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30 octobre 2024

La Vie à Bord.

À partir du XVIe siècle, la puissance des nations européennes ne se mesure plus sur terre, mais bien sur les flots.
La France et l’Angleterre vont rivaliser d’ingéniosité et d’efforts durant deux siècles pour créer des flottes à la hauteur de leurs ambitions, avec des navires toujours plus grands et des équipages rudes et déterminés.
Les hommes sont très nombreux sur les navires et l’espace de vie est réduit.
Pour dormir, pas de lit disponible (sauf pour les officiers).
Le sommeil se trouve dans un hamac (aussi appelé branle au XVIIème siècle), disposé au-dessus des batteries de canons dans les ponts inférieurs, mal ventilés, car le mauvais temps obligeait souvent à tenir les sabords fermés..

Les marins se balançaient au gré des roulis, permettant un meilleur sommeil, même en cas de mauvais temps.
Chaque marin est associé avec un autre pour le partage du hamac, selon le système de quart ou de grande bordée (0-4 h du matin, 4-8 h du matin, 8 h-midi, 12-16 h, 16-20 h, 20 h-Minuit).
Le matelot, harassé et trempé de pluie ou d’embruns, il ne trouvait ni boissons chaudes ni braseros pour se sécher (La Pérouse et Cook s’en procureront plus tard).
Le marin devait se coucher tout habillé, faute de vêtements de rechange, bien qu’il possède un sac, comme le soldat, son paquetage, mais aucun règlement n’en déterminait encore la composition.

Au bout de quatre heures de sommeil, il abandonnait à son successeur un hamac humide et malsain.
Les latrines (aussi appelées poulaines) ne sont qu’au nombre de deux pour tout l’équipage.
Situées à l’avant du navire, elles sont exposées aux éléments, qui se chargent de tout nettoyer.
Les vaisseaux sont de véritables nids à maladies, car l’hygiène y est quasi inexistante.
Les déjections des animaux sont très difficiles à évacuer, tout comme leurs odeurs.
La promiscuité et l’humidité permanente aident également à la propagation des infections.
Se laver est impossible pour les matelots, l’eau douce étant rationnée.

Il leur faut donc attendre une grosse pluie pour pouvoir faire un brin de toilette.
Ainsi, les maladies comme la variole, le typhus ou la dysenterie font des ravages dans les équipages.
Mais le cauchemar de la vieille marine reste le scorbut, provoqué par un manque de vitamines C dans la nourriture, les fruits ne pouvant être conservés.
La mortalité liée au scorbut maritime a été estimée à plus d’un million de victimes entre 1600 et 1800.
Pour le combattre, les Hollandais mangeaient de la choucroute.
Les marins pouvaient aussi s’en protéger sans le savoir lorsqu’ils mangeaient les rats qui infestaient le navire, le foie du rat étant capable de produire de la vitamine C.

Des animaux vivants comme des vaches, des poules ou des moutons étaient embarqués sur les vaisseaux lors des longues campagnes, mais leurs produits ainsi que leur viande étaient réservées aux officiers.
Les matelots doivent se contenter d’une nourriture bien moins variée et nourrissante.
La conservation des aliments étant très difficile à l’époque, surtout sur des vaisseaux, la base de leur alimentation consiste en un pain sec très dur appelé "biscuit de mer", à tremper dans du bouillon pour être consommé.

Sans grand goût, le biscuit est même souvent infesté de vers comme des teignes ou des charançons, il valait mieux alors éviter de penser à ce que l’on mangeait.
Du lard ou du bœuf salé pouvait être servi le dimanche afin d’améliorer un petit peu l’ordinaire.
Même, les salaisons les mieux préparées finissaient par pourrir.
Outre le problème de conservation des aliments se pose celui de l’eau.
On ne puisait pas toujours aux sources les plus pures, parce qu’il en fallait des quantités énormes.
Stockée dans des barriques, celle-ci pourrissait très vite et devenait donc dangereuse à la consommation, ce qui entraînait de nombreuses maladies.

Les progrès des sciences contribueront à fonder l’hygiène navale, dont l’efficacité fut démontrée bientôt par des expériences retentissantes.
L’influence exercée par la sensibilité que la littérature avait mise à la mode, et qui tourna en un sentiment sincère chez beaucoup d’officiers de marine.

28 octobre 2024

Dans "Chasseloup"

 

 

 

 

25 octobre 2024

Il faisait bon vivre chez nous ! (suite)

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Qu'elle était douce la mélodie du rossignol que j'entendais parfois du potager avant les premières lueurs du jour !
Le chant du coq, peu après, venait mettre en émoi toute la maisonnée.
Mon grand-père, déjà levé, m'appelait toujours le premier et éveillait ensuite les domestiques.
Ma mère debout en même temps se fâchait souvent pour faire sortir du lit mes sœurs et mes cousines alourdies de sommeil.
Chez nous, quatre générations vivaient sous le même toit !
Une journée allait recommencer et il y aurait du travail pour tout le monde.
Habillés en hâte, trainant leurs sabots, les hommes se rendaient à l'étable pendant que les femmes allumaient le feu et préparaient le déjeuner.
Il fallait sortir le fumier, mettre la nouvelle litière et conduire les vaches aux champs.

