
Et le moulin va recommencer à tourner et à faire de la belle farine, mais cette fois pour les visiteurs.

(3)    Le "Moulin JEAN YOLE".

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En 1910, le moulin est la propriété d’Alphonse BREGEON.
En 1933, est le moment où le site du Mont des Alouettes est classé.
À partir de 1937, il va être aussi squatté, à la saison d’été, par Célestin AULNEAU.
Il construit une plate-forme avec un escalier dans ce moulin qui sera ensuite utilisé comme observatoire, de1940 à 1944 par un caporal et 4 soldats allemands.
En 1956, la commune des Herbiers achète le moulin et son emplacement au Syndicat
Ecclésiastique de Luçon.

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Le moulin reçoit alors une toiture en bardeaux avec des ailes.
En 1975, le moulin est protégé au titre des Monuments Historiques (Inscription à l’Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques le 27 mai).
En mai 2001, le moulin est à nouveau coiffé d’une toiture neuve avec des ailes.
Celles-ci peuvent tourner, mais le moulin ne pourra pas fonctionner car son toit est fixe.
Ce moulin, toujours en place, porte désormais le nom de moulin de Jean YOLE, depuis
1960, date à laquelle on a placé sur son flanc le portrait du Docteur Léopold ROBERT, écrivain vendéen mythique, plus connu sous le pseudonyme de Jean YOLE.

(4)    Le "Moulin GAUCHER"

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En 1839, on attribue la propriété à la famille Bregeon de Bertré.
En 1910, le moulin appartient maintenant à Louis GAUCHER meunier à Bertré, qui a épousé une fille de Louis BREGEON.
Ce moulin qui tournait dans le vent, derrière le restaurant actuel, s’arrêta de fonctionner en 1915.
Il n’existe plus aucune trace de ce moulin, hormis son emplacement.
 
(5)    Le "Moulin SOULARD ou VILLENEUVE"

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Ce moulin à seigle, qualifié de "masure de moulin" et appelé "Gros Moulin" sur un inventaire du 2 mai 1870, n’existe plus.
Ses ailes ont cessé de tourner en 1909.
Le terrain où il a été construit a été acheté le 28 février 1791.
En 1813, la famille VILLENEUVE commence à exploiter ce moulin.
En 1822, on trouve un François Villeneuve comme propriétaire.
En 1795, restauration du moulin suite à la tourmente révolutionnaire.
En 1860, le moulin est vendu sous forme de rente à Jean-Baptiste SOULLARD et aux époux GOURAUD.
En 1910, le moulin est détruit à la dynamite et il ne faudra pas moins de 18 mines pour renverser ses murs épais d’un mètre et demi.
Les pierres serviront de promontoire au calvaire tout proche.
 
(6)    Le "Moulin des Herbiers (RONDEAU)"

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Ce moulin à froment est un des derniers survivants sur le Mont des Alouettes.
Ses ailes ont cessé de tourner en 1909.
La couverture en bardeaux date de 1960.
En 1910, les archives municipales indiquent qu’il est la propriété de Hillaire BESSON.
En 1931, les frères RONDEAU, manufacturiers aux Herbiers en font l’acquisition.
En 1956, la commune des Herbiers achète le moulin Rondeau.
 
(7)    Le "Moulin FORTIN héritier de BREGEON Joseph".

Ce moulin à seigle n’existe plus.
Ses ailes ont cessé de tourner en 1907.
Les pierres de cet ancien moulin ont participé elles aussi au socle sur lequel a été érigée la croix de granit en 1920.

(8)    Le "Moulin BREGON Alcide"

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Ce moulin à froment n’existe plus.
Ses ailes ont cessé de tourner en 1907.
Le premier propriétaire connu est un Pierre BREGEON qui vivait entre 1745 et 1794.
Depuis, il est toujours resté dans la même famille.
Le dernier meunier à avoir fait tourner les ailes de ce moulin est un Alcide BREGEON, qui à 14 ans monta pour la première fois aux Alouettes en1892.
Il y restera une quinzaine d’années jusqu’en 1907.
Les pierres du moulin ont été données pour l’édification de la butte sur laquelle est érigée la croix de mission de 1920.

29 janvier 2025

L’ombre et la flamme

Dans la nuit, une silhouette,
Dressée face au vent du temps,
Un bras tendu, un cri muet,
Vers l’histoire et ses tourments.

La lueur danse sur la pierre,
Reflet d’un passé en feu,
L’ombre, figée, reste fière,
Porteuse d’espoirs silencieux.

Que dit-elle à l’infini ?
Un serment, un dernier vœu ?
Dans l’écho d’un monde épris,
Elle montre l’avenir heureux.

27 janvier 2025

Hommage à Yvette Horner et à l'accordéon au Puy du Fou.

Mais qui est Yvette Horner ?

Yvette Horner est une célèbre accordéoniste française, connue pour sa virtuosité et son style unique.

Née en 1922 à Tarbes dans les Hautes-Pyrénées – décédée le 11 juin 2018 à Courbevoie, elle a commencé à jouer de l’accordéon dès l’âge de 6 ans, sous l’influence de son grand-père qui était lui-même un talentueux accordéoniste.

Yvette Horner est considérée comme une véritable légende de l’accordéon en France.

Avec une carrière qui s’étend sur plus de 70 ans, elle a marqué l’histoire de cet instrument emblématique de la musique populaire française.

Yvette Horner se produit pour la première fois en public en 1938.

Son jeu virtuose, son interprétation passionnée et son charisme ont fait d’elle une figure incontournable de la scène musicale française, ouvrant la voie à une carrière internationale.

Son talent a rapidement été remarqué et elle a été invitée à jouer dans des cabarets, des bals et des événements locaux.

Ses performances mémorables, diffusées à la télévision et dans les salles de concert, ont contribué à populariser l’accordéon auprès du grand public et à en faire un symbole de la culture française.

Son jeu virtuose et sa maîtrise de l’accordéon ont ébloui des générations d’auditeurs, qui se souviennent encore de ses concerts grandioses.

Que ce soit à Olympia, au Théâtre des Champs-Élysées ou dans des festivals prestigieux, elle a toujours su captiver son public avec une énergie débordante.

Yvette Horner a développé un style d’accordéon unique, facilement reconnaissable parmi tous les autres, en maîtrisant avec brio les techniques de staccato, de vibrato et de glissando pour donner vie à ses interprétations.

En tant que pionnière de l’accordéon, elle a contribué à faire évoluer cet instrument traditionnel vers de nouveaux genres musicaux, alliant le folklore et la modernité.

Tout au long de sa carrière, elle a collaboré avec de nombreux autres artistes de renom dans le domaine de la musique française, et a notamment enregistré des duos avec des chanteurs populaires comme Charles Aznavour, Edith Piaf (La Vie en Rose), Gilbert Bécaud et Michel Sardou apportant sa touche d’accordéon unique à leurs performances.

Lors d’une tournée en Afrique du Sud, Yvette Horner a eu l’opportunité de rencontrer et de jouer avec la célèbre artiste Joséphine Baker, une expérience marquante pour elle.

Parmi ses disques les plus emblématiques, on peut citer "L’Accordéon d’Or" (1960), "Yvette Horner à l’Olympia" (1965) et "Yvette Horner en Concert" (1980).

Yvette Horner a été récompensée tout au long de sa carrière pour son talent et sa contribution exceptionnelle à la musique française.

Elle a reçu de nombreuses distinctions prestigieuses, particulièrement la "Légion d'honneur", la plus haute décoration civile en France.

En 1960, elle a été nommée "Artiste d’État", un titre honorifique accordé aux artistes français les plus éminents.