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Après le "pansage", chaque matin, j'aidais à porter les seaux de lait dans la laiterie, près de la souillarde (Petite pièce où étaient faits les gros travaux de cuisine).
Elle était lavée à grande eau et je la trouvais toujours d'une grande propreté.
Dans les "pommes" de terre cuite, on faisait "lever" la crème.
En été, les femmes, pour terminer ce travail, devaient se rendre près de la fontaine pour trouver un peu plus de fraîcheur.
Que d'heures passées chaque semaine à la longue préparation du beurre.
Le beurre obtenu prenait forme dans des moules de bois sculptés.
Aux foires et aux marchés, il était vendu en mottes décorées de dessins faits avec une fourchette.
Autrefois dans beaucoup de fermes, sur la toiture du fournil, on conservait dans les tuiles la "joubarbe des toits" (appelée aussi artichaut de Jérusalem).
Cette plante aurait été rapportée des croisades et avait, dit-on, la propriété de protéger de la foudre.
Et c'est au bout de la maison que se trouvait le fournil qui servait tous les jours à faire la "chaudronnée" aux cochons.
Dans un coin de la chaudière entourée de cendres, un moulin à tamiser le blé, une sorte d'échelle (le tenailler) sur laquelle on stockait les pains debout pour les faire sécher.

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Au milieu de la pièce, un fagot de "fournilles" (branchage) éventré était abandonné négligemment.
On apercevait encore la maie (meuble rustique utilisé pour la conservation de la farine) dans laquelle ma tante pétrissait la pâte.
Je venais tous les quinze jours chauffer le four pour la cuisson du pain.
A la fin de l'été, quand les fruits étaient mûrs, on en profitait pour faire cuire des poires et de nombreuses tartes.
Sous un énorme noyer, le cellier avait souvent la visite des hommes, leur tâche accomplie.
Entre deux rangées de barriques bien alignées sur d'épaisses poutres, ils se racontaient des histoires.
Je venais de temps en temps mettre un peu d'ordre et surveiller les barriques.
Les "basses" et les "baillottes" étaient dressées les unes sur les autres, un pot à tirer le vin demeurait en permanence sur les barriques et au plafond étaient suspendus de petits pots taillés par le sabotier dans du bois de hêtre ou de buis.
Quant au pressoir, il résidait habituellement dans un coin de la grange, attendant le moment des vendanges.

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Chaque année, en effet, le cellier retrouvait une activité débordante en automne.
Il y régnait, pendant plusieurs jours, une atmosphère très particulière où se mêlaient la gaieté des allées et venues, le cliquetis du pressoir, l'odeur des raisins pressés…
Dans tous ces endroits de la ferme, on remarquait une vive agitation…
Seule la volaille en liberté dans la cour donnait une note de calme et de tranquillité.
Chaque saison amenait les durs et pénibles travaux….
Chaque jour, pas un instant de répit…
Chaque heure avait sa peine…
Mais toujours, j'ai voulu préserver ce que j'aimais tant…."la terre, l'amour, la moisson, la danse, la paix."

Jacques Maupillier (Garde)

23 octobre 2024

Nature au Puy du Fou

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21 octobre 2024

La vie dans une villa Gallo-Romaine.

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Dès le 1er siècle, la présence romaine crée, dans les campagnes gauloises, une forme nouvelle d’exploitation et d’habitation rurales : les "Villae", vastes fermes fonctionnelles, à l’origine d’un grand nombre de nos bourgs et de nos villages.
La conquête et la pacification achevées, les Romains "colonisent la Gaule".
Des villes nouvelles apparaissent et les campagnes voient s’édifier, au milieu de champs et de forêts, de vastes domaines comprenant la demeure du maître, souvent luxueuse, des bâtiments agricoles et des logements pour la main-d’œuvre.
Ces immenses fermes, les "Villae" appartiennent le plus souvent à des vétérans, des légionnaires qui, après quinze ou vingt ans de "bons et loyaux services", reçoivent, en récompense, des terres dans les pays conquis.

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Pour exploiter sa villa, qui vit en autarcie et qui doit produire tout ce qui lui est nécessaire, le maître a besoin d’une abondante main-d’œuvre.
Le "gros des troupes" est constitué par les ouvriers agricoles.
Si certains sont des hommes libres, des tenanciers, qui louent des parcelles aux limites du domaine, la plupart des travailleurs ruraux sont des esclaves dont la vie a peu de valeur.
En effet, ces hommes sont des prisonniers de guerre et les incessantes conquêtes militaires de Rome alimentent le marché.
Les propriétaires trouvent sans difficulté et à des prix dérisoires, des "bras" vigoureux, capables de fournir une énergie musculaire moins coûteuse que celle des animaux.