De plus, elle a été élue à "l’Académie des Beaux-Arts" en 1977, devenant ainsi la première femme accordéoniste à intégrer cette institution renommée.

Elle sera récipiendaire de la "Médaille d’or du ministère de la Culture" en 1967, "Lauréate du Grand prix de l’Académie Charles Cros" en 1988, Officier des Arts et des Lettres en 1982,

Ses performances ont été saluées à de nombreuses reprises, lui valant des Victoires de la Musique et des Grands Prix du Disque.

Elle a également été honorée par des Palmes académiques en reconnaissance de son influence sur la culture française.

Ses enregistrements couvrant une période s’étendant des années 1950 aux années 2000 et ses tournées ont été des succès populaires, ce qui a contribué à sa reconnaissance internationale en tant qu’ambassadrice de la musique traditionnelle française.

Ses principaux albums sont devenus des classiques de la musique populaire française, célébrant la richesse et la diversité du répertoire de l’accordéon.

Au-delà de sa carrière en solo, Yvette Horner a également joué un rôle de mentor pour les jeunes accordéonistes, transmettant son savoir-faire et son amour de la musique populaire française.

Elle a souvent accueilli de jeunes talents dans son studio pour leur donner des cours et des conseils, les aidants à perfectionner leur technique et à développer leur style personnel.

De plus, Yvette Horner a activement participé à l’organisation de "Masterclasses" et de concours pour accordéonistes débutants et intermédiaires.

Elle a ainsi offert à de nombreux jeunes musiciens l’opportunité de se faire connaître et de gagner en expérience sur scène.

Son engagement pour la transmission de son art a été déterminant pour assurer la pérennité de la tradition de l’accordéon en France.

Au cinéma, Yvette Horner a également laissé sa marque, apparaissant dans plusieurs films français des années 1950 et 1980.

Ses talents d’actrice et de musicienne ont été mis en valeur dans ces productions, contribuant à faire d’elle une figure emblématique de la culture populaire française de cette époque.

Ses apparitions télévisées et cinématographiques ont joué un rôle crucial dans la diffusion de son talent et de son style unique à un public toujours plus large, solidifiant ainsi sa réputation d’icône de l’accordéon en France et au-delà.

Yvette Horner s’est distinguée par ses nombreux engagements sociaux et humanitaires tout au long de sa carrière.

Très sensible aux causes caritatives, elle a activement soutenu des organisations œuvrant pour le bien-être des enfants et des personnes défavorisées.

Elle a notamment été marraine de l’association Rêves, qui réalise les rêves d’enfants gravement malades, et a participé à de nombreuses actions de collecte de fonds pour des hôpitaux et des associations.

De plus, Yvette Horner a souvent joué bénévolement dans des maisons de retraite et des hôpitaux, offrant à ces publics vulnérables des moments de joie et de détente grâce à sa musique.

Son talent et sa générosité ont grandement contribué à améliorer la qualité de vie de nombreuses personnes en difficulté.

Yvette Horner a toujours veillé à préserver une certaine intimité autour de sa vie privée, ne dévoilant que peu d’éléments sur sa sphère personnelle.

Néanmoins, on sait qu’elle a été mariée pendant de nombreuses années à un industriel René Droesch (1915-1986), originaire de Bourg-en-Bresse, avec lequel elle a eu deux enfants.

Très discrète sur sa famille, elle a toujours affirmé que son foyer était un cocon protecteur lui permettant de se ressourcer loin des projecteurs.

Malgré son immense succès, elle a su garder les pieds sur terre et a choisi de mener une existence relativement simple et modeste en dehors de sa carrière.

Passionnée de nature et de jardinage, Yvette Horner appréciait le calme de sa propriété dans les Pyrénées, où elle aimait se ressourcer au contact de la faune et de la flore locale.

C’était pour elle un refuge loin de l’agitation de la scène et des tournées.

Elle y a d’ailleurs vécu ses dernières années, entourée de ses proches.

Même après sa retraite, Yvette HORNER a continué à recevoir de nombreux hommages et distinctions, témoignant de la reconnaissance et de l’admiration de ses pairs et de ses fans pour son œuvre exceptionnelle.

Son legs musical et son influence durable sur la musique française en font une figure incontournable de l’histoire culturelle du pays.

 

24 janvier 2025

Chez l'Enluminure

Chez l'Enluminure
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Chez l'Enluminure
Chez l'Enluminure
Chez l'Enluminure

22 janvier 2025

L'anneau de Jeanne d'Arc au Puy du Fou !

Bienvenue dans cette exploration captivante des origines et de la signification de l’anneau de Jeanne d’Arc, une icône emblématique de l’histoire française.

Plongeons ensemble dans cette fascinante découverte, en examinant les détails de cet objet légendaire et en comprenant son importance dans la vie de la célèbre héroïne nationale.

L’anneau de Jeanne d’Arc est un artefact historique fascinant, qui a acquis une place importante dans la légende entourant la vie de cette célèbre figure française.

Cet anneau, porté par Sainte Jeanne d’Arc elle-même, est devenu un symbole puissant de son courage, de sa piété et de son rôle décisif dans l’histoire de la France.

Jeanne d’Arc, également connue sous le nom de "Pucelle d’Orléans", est une figure emblématique de l’histoire française.

Née en 1412 dans le village de Domrémy, en Lorraine, elle est considérée comme une héroïne nationale française pour son rôle déterminant dans la guerre de Cent Ans opposant la France à l’Angleterre.

Jeune paysanne dotée d’une forte personnalité et d’une grande foi religieuse, elle a affirmé avoir reçu des visions de saint Michel, de sainte Catherine et de sainte Marguerite, et entendu des voix divines lui ordonnant de mener le futur roi Charles VII (1403-1461) à son sacre à Reims en 1429 et de chasser les Anglais du royaume de France.

Selon la légende, l’anneau de Jeanne d’Arc aurait été offert à la Pucelle d’Orléans par le Dauphin Charles VII lors de son sacre à Reims.

Une autre version suggère que l'anneau aurait été offert à Jeanne par ses parents, soulignant son lien avec ses origines modestes.

Cet événement historique revêt une grande importance symbolique, marquant la reconnaissance officielle de Jeanne d’Arc comme envoyée de Dieu pour guider le royaume de France vers la victoire contre les Anglais.

L’anneau, gravé de la mention "Jhesus Maria", était censé protéger Jeanne d’Arc durant ses campagnes militaires.

Après avoir mené plusieurs batailles victorieuses, elle a été capturée en 1430 et jugée pour hérésie, malgré son rejet constant de toute forme d’hérésie et son attachement inébranlable à la foi catholique.

Mais sans le soutien de la couronne française, elle a finalement été condamnée à mort par le tribunal ecclésiastique de Rouen (Sous domination anglaise), dirigé par Pierre Cauchon (1371-1442), évêque de Beauvais et inquisiteur pour le royaume de France et défenseur des intérêts anglais à la fin de la guerre de Cent Ans.

Le 30 mai 1431, à 19 ans, elle sera brûlée vive sur la place du Vieux Marché de Rouen, accusée d’avoir porté un habit d’homme et d’avoir abjuré sous la torture.

Ce jugement, entaché de nombreuses irrégularités et considéré comme une exécution politique, a suscité l’indignation et la consternation dans une large partie de la population française face à l’envahisseur anglais.

Son sacrifice a été perçu comme un martyre, faisant d’elle une figure héroïque et légendaire de l’histoire de France.

Bien que son existence ait été brève, Jeanne d’Arc a laissé une empreinte indélébile dans l’histoire de France, symbolisant le courage, la foi, le patriotisme et représentant la résistance face à l’occupation étrangère et l’attachement au roi légitime.