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Travaillant du matin au soir, mal nourris, enchaînés pour la nuit, ces individus brisés sont considérés comme des "instruments animés".
Les artisans, quant à eux, sont appréciés et respectés pour leur savoir-faire.
La villa abrite tous les corps de métiers : les boulangers, les charpentiers, les menuisiers, fabricants de coffres, de tabourets, d’ustensiles ménagers.
Les forgerons confectionnent des socs, des houes, des pioches, les charrons, des charrues, des roues, des socs, les vanniers, des paniers, des ruches ou des coffres de chars.
On rencontre aussi des maçons, des marbriers et des potiers qui pétrissent, à la main, l’argile verte.

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Cordonniers, peaussiers, selliers travaillent le cuir et fournissent les chaussures, les harnais, les outres, les tabliers, les ceintures.
Les tisserands filent et tissent la laine des moutons après qu’elle ait été bouillie dans l’eau et la graisse de porc puis, battue, épluchée à la main et cardée avec des peignes aux dents recourbées.
Avant le tissage, les laines sont teintes, selon le goût de l’époque, de couleurs éclatantes à base de végétaux.
L’airelle pour le violet, la jacinthe pour la pourpre, le pastel pour le bleu, le safran pour le jaune.
Tous les besoins de la villa sont satisfaits par ses productions.
Pour se nourrir, on cultive des céréales.

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Le froment pour le pain blanc du maître, le méteil pour celui des domestiques, l’orge pour la cervoise, l’avoine pour les bouillies et la nourriture des chevaux.
Dans les potagers, on trouve les fèves, les lentilles, les choux, les oignons, les laitues.
Les vergers offrent des cerises, des pommes, des poires, des prunes, des noix.
On n’oublie pas de se désaltérer, on est en Gaule après tout !
Certes, on boit de la cervoise, de l’hydromel, mais aussi du vin, capiteux, parfumé que l’on garde bien précieusement dans des tonneaux de châtaignier.
On mange aussi toutes sortes de viandes.
De la volaille, du bœuf, du mouton, mais surtout du porc.

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Les Gaulois sont les rois incontestés de la charcuterie (pâtés, boudins, saucisses).
Les chèvres, dont on favorise la lactation en leur faisant manger du cytise, fournissent de bons fromages.
Les abeilles donnent leur miel.
Dans certaines "villae", on pratique aussi la pisciculture.
Malgré le coût de l’installation et de l’entretien des viviers, on élève de nombreux poissons.

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Le plat de prédilection est la murène, servie grillée, bouillie ou frite, accompagnée de sauces relevées à base de miel, de poivre, de cumin, de coriandre.
Pour que leurs terres produisent davantage, les Gallo-Romains utilisent des méthodes "modernes".
Ils utilisent déjà des engrais comme le nitre, ils engraissent la terre par la terre.
Dans un sol calcaire ou trop sableux, ils apportent de la marne.
Quand les sols sont trop humides, ils ajoutent du calcaire.

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L’outillage aussi est performant.
Faux, plus pratique que la faucille, fléau articulé, charrue à soc de fer ou de bronze et surtout la fameuse moissonneuse à roues, une grande caisse aux bords garnis de dents, poussée par un mulet, si bien que les épis arrachés par les dents, tombent dans la caisse.

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Les forêts étaient aussi des réservoirs de nourriture.
On y piégeait des lapins et des perdrix au collet, on y engraissait les porcs avec les glands, on y cueillait des noisettes, des champignons, des nèfles, des prunelles, des châtaignes.
On y chassait aussi les biches, les cerfs, les chevreuils, les sangliers pour la viande ; les martres, les écureuils pour la fourrure.
La demeure seigneuriale était dotée de tout le confort.

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Le chauffage central, l’air brûlant circulait sous les planchers et derrière les parements des murs.
L’eau courante aussi, grâce à une grande roue élévatrice qui montait l’eau de la rivière.
Les matériaux utilisés pour les aménagements intérieurs étaient luxueux et coûteux.
Mais cette recherche permanente du luxe, de la douceur de vivre fera que le terme "villae" se videra, peu à peu de son sens originel.
Il ne désignera plus une exploitation agricole, mais une résidence secondaire, "une maison des champs" construite par des citadins aisés, avides de calme et d’air pur…
Les "Villae" ne durèrent que le temps de la "Pax Romana".
La "villae", la "ferme", ne renaîtra qu’aux 8 et 9ème siècles, à l’époque carolingienne.