Elle sera béatifiée et canonisée en 1456 sous le règne de Charles 7 et est depuis lors considérée comme une sainte patronne de la France.

Mais qu’en est-il de ses anneaux ?

Dans les écrits médiévaux sur le procès de Jeanne d’Arc, il est fait mention de deux anneaux.

Un en laiton, portant l’inscription "Jesus Maria", qui finira entre les mains des Bourguignons.

Un autre, en or (ou argent/doré), qui reviendra à Pierre Cauchon, évêque de Beauvais, ordonnateur du procès de Jeanne d’Arc.

Après son martyre sur le bûcher en 1431, le sort de ses anneaux est resté dans l’ombre pendant des siècles.

Les détails exacts de la provenance et de l’histoire de ces anneaux sont encore sujets à débat parmi les historiens et ont donné lieu à de nombreuses versions et interprétations au fil des siècles.

Mais concentrons-nous sur celui qui est en or…

Fait d’or, le bijou est une bague de type chevalière avec une large bande décorée d’inscriptions gravées.

À l’intérieur de l’anneau, on peut lire les mots "Jhesus Maria" en lettres gothiques, une invocation religieuse très caractéristique de l’époque médiévale.

Sur le côté extérieur, des fleurs de lys et des motifs floraux finement ciselés ornent la surface, soulignant le raffinement de l’œuvre.

La taille de l’anneau indique qu’il appartenait à une femme d’origine noble, probablement à la Pucelle d’Orléans elle-même.

Cet anneau, véritable trésor historique, témoigne de l’importance symbolique que revêtait la foi chrétienne pour Jeanne d’Arc, une guerrière guidée par des convictions religieuses profondes.

Selon les récits historiques, il semble que l’anneau ait été récupéré par les Anglais lors de la capture de Jeanne d’Arc et qu’ils l’ont gardé comme un trophée de guerre après leur victoire.

Dans la littérature, on retrouve d’autres témoignages concernant le sort de l’anneau comme :

Qu’il aurait été offert à l’Église catholique en guise de compensation pour la condamnation injuste de la Pucelle d’Orléans.

Qu’il aurait été retrouvé sur le champ de bataille après la capture de Jeanne d’Arc en 1430 et qu’il a ensuite été conservé comme une relique précieuse.

D’autres affirment qu’il a été remis à la famille de Jeanne d’Arc après son exécution.

Quelques récits évoquent même la possibilité que l’anneau ait été dissimulé par les sympathisants de Jeanne pour le préserver des mains de ses ennemis.

Une autre tradition raconte que Jeanne d’Arc aurait donné cet anneau à un soldat de confiance avant sa capture par les Bourguignons en 1430 et que l’anneau aurait été transmis de génération en génération, jusqu’à ce qu’il soit redécouvert des siècles plus tard au Puy du Fou.

Une autre source mentionne que lors de son procès en 1431 Jeanne décrit deux anneaux qui lui auraient été confisqués par ses geôliers.

Ce qui est certain, c’est que pendant des années, l’anneau de Jeanne d’Arc a suivi un parcours tumultueux sombrant dans l’oubli, et que sa trace s’est perdue dans les méandres de l’histoire.

Posséder cet anneau signifiait donc s’approprier une partie du patrimoine mémoriel de la Pucelle d’Orléans.

Ce n’est que bien plus tard, au 19ème siècle, que des indices sur son existence refont surface et alimentent les spéculations sur son éventuelle préservation.

Après sa capture et son exécution en 1431, de nombreux objets ayant appartenu à la Pucelle d’Orléans ont été dispersés et ont subi un sort incertain pendant des siècles.

Ce n’est qu’en 1867 qu’un événement fortuit a permis de redécouvrir cet anneau, qui était resté caché pendant plus de quatre cents ans.

C’est lors de travaux de rénovation dans la cathédrale de Rouen, en Normandie, que les ouvriers ont fait cette découverte étonnante.