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Sous la pression des envahisseurs normands et hongrois, les habitants des campagnes vont se regrouper pour mieux se protéger.
La construction sera bien différente de celle de la villa gallo-romaine.
Certes, on retrouvera le même souci de vivre en autonomie et de pourvoir à tous ses besoins, mais plus d’ouvertures sur la nature.

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On dresse des palissades, des tours de guet.
On élèvera même des mottes féodales, ancêtres de nos châteaux forts.

18 octobre 2024

Dans le Grand Parc.

 

 

 

 

 

16 octobre 2024

Le Grand Parc

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Il y a des mondes et des époques que l’on croyait à jamais disparus.

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Pourtant, la forêt centenaire du Puy du Fou est devenue leur refuge et l’Histoire continue.

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Venez percer le mystère de ce lieu hors du temps et vivez une expérience inoubliable chargée en émotions fortes et en grands spectacles pour toute la famille !

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Le Grand Parc du Puy du Fou est un véritable "livre ouvert" au pays de la mémoire.

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Plus de 50 ha en liberté pour découvrir le premier parc français de divertissement historique et écologique réservant bien des surprises à ceux qui ont choisi de prendre le temps d'un autre temps.

14 octobre 2024

Au Secret de la Lance.

 

 

11 octobre 2024

TOMBEAU DE BONCHAMPS par P.-J. David dit DAVID D'ANGERS

3 Mort de bonchampsPlâtre original pour le monument à BONCHAMPS, daté de 1822.

DAVID (Pierre-Jean) dit DAVID D'ANGERS
Né à Angers en 1788, mort à Paris en 1856.
A cinq ans, il suit son père engagé volontaire dans l'armée républicaine contre les Vendéens
Elève de Delusse, il part à Paris en 1808 pour tenter l'Ecole des Beaux-arts
Elève du sculpteur Roland
Suit les cours d'anatomie du chirurgien Beclard
Reçoit en 1810 une bourse annuelle de la ville d'Angers Février 1811,
Prix de la tête d'expression Septembre 1811,
Premier prix de Rome 1811-1816 : séjour en Italie (Rome), fréquente l'atelier de Canova.

1826 : nommé professeur à l'Ecole des Beaux-Arts et membre de l'Institut
Octobre 1848 : député de Maine-et-Loire à la Constituante
Exilé après le 2 décembre 1851
Séjours en Belgique et en Grèce, rentre en France en 1854 et s'installe à Nice..
Parlons un peu de la sculpture.
Inscription sur le socle :
"Grâce aux prisonniers - Bonchamps l'Ordonne".
Le général Bonchamps est représenté dans une position étonnante pour une sculpture funéraire.
Il est drapé, demi allongé sur son brancard, le torse nu, les bottes aux pieds et les armes proches.

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Le sculpteur a ici valorisé le geste ultime du pardon.
Dans cette composition, P.-J. David d'Angers distribue les masses et les plans afin que la lumière accroche les éléments qu'il souhaite dramatiser.
Le geste de la main, le travail de l'anatomie, la nervosité du visage, renforcent ce sentiment.
Charles Melchior Artus de Bonchamps, né en 1759, vit sur ses terres de la Baronnerie lorsque l'insurrection vendéenne vient lui demander de prendre le commandement d'une armée.
Le 17 octobre 1793, Bonchamps est blessé mortellement à Cholet.
Avant d'expirer, cet homme de foi, ordonne la grâce des prisonniers républicains entassés depuis plusieurs semaines dans l'église de Saint-Florent.

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Le geste du général vendéen resta gravé dans la mémoire de Pierre-Jean David dont le père fut sauvé à cette occasion.
"En exécutant ce monument j'ai voulu acquitter autant que cela m'est possible, la dette de reconnaissance de mon père.
Bonchamps, homme glorieux, tu as légué à l'humanité un trait qui ne sera pas perdu.
En faisant ton monument, j'ai cédé au besoin de consacrer un grand exemple.
J'ai laissé parler la reconnaissance que te devait le fils d'un républicain que tu as sauvé... " (P.-J. David d'Angers, Correspondance).

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En 1817, les restes de Bonchamps sont retrouvés dans le cimetière de Varades et sont provisoirement déposés dans la chapelle de famille.
Une souscription est autorisée en juillet 1817 pour l'érection d'un monument dans l'église abbatiale de Saint-Florent.
La statue est l'oeuvre de P.-J. David d'Angers, l'architecture du tombeau a été dessinée par A. Leclère.
L'Etat a fait don des marbres, le Conseil Général de Maine-et-Loire a voté une subvention de 10 000 francs de l'époque, mais quatre souscriptions ont été nécessaires pour réunir les 43 000 francs du devis définitif.

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9 octobre 2024

Le Mime et l'Etoile.

 

 

 

 

 

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