En fouillant dans les fondations de l’édifice, ils sont tombés par hasard sur un coffre en bois contenant l’anneau de Jeanne d’Arc, ainsi que d’autres objets ayant appartenu à la sainte guerrière.

Son apparition fortuite aurait permis de retracer certains éléments de son histoire mouvementée, de sa confiscation par les Anglais lors de la condamnation de la jeune femme à son enfouissement dans le sol normand pendant des décennies.

Cette découverte inattendue aurait même suscité un regain d’intérêt du public pour la figure légendaire de Jeanne d’Arc et son incroyable destinée.

Cet artefact précieux est devenu l’objet d’un véritable "pèlerinage" pour les admirateurs de la célèbre héroïne française.

Mais depuis sa redécouverte, l’anneau a encore traversé les mains de plusieurs propriétaires successifs, témoignant de son importance historique et de son attrait pour les collectionneurs et les institutions.

Valeur inestimable de ce trésor historique, les différents propriétaires ont contribué à préserver et à protéger l’intégrité de l’anneau, le considérant comme un symbole sacré de l’héritage de Jeanne d’Arc.

Néanmoins, la réapparition de cet emblème symbolique de la sainte reste entourée de mystères et soulève de nombreuses interrogations sur son authentification et sa véritable provenance.

Plusieurs experts de renom ont examiné minutieusement chaque aspect de cette relique afin d’en établir la véracité.

L’authenticité de l’anneau de Jeanne d’Arc conservé au Puy du Fou a fait l’objet de nombreuses discussions et d’analyses scientifiques approfondies (de sa composition chimique à sa structure microscopique).

L’analyse poussée du métal et des matériaux utilisés a permis de confirmer que cet anneau a bien été fabriqué entre 1430 et 1530, soit l’époque où Jeanne d’Arc a vécu et ces examens ont révélé qu’il a bien été forgé à l’époque médiévale, avec des techniques de fabrication caractéristiques de cette période.

Des tests de datation par le carbone 14 ont également été réalisés sur l’anneau, corroborant les conclusions tirées des différents examens techniques.

Ces résultats détaillés permettent aujourd’hui d’affirmer avec un très haut degré de certitude que cet anneau a bien appartenu à la Pucelle d’Orléans.

Aujourd’hui, il est présenté au public dans un lieu prestigieux qu’est le château du Puy du Fou, permettant à chacun de se plonger dans l’univers médiéval de cette figure emblématique de l’histoire de France.

Le Puy du Fou, parc à thème historique reconnu pour ses spectacles grandioses, a entrepris un processus d’acquisition complexe et minutieux afin d’obtenir l’anneau de Jeanne d’Arc, une relique d’une immense valeur historique et symbolique.

Cette démarche a nécessité de nombreuses négociations et un important travail de recherche et de vérification de l’authenticité de l’objet.

Tout d’abord, les équipes du Puy du Fou ont dû localiser et identifier avec précision le propriétaire légitime de l’anneau, afin de s’assurer que l’acquisition se fasse dans le respect total de la loi.

Cela a impliqué de retracer l’historique complet de la relique, depuis son appartenance à Jeanne d’Arc jusqu’à son détenteur actuel.

Un travail de documentation minutieux a été mené pour prouver l'authenticité de l'objet et s'assurer qu'il n'avait pas été volé ou acquis de manière illégale.

Une fois le propriétaire identifié, le Puy du Fou a entamé des négociations approfondies afin d'acquérir l'anneau à un prix juste et raisonnable.

Ces discussions ont nécessité de nombreuses rencontres et échanges entre les deux parties, animées par la volonté de trouver un accord mutuellement bénéfique.

Le Puy du Fou a dû mobiliser des ressources financières importantes pour concrétiser cette acquisition (377.000 €).

Finalement, une fois l'accord conclu lors d'une vente aux enchères à Londres en février 2016, le transfert de propriété de l'anneau a été réalisé dans le respect de toutes les formalités juridiques et administratives requises.

Le Puy du Fou a alors pu accueillir cette relique emblématique dans ses collections, marquant ainsi une étape historique pour le parc.

La mise en scène de l'anneau a été conçue avec soin par les équipes du Puy du Fou, afin de créer une expérience de visite immersive et captivante pour les visiteurs.

La vitrine est disposée dans un espace recueilli, avec une lumière tamisée et des éléments de décor évoquant l'époque médiévale, plongeant le public dans l'atmosphère historique.

Cela inclut notamment le contrôle strict des conditions environnementales (température, hygrométrie, luminosité, etc.), la mise en place de systèmes de sécurité avancés et l’adoption de techniques de restauration innovantes.

Des analyses régulières permettent également de suivre l’état de l’anneau et d’anticiper tout éventuel besoin de traitement spécifique.

Tous ces efforts visent à garantir que cet emblème de l’histoire de France puisse être admiré et étudié par les générations futures, au sein du Puy du Fou.

Des panneaux interactifs permettent également d’en apprendre davantage sur les circonstances de la découverte de l’anneau et son acquisition par le parc.

Cette exposition de l’anneau de Jeanne d’Arc constitue un véritable temps fort de la visite au Puy du Fou, offrant aux visiteurs l’opportunité unique de contempler un artefact d’une importance historique exceptionnelle.

L’anneau de Jeanne d’Arc est considéré comme un trésor national français, un lien précieux avec le passé héroïque de cette figure emblématique de l’histoire du pays illustrant les luttes et les sacrifices de cette jeune femme pour défendre l’indépendance de la France.

En tant qu’héritage historique, il est essentiel de s’assurer que cet artefact reste soigneusement préservé pour les générations futures.

Bien que son authenticité ait été remise en question à plusieurs reprises, cet anneau reste aussi un objet de dévotion et de fascination pour de nombreux Français.

Certains y voient un symbole de son engagement religieux, tandis que d’autres pensent qu’il pouvait représenter son mariage spirituel avec le Christ.

Ces diverses interprétations reflètent la fascination durable que suscite cet objet légendaire.

 

21 janvier 2025

Bienvenue à Puy du Fou Congrès.

20 janvier 2025

Mousquetaire de Richelieu

 

 

 

17 janvier 2025

Réverbère *

Bourg 072

Un réverbère ou lampadaire extérieur est un dispositif d'éclairage public placé en périphérie des voies de circulation publiques qui s'allume le soir.
Dans la mythologie grecque, les Lampades (en grec : Λαμπάδες) sont des nymphes chthoniennes des Enfers.
Elles accompagnent la déesse Hécate.
Elles sont associées aux Mystères d'Éleusis.
Leurs noms sont à l'origine du mot « lampadaire », les "Lampades" portaient en effet des torches lumineuses.

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Jusqu'à la fin du XVIIe siècle, les rues des villes se changent en coupe-gorge la nuit venue, les ordonnances successives imposant aux riverains de suspendre des « lanternes et chandelles ardentes » demeurant inappliquées.
Peu éclairantes, d'une faible autonomie, celles dont les commis allumeurs rechignent à s'occuper sont remplacées par les célèbres réverbères en 1769.

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15 janvier 2025

Chez les Vikings

 

 

 

 

13 janvier 2025

L'histoire du Mimoza (Mimosa).

Dans le spectacle "Le Mime et l'Etoile",  Mimoza est un jeune mime rêveur portant un costume jaune de cirque qui lui vaut son nom de scène.

Il partage l’affiche avec Garance, une étoile montante du 7ᵉ art.

Le nom "mimosa" provient du latin "mimosa" et est le féminin de "mimosus" dérivé de "mimus", qui signifie "qui mime".

Cette appellation a été utilisée par les botanistes du XVIe siècle pour exprimer l’idée de mouvement.

La première attestation de ce terme en français date de 1602 dans “Histoire des drogues” de Colin, qui est une traduction du latin "De Herba Mimosa".

Le mimosa est une fleur emblématique, connue pour ses jolies fleurs jaunes en forme de boules pelucheuses qui fleurissent au début du printemps.

Cette couleur d'un jaune vif et chaleureux est souvent utilisée pour évoquer des sentiments de joie et d’optimisme.

Il est couramment utilisé en design et en décoration pour ajouter une touche de chaleur et de lumière.

Originaire d'Australie, cette essence subtropicale a conquis les cœurs du monde entier et a été importée par les explorateurs et les botanistes européens dans plusieurs pays d'Europe du Sud (bassin méditerranéen) et d'Afrique du Nord.

C'est dans ces climats doux et ensoleillés que le mimosa a pu se développer naturellement.

Cette plante a acquis une place importante dans de nombreuses traditions et symboles culturels, fréquemment associée à la féminité, à la douceur et à l'élégance.

Elle est devenue un véritable emblème de la région provençale célébrée chaque année lors de la Fête du Mimosa qui attire de nombreux visiteurs.

Cette expansion a permis de faire connaître et apprécier cette fleur dans le monde entier.

Arbuste à feuillage persistant, il peut atteindre une hauteur de 5 à 15 mètres selon les variétés avec une croissance de 30 à 60 cm par an.

Le mimosa préfère les sols bien drainés, sablonneux ou graveleux.

Un excès d'humidité peut entraîner des problèmes de maladie et de pourriture des racines.

Une taille régulière des branches et des fleurs fanées permet de stimuler une floraison abondante et de garder le mimosa compact.

Ses feuilles sont finement découpées, d'un vert tendre, et dégagent un parfum agréable.

Ses fleurs se forment en grappes pelucheuses sur les branches et dégagent un parfum doux et envoûtant.

Le mimosa fleurit généralement entre les mois de janvier et d'avril, selon les régions.

C'est l'une des premières fleurs à s'épanouir, annonçant ainsi l'arrivée du printemps.

Le mimosa est largement utilisé pour la décoration florale, notamment dans les bouquets et les arrangements.

Ses fleurs jaunes apportent une touche de luminosité et de fraîcheur.

L'huile essentielle de mimosa est très prisée dans l'industrie cosmétique et la parfumerie pour ses propriétés apaisantes et adoucissantes.

Certaines espèces de mimosa sont utilisées depuis des siècles dans la médecine traditionnelle pour ses propriétés médicinales.

Mimosa Tenuiflora : utilisé comme traitement des brûlures et des lésions cutanées,  traitement des saignements, comme antiseptique et comme composé anti-inflammatoire et analgésique.

Il est utilisé dans la gestion du psoriasis, de l’acné, de l’herpès et des ulcérations veineuses de jambe chez les patients diabétiques.

Mimosa Pudica : utilisé pour traiter les hémorroïdes, la lèpre, la diarrhée et les vers intestinaux.

Il est également utilisé pour traiter de nombreuses affections moins embarrassantes, spécialement l’arthrite, la fièvre et les douleurs musculaires.

Déjà, les anciens Égyptiens utilisaient le mimosa pour ses propriétés médicinales.

Ils croyaient qu'il avait des pouvoirs de guérison et l’utilisaient pour traiter diverses affections telles que des affections cutanées, des problèmes digestifs et des problèmes respiratoires.

Le mimosa était par ailleurs utilisé comme agent analgésique et anti-inflammatoire.

Les fleurs, les feuilles et les branches de mimosa sont également utilisées dans de nombreuses créations artistiques et artisanales, telles que la peinture, la poterie et la vannerie.

Bien que peu connue, la fleur de mimosa est par ailleurs comestible.

Elle peut être utilisée pour parfumer les pâtisseries, les tisanes ou encore les liqueurs, apportant une saveur délicate et subtile.

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